Alors que la presse kosher occidentale titre qu’en Italie, ”C’est la victoire historique de l’extrême drouâte aux élections… et que l’extrême drouâte fait une nouvelle percée en Europe avec la victoire de Giorgia Meloni aux législatives de dimanche en Italie, où pour la première fois depuis 1945 un parti post-fasciste serait aux portes du pouvoir...

https://www.journaldemontreal.com/2022/09/25/en-italie-victoire-historique-de-lextreme-droite-aux-elections

… cette même Gioargia Meloni accordait une entrevue au journal juif Hayom Israël où elle affirme :

Nous avons également des liens étroits avec le Likoud, les Tories britanniques et les Républicains américains.

Ceux qui, comme moi, suivent cette voie, ont remisé le fascisme dans les annales de l’histoire depuis des décennies, condamnant fermement la perte de la démocratie, les lois antijuives scandaleuses et la tragédie de la Seconde Guerre mondiale. Nombre d’entre nous ont déjà occupé des fonctions gouvernementales ; j’ai moi-même été le plus jeune ministre de l’histoire républicaine. Nous avons tous prêté le serment constitutionnel. Tout le monde sait que nous n’avons jamais été une menace pour la démocratie et nous n’en devenons évidemment pas une maintenant

Q : Avez-vous déjà visité Israël ? Envisagez-vous de le faire prochainement ?

« Oui, certainement. J’ai effectué une visite officielle en Israël lorsque j’étais ministre sous le dernier gouvernement Berlusconi. C’était une mission très importante, avec la visite émouvante de Yad Vashem : une expérience qui a secoué ma conscience. Je retournerai certainement en Israël, bientôt j’espère. C’était quelque chose que j’envisageais en raison de mon rôle de président du Parti conservateur européen, dont les amis du Likoud sont également membres.

(Une femme blanche a vu la Liste de Schindler. Depuis elle croit qu’elle a une « conscience ».)

Quelle est pour vous l’importance d’un Etat juif ?

« Israël représente la seule démocratie à part entière dans le Moyen-Orient élargi, et nous défendons sans aucune réserve son droit à exister et à vivre en sécurité. Je pense que l’existence de l’État d’Israël est vitale, et Fratelli d’Italia fera tout son possible pour investir dans une plus grande coopération entre nos pays. Après tout, c’est l’attitude amicale que le centre-droit italien a toujours eu envers Israël lorsqu’il était au gouvernement. En revanche, la gauche ne peut pas en dire autant, ni traditionnellement, ni dans cette campagne électorale, qui a mis en lumière des incidents répétés de candidats de gauche surpris en train d’écrire des messages à saveur antisémite sur leurs réseaux sociaux. »

Q : Voyez-vous un lien entre ceux qui appellent à détruire Israël militairement ou par des boycotts comme une continuation de l’antisémitisme traditionnel ?

« Oui, et je pense aussi que l’une des manifestations les plus courantes de l’antisémitisme aujourd’hui est la propagande anti-israélienne, que les Juifs d’Europe sont le plus susceptibles de rencontrer en ligne. Les Juifs d’Europe sont également soumis à la menace provenant non seulement des factions d’extrême-gauche et d’extrême-droite, mais surtout des immigrants musulmans radicalisés qui se nourrissent du ressentiment à l’égard d’Israël. Je me souviens de la mort récente du jeune Jeremy Cohen, qui tentait de fuir une attaque antisémite dans la banlieue de Paris lorsqu’il a été tué par un tramway. Parce que cette tragédie aurait attiré l’attention sur l’échec des politiques d’intégration, peu de médias européens ont choisi d’en parler. Par conséquent, en tant que conservateurs européens et Fratelli d’Italia, nous soutenons fermement la nouvelle stratégie de l’Union européenne contre l’antisémitisme. Israël est et doit continuer à être un allié crucial de l’Union européenne dans l’effort d’éradication de ce mal dans le monde. Nous soutenons les efforts visant à accroître la compréhension des jeunes étudiants de l’histoire, de la religion et de la culture juives. Cela contribuera à l’élimination des préjugés sociétaux et à la pleine acceptation des coutumes juives en Europe. »

Q : Un gouvernement dirigé par vous reconnaîtra-t-il Jérusalem comme capitale d’Israël et transférera-t-il l’ambassade d’Italie de Tel Aviv à Jérusalem ?

« C’est une question très sensible, sur laquelle je pense que le prochain gouvernement italien, comme tous ceux qui l’ont précédé, devra agir en synergie avec nos partenaires de l’Union européenne. »

Q : L’Italie entretient des relations économiques étroites avec l’Iran. Comment, à votre avis, l’Occident doit-il empêcher l’Iran de devenir une puissance nucléaire militaire et comment l’Italie peut-elle y contribuer ?

« Les sanctions ont eu un lourd impact sur de nombreuses entreprises italiennes qui avaient tissé des liens économiques solides avec l’Iran, néanmoins, l’heure n’est certainement pas à la remise en question, à moins que certaines conditions ne soient remplies. En effet, nous sommes extrêmement préoccupés par le rôle de l’Iran dans la région, son rapprochement en cours avec la Russie et la Chine, son soutien continu au Hezbollah, qui continue de menacer la sécurité d’Israël, ainsi que par le rapport de l’AIEA indiquant que les contrôles efficaces sur le développement des missiles iraniens sont insuffisants. Sans garanties supplémentaires pour Israël, qui est raisonnablement inquiet quant au calendrier d’enrichissement de l’uranium nécessaire à la création de l’arme atomique, nous pensons qu’il sera difficile de relancer l’accord de 2015. Nous avons fermement soutenu les accords d’Abraham comme un moyen de maintenir la stabilité régionale et de freiner la politique étrangère agressive de l’Iran ; nous pensons donc qu’ils doivent être davantage mis en œuvre. »

Q : Comment peut-on arrêter la guerre en Ukraine et craignez-vous une guerre plus importante en Europe ?

« La guerre en Ukraine est non seulement une violation flagrante du droit international, une agression contre l’intégrité territoriale d’une nation souveraine et une manifestation de l’expansionnisme russe, mais aussi une tentative de subversion de l’ordre mondial actuel au détriment de l’Occident et au profit de la Chine communiste. Un scénario que l’Europe doit fermement rejeter. Une éventuelle extension de la guerre à d’autres nations d’Europe de l’Est est une éventualité dénoncée par nos amis polonais, que nous ne devons malheureusement pas sous-estimer. Pour cette raison, nous ne devons pas cesser de soutenir l’Ukraine. Je le dis avec fermeté, mais avec tout autant de regret, même en connaissant les liens particuliers qui unissent historiquement Israël et la Russie. En 2002, l’Italie elle-même a accueilli un sommet OTAN-Russie pour construire un Occident élargi et faire face ensemble à la menace du terrorisme islamique. Vingt ans ont passé, cette perspective est au point mort et Poutine a malheureusement franchi une ligne rouge.« 

Source : https://www.israelhayom.com/2022/09/16/i-believe-that-the-existence-of-israel-is-vital-and-i-will-make-every-effort-to-invest-in-greater-cooperation-between-our-countries/

Il est impossible de faire la différence entre la rhétorique de cette prostituée devenue l’héroïne de la « droite populiste » kosher italienne et un Justin Trudeau…

Ce clivage démocratique « droite / gauche » ne veut rien dire. C’est une mystification pour les masses qui vivent sous le joug de la finance juive internationale et de son bras séculier qu’est l’OTAN.

Le vrai clivage se trouve être celui de l’opposition nationaliste au mondialiste kosher et rien d’autre. Tout le reste n’est que poudre aux yeux.

Le non-évènement italien est un tel non-évènement, que la femme juive Bornstein à la tête du gouvernement français n’est inquiète que pour le droit des femmes blanches d’assassiner leurs enfants. Lire : https://www.partinationalistechretien.com/?p=1098

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