[Attention, contenu sensible]

On ne peut être que stupéfait en découvrant les images de la dernière campagne de publicité de la marque de luxe Balenciaga. On voit des enfants aux côtés d’objets liés aux pratiques sado-masochistes :

De plus, des internautes ont remarqué dans une autre publicité, ne comportant pas d’enfants, un document faisant référence à un jugement de la Cour Suprême américaine de 2008 décidant que la liberté d’expression ne s’étend pas jusqu’à la pédopornographie (1) :

Sur une autre publicité avec l’actrice française Isabelle Huppert, on distingue en arrière-plan plusieurs livres, dont un signé Michaël Borremans :

Michaël Borremans est un peintre belge né en 1963. Il est l’auteur d’une série de tableaux au contenu très perturbant : Fire from the sun, dont on trouvera ci-dessous quelques exemples. On voit des enfants nus, couverts de sang, et des membres arrachés ! 

Voici encore d’autres « œuvres » du même artiste, qui semblent faire allusion au cannibalisme, à des rituels occultes ainsi qu’à la pédophilie :

Est-ce un hasard si une autre de ses peintures s’appelle La Robe du Diable (The Devil’s dress) ?

Ses œuvres font l’objet d’expositions où l’artiste et les directeurs de galeries ne craignent pas d’afficher au public des créations repoussantes, comme à Anvers en Belgique.

Un autre livre visible sur la photo semble être (c’est un peu flou) : The Cremaster cycle, livre de Matthew Barney, artiste américain né en 1967 :

Agrandissement de la publicité de Balenciaga montrant The Cremaster cycle ?

Voici le genre d’images qu’on peut y trouver (sans commentaires) :

Le muscle crémaster, auquel fait allusion le livre, est un muscle qui recouvre les testicules et a pour fonction de favoriser la spermatogénèse.

Une présentation en ligne de ces œuvres indique qu’elles font références à un rituel maçonnique (2)

Tout ceci rappelle furieusement le scandale étouffé du Pizzagate, du nom de cette pizzeria de Washington qui rassemblait des hommes politiques démocrates américains autour de symboles pédophiles et satanistes (Tony et John Podesta, conseiller d’Hillary Clinton, James Alefantis, etc.).

Devant le tollé, Balenciaga a retiré les images choquantes et a publié un communiqué d’excuses sur Instagram. Cela ne suffira pas. Peut-on avoir des explications officielles du directeur général séfarade de Balenciaga, Cédric Charbit, et de son directeur artistique, l’inverti Demna Gvasalia ? Au passage, celui-ci a eu le culot de vendre des sac poubelles en guise de sac à main pour 1400 € (3) : 

On peut noter aussi que c’est à cause de ces créateurs de mode qui haïssent les femmes que l’on voit depuis des années des femmes rachitiques défiler pour les grandes marques, ce qui constitue un exemple désastreux pour les jeunes filles.

Les Inconnus avaient déjà tout vu en leur temps :

Balenciaga reporte les torts sur l’auteur de la campagne de photos, le photographe italien Gabriele Galimberti, et annonce se porter en justice contre lui. Le Daily Mail rapporte que celui-ci est également à l’origine d’un curieux projet : prendre des photos d’enfants du monde entier et de leurs jouets. 

Inévitablement, les publicités de Balenciaga font aussi la promotion de l’homosexualité et du métissage :

Balenciaga apparaît aussi dans l’actualité ces derniers jours pour avoir coupé tout lien avec le rappeur Kanye West, après des propos anti-talmudistes tenus par celui-ci, à l’instar d’autres marques et de banques liées au rappeur.

Balenciaga fait partie de la holding Kering, créée par l’homme d’affaire milliardaire François Pinault, grand soutien de Macron. Pinault, passionné d’art contemporain (il impose avec son fric ses déchets à Venise), se trouve lui-même posséder plusieurs œuvres de Matthew Barney (4) et de Michaël Borremans (5) ! Est-ce lui qui est à l’origine de ces campagnes de publicité ? Ou est-ce la culture commune de tout une clique de dégénérés ?

François Pinault est un ami proche de BHL, qui tient une chronique dans Le Point, journal détenu par l’homme d’affaires. François Pinault était associé du père de BHL. Il considère aujourd’hui BHL « comme son fils » (6). Dans une chronique, BHL rendit hommage à son ami disparu Me Thierry Lévy, un fervent défenseur de la pédophilie (7). Le Point abritait aussi une chronique de l’écrivain ashkénaze pédophile Gabriel Matzneff, avant que le livre d’une de ses victimes ne fasse scandale en 2019. Bien que ces textes continssent des allusions transparentes aux obsessions de l’auteur, cela n’a pas empêché François Bousquet, gérant de la librairie et maison d’éditions identitaire La Nouvelle Librairie de vouloir les republier dans un livre (8).

A noter que Balenciaga a quitté Twitter à l’arrivée d’Elon Musk à la tête du réseau social. Est-ce en rapport avec la restauration de la liberté d’expression ? Ou parce que Musk a déclaré que sa priorité était l’éradication du contenu pédophile sur Twitter, jusqu’ici incroyablement toléré alors que le moindre propos conservateur ou nationaliste était censuré ?

Résumons l’affaire Balenciaga : pédophilie, homosexualité, satanisme, franc-maçonnerie, cannibalisme, judaïsme, art contemporain, escroquerie. C’est un rêve pour complotiste ou la manifestation la plus éclatante du mondialisme cosmopolite étalant sans honte ses immondices sous nos yeux ?

BOYCOTT BALENCIAGA !

ERADIQUONS LES MONDIALISTES !

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *