La folie LGBT-mondialiste a atteint le sport depuis plusieurs années déjà, provocant polémiques et surtout revendications, notamment des athlètes féminines contraintes de subir la concurrence déloyale d’athlètes dites « femmes transgenres ».

Précision syntaxique : les hommes travestis, opérés et sustentés en hormones femelles, autrefois appelés « transsexuels », sont aujourd’hui qualifiés de « femmes transgenres » selon la nouvelle définition de la novlangue LGBT-mondialiste : « Une femme trans ou femme transgenre est une personne dont l’identité de genre est féminine, alors que le genre qui lui a été assigné à la naissance sur la base de l’apparence de son sexe est masculin » (source Femme trans, Wikipedia). On baigne dans le bon sens et la clarté…

Quant à l’Irlande, FDeSouche nous apprenais hier « qu’après l’Angleterre, la Fédération de Rugby change sa politique sur les transgenres ». Dorénavant la catégorie féminine sera réservée aux athlètes dont « le sexe a été enregistré comme féminin à la naissance ».

Mais le plus intéressant est la justification de cette décision : la Fédération affirme que le revirement de sa politique est justifié sur la base de preuves médicales et scientifiques.  Voici donc les motivations de la Fédération irlandaise de Rugby :

« Des recherches récentes fournissent des preuves qu’il existe des différences physiques entre les personnes dont le sexe défini à la naissance est masculin et le sexe qui défini à la naissance comme féminin. Les avantages en termes de force, d’endurance et de physique apportés par la puberté masculine sont significatifs et conservés même après la suppression de la testostérone ».

« La nouvelle politique, qui est conforme à celle de World Rugby, de la RFU (Angleterre, NDLR) et d’autres instances dirigeantes, signifiera que le rugby de contact pour les joueurs de la catégorie féminine est limité à ceux dont le sexe a été enregistré comme féminin à la naissance. »

Une sorte de retour au bon sens et à la loi naturelle, finalement, qui n’avait pas eu besoin d’attendre les résultats de longue recherche pour discerner l’homme de la femme… Mieux vaut tard que jamais quand même.

Mais ne parlons pas trop vite : le communiqué envisage aussi le sort des « hommes transgenres » (« une personne dont l’identité de genre est masculine, alors que le genre qui lui a été assigné à la naissance sur la base de l’apparence de son sexe est féminin »), c’est-à-dire les femmes se prenant pour des hommes. Et là, la politique de la Fédération irlandaise est pour le moins étonnante. Leur communiqué affirme :

« Dans la catégorie masculine, les joueurs dont le sexe est enregistré à la naissance comme étant féminin peuvent continuer à jouer s’ils fournissent un consentement écrit et qu’une évaluation des risques est effectuée. »

Donc, les femmes se prenant pour des hommes peuvent, elles, continuer à fréquenter les matchs de rugby au milieu des hommes. Ces « hommes transgenres » devront quand même signer une sorte de « décharge », c’est-à-dire qu’elles fréquenteront les terrains à leurs risques et périls…

On ne comprend plus bien pourquoi des hommes se prenant pour des femmes ne peuvent plus se coltiner des rugbywomen alors que les rugbymen peuvent toujours plaquer des femmes se prenant pour des hommes… La logique inégalitaire et discriminatoire LGBT-mondialiste sans doute. Mais on ne cherchera pas plus loin connaissant la propension des ligues d’anti-vertu toujours promptes à dégainer la plainte en « incitation à la haine en raison de l’identité de genre » (oui, ça existe, article 24 alinéa 6 de la loi du 29 juillet 1881 sur la « liberté de la presse »…)

En guise de conclusions :

1 – On est content d’apprendre que les « femmes transgenres » ne sont pas tout à fait des femmes comme les autres d’après les preuves médicales et scientifiques…

2 – Et que les « joueuses » transgenres et « hommasses » n’auront plus le droit de castagner légalement des athlètes féminines sur les terrains de rugby irlandais.

Des dizaines d’années de combats féministes pour en arriver là. On vit vraiment une époque épatante.

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