Comme tout les nationalistes en occident le savent, ils existent une couple de sujet politique dont le véritable pouvoir empêche la véritable discussion donc le débat. Les politiques d’immigrations en sont. Le pinson faisant office de premier ministre sortant et dont le thème de l’immigration avec la complicité des médias fut pourtant le principal vecteur de son élection en 2018 vient de l’affirmer : cette fois-ci, son élection étant quasiment assuré, il ne sera plus nécessaire de faire à semblant de s’offusquer et/ou de jouer les matamores sur le thème :
«C’est délicat l’immigration, c’est délicat de parler d’immigration, il y en a qui s’amusent rapidement à faire des amalgames», lâche le premier ministre sortant, dans une entrevue éditoriale accordée à notre Bureau parlementaire en marge de la campagne.
«Je dis qu’il faut les intégrer au français et même ça, c’est délicat. Vous avez vu comme moi, il y a avait des députés libéraux qui disaient ”c’est ben effrayant de dire ça !”, se désole le chef caquiste…
François Legault assure ne pas avoir changé d’idée quant aux pouvoirs que devrait assumer le Québec en matière d’immigration, mais il n’est plus aussi incisif. Le rapatriement des pouvoirs n’est plus impératif. «La demande la plus importante au gouvernement fédéral, c’est la demande d’exiger que les nouveaux arrivants parlent français le plus possible et idéalement, qu’ils soient choisis par le gouvernement du Québec».
Source : https://www.journaldemontreal.com/2022/09/25/limmigration-un-sujet-trop-delicat
On l’aura donc compris une fois de plus, l’agenda politique, ce sont les médias qui l’écrivent, non pas nos partis politiques certifiés kosher et nos caniches faisant offices d’exécutants s’empressent de s’y soumettre.
Alors qu’au printemps dernier encore le dit caniche nous jouait encore la carte du nationalisme ”décomplexé” en sollicitant un «mandat fort» lors de la prochaine campagne électorale afin de pouvoir négocier avec Ottawa le rapatriement des pouvoirs en immigration.”…
… Nous pouvons donc, une fois de plus le constater, à moins de 10 jours de la date du scrutin, que l’agenda politique au Québec et en Occident, ce sont les médias qui l’écrivent et non pas nos ailes politiques certifiés kosher du parti unique. L’agenda mondialiste et ses politiques d’immigrations de masse, de multi/interculturalismes, de métissages s’appliquent sans opposition aucune et nos caniches faisant offices d’exécutants s’empressent de s’y soumettre.
