La croix gammée symbolise la lutte contre le
destructeur de la race blanche.

Depuis leur dispersion, les Juifs, répandus sur toute la terre, n’ont
jamais cessé de former un tout compact, fanatiquement uni en ce
qui concerne leurs intérêts nationaux. Ce sont les plus ardents des
nationalistes, leurs livres sacrés et profanes en font foi.

Qu’ils soient en Allemagne, en Angleterre, en France, aux
Etats-Unis, en Pologne ou au Canada, les Juifs restent
immuablement Juifs, à cause de ce profond nationalisme qui les
caractérise. Là où ils se trouvent, ils n’ont pas voulu devenir des
Allemands, des Anglais, des Français, des Américains ou des
Canadiens, alors que les vieilles races romaine, celtique, gauloise,
franque, etc., se sont fondues en groupes plus généralisés, plus
souples et plus civilisés. La marche du temps et le travail des
siècles ont raffiné et policé toutes les races, mais rien n’a pu altérer
la juiverie et le juivisme. Ils sont exactement aujourd’hui ce qu’ils
étaient au temps de Moïse, au temps du Christ et au temps de
Maïmonides, les agents, les apôtres, les propagateurs du
matérialisme.

Ceci s’explique parce que les Juifs, ne se considérant nulle part
dans leur patrie, ne trouvant dans aucun pays un foyer de
judaïsme, se sont confinés aux intérêts matériels des pays qui les
recevaient, sans vouloir en accepter les intérêts spirituels et
moraux. Si les Juifs subissent avec plus ou moins de loyauté le
drapeau qui les héberge, parce que ce n’est jamais leur drapeau,
ils se rangent tous unanimement sous la bannière de l’Etoile
de Sion, faite de deux triangles entrelacés. C’est le symbole
du nationalisme juif, leur emblème national, et ils l’affichent
dans tous les pays où ils se trouvent. Dans leur lutte pour la
domination du monde, les Juifs d’Angleterre mettent de côté
le drapeau anglais, de même font les Juifs français en France,
de même, les Juifs canadiens au Canada, pour reconnaître au
dessus de tout et avant tout l’étendard sioniste. Seuls les sémites,
ou descendants de Sem, arborent ce drapeau; le symbole des
triangles entrelacés s’est même imposé chez certains Arabes.

Devant l’assaut des Juifs contre les races blanches ou
Japhétiques (issues de Japhet), celles-ci tendent à graduellement
se liguer dans un vaste mouvement défensif. Ce n’est
pas par suite de propagande allemande, mais parce que tous
ont conscience de la même attaque et ressentent le même danger,
que tous les pays tendent simultanément vers un antisémitisme
protecteur; c’est parce que chaque nation voit et constate ce que
l’on a vu en Allemagne. Aussi a-t-on le spectacle d’une immense
contraction, dans tous les pays de race blanche, pour se garer
contre un péril dont on ne peut plus nier l’existence. La
descendance de Japhet, dans un grand mouvement général et sous
certains aspects inconscient, se lève pour répondre à l’offensive de
la descendance de Sem.


Au-dessus de nos caractéristiques secondaires anglaise, française,
italienne, allemande ou autre, il y a une grande caractéristique
basique et fondamentale; nous sommes tous de race blanche. Si
nous avons chacun, suivant notre patrie, un drapeau national, nous
avons tous, en tant que membres de la race blanche, un emblème
commun qui la symbolise : la croix gammée ou swastika, dont
nous donnons la reproduction en page frontispice.

La croix gammée n’est pas un symbole hitlérien ni un
emblème national. C’est un étendard générique qui rassemble
sous son ombre tous les membres de la race indo-aryenne, à
laquelle les blancs appartiennent. Si ce signe est si
haineusement dénoncé par les Juifs, c’est parce que les sémites ne
peuvent pas s’en prévaloir. Le Juif peut se réclamer du drapeau
anglais, ou drapeau français, de n’importe quel symbole religieux
qu’il accepte, mais jamais et pour aucune considération il ne
pourra se mettre sous l’égide de la croix gammée, parce qu’aucune
puissance ne peut en faire un indo-aryen.

La plus récente étude scientifique faite sur les origines de la croix
gammée l’a été par le professeur  W.-Norman Brown, D.Ph., de
l’Université de Pennsylvanie, où il enseigne le sanscrit. Dans cette
étude (août 1933), le professeur Brown, qui est un anti-hitlérien,
affirme que la croix gammée a d’abord été employée dans les
régions « japhétiques » (vallée de l’Indus, Baloutchistan, Troie,
Suse, Chypre, Rhodes, Athènes) aussi lointainement que trois
mille ans avant l’ère chrétienne, comme l’attestent les découvertes
archéologiques; que cet emblème ne fut jamais employé par les
sémites, qu’on ne le trouve pas dans les antiquités de leurs
territoires.

Depuis l’an 2,000 avant Jésus-Christ, le swastika fut
toujours employé avec profusion par tous les groupes de la race
indo-aryenne. Aujourd’hui, il forme un point de ralliement pour
tous les « japhétiques » [Blancs] assaillis par les sémites dans une
invasion et un combat non-sanguinaires, mais économiques,
politiques et dont les conséquences sont identiques à celles d’une
conquête armée.

Que l’on discute tant que l’on voudra la pureté de telle section
indo-aryenne. il n’en reste pas moins que la race blanche est la
race blanche, que les descendants de Japhet n’ont rien de commun
avec les descendants de Sem, qu’ils diffèrent par des instincts
fondamentalement opposés, que les tendances spirituelles des
premiers ne pourront jamais s’allier aux tendances matérialistes
des autres.


Les fascistes antisémites de tous les pays ont adopté pour
emblème la croix gammée, symbole de leur race. Bien que le
fascisme soit énergiquement nationaliste, il trouve dans la
croix gammée la clef d’un internationalisme qui doit répondre
à l’internationalisme juif, puisque le combat engagé ne peut
être gagné autrement. De même, bien que les fascistes antisémites
soient positivement chrétiens, ils ne veulent pas traîner
dans la poussière du combat la croix chrétienne, symbole
religieux, parce qu’il ne s’agit pas d’une guerre religieuse.

La croix gammée est et restera le symbole de ralliement
de la race blanche, dans son effort mondial pour se dégager
de la domination économique et politique des Juifs. Comme
les Juifs s’inspirent de leur Etoile de Sion, l’affichent, en font
un mot d’ordre au sein de leur race, il faut que les « japhétiques »
arborent sans crainte leur swastika, s’en inspirent, s’en fassent un
mot d’ordre, afin que les peuples de race blanche cessent de
s’entre-déchirer, de se craindre, de se laisser diviser par les Juifs,
afin qu’ils puissent se comprendre, s’entendre et, écoutant la voix,
de leur sang et leurs instincts communs, parviennent à la véritable
paix mondiale. Que partout flotte fièrement et victorieusement la
croix gammée !

Adrien Arcand, 1933

⚡⚡

⚡⚡

⚡⚡

1 commentaire

  1. Jean-Philippe (Le Goy) Labbé dit :

    Article à partager de façon récurrente je dirais, enfin pas pour lasser le lecteur, mais nous devons la remettre en disponibilité occasionnellement.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *