Si les Blancs veulent survivre, ils doivent en toute logique vouloir vivre en premier lieu. Ce n’est pas ce qui se passe actuellement. Les pulsions et les comportements morbides sont si répandus qu’il serait difficile de les lister tous.

Les masses blanches évoluent entre sado-masochisme et volonté d’autodestruction, attitude qui s’exprime, pour être socialement acceptable, en humanitarisme compassionnel pour tout ce qui détruit effectivement la société blanche. Que ce soit physiquement, par l’invasion allogène et la promotion de l’avortement, ou psychologiquement et moralement, par la culpabilisation et la honte d’appartenir à la race blanche.

Ce cancer mental fait de tout ce qui protège l’instinct de vie de la race blanche un mal et de ce qui la tue un bien. L’inversion totale de l’ordre vital.

L’éducation à la culpabilisation produit des ravages psychologiques de nature à détruire complètement la société.

Une étude résume :

Selon le psychanalyste Serge Tisseron, la honte est une atteinte de tous les liens que peut tisser une personne, elle est une menace de dissolution de l’existence humaine. En effet, la perte se produit à différents niveaux de l’être, sur les trois piliers qui fondent son identité : l’estime de soi, les liens affectifs et le sentiment d’appartenance.

Les Blancs nourris au gauchisme rejettent ainsi leur groupe d’appartenance. Ils deviennent des sociopathes et, pour les plus virulents, des ennemis déclarés de leur race et de la société. Le seul statut valorisant qui leur est offert est celui d’anarchiste haineux de lui-même et de l’ordre social.

La caricature de ces malades sont les antifas et autres négrophiles en recherche d’une identité valorisante, aux cpotés d’une échelle de valeurs établie en négatif par les sous-hommes.

Face à l’aryen créateur, désormais frappé d’interdit, est célébré le Noir omnipotent, rédempteur du péché de racisme. C’est ici qu’intervient la fonction de l’apologie du métissage : la sortie de la malédiction dont est affligée la race blanche par la libération génétique. Sorte de « sortie d’Égypte » post-1945.

Au rabais existe bien sûr un chemin de « libération » alternatif. Celui de la figure de l’opprimé en recherche d’un maître symbolique à haïr pour mieux paradoxalement témoigner de son plus parfait conformisme démocratique.

Plus souvent, les Blancs ne sont qu’infectés et subissent passivement cet empoisonnement, se contentant d’absorber cette énergie destructrice et de la régurgiter lors de rencontres mondaines.

La superstition démocratique

Nous avons à faire à un véritable système religieux qui dispose d’une vision du monde cohérente. Si l’on brise l’élément qui est à la base de cette religion, tout ce système s’effondre infailliblement. Pour l’Europe chrétienne, c’est l’athéisme et l’agnosticisme qui ont ébranlé puis détruit son système religieux en l’anéantissant à son épicentre. Sans foi en Dieu, l’autorité du Pape et le pouvoir des rois de droit divin n’a plus de raison d’être.

Pour la religion qui nous occupe, la religion démocratique et socialiste, le mythe à détruire est celui de l’égalité. Cette croyance en la venue d’une paix universelle dès lors que toutes les hiérarchies et limites, génératrices « d’oppression » et de stress, auront été abolies.

Il s’agit d’une rébellion que jamais rien n’assouvit, à l’image de Lucifer, le rebelle.

Cette religion dispose des droits de l’homme en guise de « Dix Commandements ». Elle a ses rites et sa sainte messe, les commémorations de l’Holocauste, réminiscence d’Auschwitz, « alt-Golgotha ».  Elle a sa définition du pur et de l’impur et sa liste subséquente de péchés à faire expier : colonisation, esclavage, guerres mondiales, pseudo-discriminations, nationalisme.

Si l’Occident chrétien s’est effondré, les occidentaux blancs n’en vivent pas moins dans une société superstitieuse régie par un clergé, aux contours mal définis, composé de journalistes, de chefs politiques et de figures mythifiées.

https://www.journaldequebec.com/2017/11/14/paradis-fiscaux-plc-et-copains-depuis-longtemps-1991-et-2001

https://ici.radio-canada.ca/nouvelles/special/2017/paradise-papers/parti-liberal-canada-stephen-bronfman-leo-kolber-trudeau-fiducie/index.html

Le Blanc, pour expier sa responsabilité dans les malheur du monde se voit moralement contraint d’œuvrer à sa propre destruction.

C’est précisément la fonction de ce que l’on appelle la gauche. La gauche politique se résume à l’exploitation à outrance d’une mauvaise conscience créée de toutes pièces par ses soins, lui offrant ainsi la domination des cœurs et des esprits en quête de pardon. La gauche est l’anti-église par excellence et la singe en tout.

Et le dernier stade de ce pardon, c’est bien sûr l’expiation raciale totale.

C’est ce qu’a parfaitement résumé Sartre : « Abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre ».

La destruction des Blancs, raison d’être de la démocratie

Dans la religion démocratique comme de son aile radicale qu’est le socialo-marxisme, la destruction des hiérarchies est une nécessité existentielle, messianique. Elle ne cesse jamais de chercher de nouvelles frontières à franchir, telle que l’abolition des races et des sexes.

Paradoxalement, les Blancs, pour légitimer leur existence immédiate, considèrent qu’œuvrer à leur destruction à long terme est une obligation morale.

Tant que les Blancs, face à n’importe quel choix, optent de manière préférentielle pour leur mort afin de répondre aux exigences des interdits de leur religion, ils s’avanceront vers leur anéantissement. Tant qu’ils choisiront les autres avant les nôtres, leur conscience sera soulagée d’être orthodoxe.

Ce nihilisme cannibale est le cœur idéologique de l’ennemi que nous affrontons et qui prospère au sein de nos peuples. C’est pourquoi, comme lors des guerres de religions du 16ème et 17ème siècles, nous sommes dans une guerre de nature civile. Notre ennemi prioritaire, existentiel, n’est pas extérieur mais domestique : il traverse les familles et les villages, phénomène encore aggravé par l’imbrication ethnique des divers groupes raciaux et des liens sociaux ainsi générés.

C’est ce qui explique la dimension religieuse et sacrée de la question de l’immigration. C’est un sujet qui est traité en termes absolus : oui ou non, bien ou mal, pour ou contre. Il permet aux membres de la société de se situer par rapport aux forces disposant du pouvoir actuellement. Les conséquences pratiques n’intéressent absolument personne au sein de la bonne société.

 Le langage de la superstition démocratique

L’étymologie du mot « tabou » vient du polynésien tapu qui signifie « interdit sacré ». C’est le Capitaine Cook qui, en 1711, l’aurait rapporté de Tonga, et jusqu’au début du 20e siècle, ce terme gardera son sens d’interdit religieux :

« Système d’interdictions de caractère religieux appliquées à ce qui est considéré comme sacré ou impur ; interdiction rituelle ».

Dominée par des religieux, il est devenu logique pour la société de voir le langage devenir de plus en plus « performatif ». Une énonciation est performative lorsqu’elle ne se borne pas à décrire un fait mais qu’elle «fait» elle-même quelque chose.

C’est ce qui se passe avec lorsqu’une personne prononce un blasphème. En outrageant Dieu ou quelque chose de sacré, le blasphémateur ne décrit pas quelque chose : il commet un acte qui, en lui-même, remet radicalement en cause le fondement même de la vérité et de la morale.

Une fois que l’on a compris cela – la parole est un acte – on doit donc conclure la chose suivante : il est vain de vouloir agir dans le périmètre sémantique – sacralisé – qui est imposé par les religieux que nous combattons.

Agir autrement signifie par définition qu’on reconnait en dernière instance leur autorité, donc leur pouvoir de définir les normes du réel. C’est admettre que nous plions encore l’échine devant la religion qui se nourrit de notre destruction. C’est consentir à être aussi des esclaves.

Or, nous sommes des Aryens, donc des hommes libres.

Ne pas y céder fait de nous, automatiquement, des hérétiques du point de vue de l’ennemi. Soit on accepte d’être effectivement un « hérétique » à ses yeux – et on assume donc ce en quoi nous croyons – soit on se condamne à survivre dans une société régie par le mensonge en espérant ne pas être identifié, en attendant notre déchéance.

Dans cette lutte religieuse, les mots sont évidemment l’enjeu du pouvoir. Ce n’est pas pour rien que le pouvoir interdit aux hérétiques – c’est-à-dire aux blancs – de s’exprimer. Ce n’est pas un hasard si, par le recours à la culpabilisation et à la honte dont j’ai parlé, les esclaves et le pouvoir érigé sur leur vision du monde interdisent de rétablir toute notion de hiérarchies comme de préférences fondées sur des appartenances indépassables.

Assumer l’hérésie : nous sommes racistes et voulons être des racistes

Ainsi en est-il du mot « racisme ». Pour comprendre ce que signifie, aujourd’hui, le mot « raciste », il suffit d’étudier ce que signifie le mot « antiracisme ». L’antiracisme désigne en fait la lutte contre les Blancs, en Occident, jusqu’à leur disparition. Cette expiation religieuse totale et messianique dont j’ai parlé plus haut.

Aux USA, ce projet est ouvertement et totalement assumé par la cohorte des esclaves : groupes raciaux, démocrates et marxistes.

Bien que seuls légitimes propriétaires de l’Europe (et des pays qu’ils ont construit) – c’est au nom de la propriété légitime que les africains et musulmans ont revendiqué leur décolonisation – les Blancs se voient interdire toute propriété exclusive de leur continent (et des pays qu’ils ont construit). Cette remise en cause de leur légitimité est depuis longtemps acté dans la constitution des démocraties occidentales.

Pour rappel, l’article 1er de la constitution de la république française :

La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion.

Cette proclamation, faisant fi du contexte dynamique de l’humanité, exproprie les Nations blanche de souche de leur pays. Et l’offre à la masse des extra-européens et des musulmans qui la colonisent progressivement. C’est la démocratie qui garantit aux islamistes d’édifier des mosquées et aux Noirs de poursuivre les Blancs en justice.

Comparons.

Le pouvoir – gigantesque – de l’Église semblait ne devoir jamais disparaître. Mais des écrivains, intellectuels et orateurs déterminés, usant systématiquement de l’humour et de l’ironie, détruisirent le prestige de l’autorité catholique pour imposer leur propre vision du monde. Ce qui devint une guerre ouverte lors de la révolution française, puis sous la Troisième République.

 Avec des conséquences politiques irréversibles.

Sans la mythification du Chevalier de la Barre – le Horst Wessel de l’anti-cléricalisme – le camp anti-catholique n’aurait pas connu un succès aussi énorme au 18ème siècle.

chevalier de La Barre

Tout refus de consentir à l’invasion et aux prétentions mirobolantes des Noirs et musulmans vaut l’accusation de «racisme». Le signifié du mot racisme est négatif et perçu comme maléfique par les masses en raison d’un travail permanent du pouvoir religieux démocratique, conformément à la criminalisation de toute volonté de vie des Blancs dont j’ai parlé.

Briser le pouvoir magique de l’ennemi

L’accusation de « racisme » ne repose pas sur une description fidèle de la vérité mais sur l’ascendant moral et psychologique qu’espère en retirer celui qui s’y livre au détriment de sa victime.

Les maghrébins ou les Noirs usent à outrance de cette accusation, sachant qu’elle leur offre un levier psychologique sur les Blancs. Comme une formule magique qui les paralyse et détruire leur volonté. Ils le font d’autant plus volontiers qu’ils savent par ailleurs que si l’homme blanc se réveille, ils seront balayés.

Les Noirs et musulmans voient dans l’antiracisme une loterie à laquelle ils gagnent tout le temps. Et le pouvoir démocratique appuie invariablement ses auxiliaires dans ce comportement.

Ce mot est, comme on l’a vu, sacré. C’est-à-dire qu’il n’a de pouvoir magique que si la victime consent à lui en accorder. Et elle ne lui en accorde que tant qu’elle se soumet à ce système religieux.

Tant que les Blancs craindront d’être assimilés à des racistes – donc, en réalité, à des Blancs voulant vivre – ils s’offriront d’eux-mêmes aux pires tourments.

Être raciste ou mourir, il faut choisir

A la minute où les Blancs décident de rompre ce pouvoir en reprenant le terme raciste pour en faire un titre de gloire, le charme s’effondre. L’homme blanc cesse de s’enfoncer dans le cycle infernal de l’autodestruction pour celui de la contre-offensive, de l’affirmation, de la volonté.

Et ainsi en est-il de tous les termes sacralisés ou diabolisés.

Source : https://dempart.site/briser-le-pouvoir-magique-de-lennemi-etre-raciste-ou-mourir-il-faut-choisir/

LES CINQ RACES DE L’HUMANITÉ

Voici 10 points relatifs aux cinq races de l’espèce homo sapiens

Par Pascal Domat

1. Le monde est divisé en 5 races humaines. La division de l’espèce homo sapiens en races est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.

2. Il y a 5 grandes humaines : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).

3. Il y a moins de différence raciale entre un Sicilien et un Tunisien qu’entre un Sicilien et un Suédois. La race caucasoïde est vaste. Les races sont elles-même divisées en sous-races. 16 sous-races caucasoïdes : nordique, est-baltique, dinarique, alpine, atlanto-méditerranéenne, irano-afghane, méditerranéenne, arménoïde, trønder, samis, celtique, néo-danubienne, hallstatt nordique, brünn, borreby, ladogan (termes de Carleton Coon).

4. L’approche génétique confirme la typologie des anthropologues.

L’analyse de Cavalli-Sforza néglige les capoïdes et classe les habitants du Sud-Est asiatique avec les australoïdes, ce qui est discutable.

L’homme partage 98.9% de ses gènes avec le chimpanzé. Cela ne signifie pas, au demeurant, que deux individus pris au hasard dans chacune des deux espèces sont génétiquement identiques à 99 %, mais que les allèles (variantes des gènes) caractéristiques d’une espèce ne sont qu’1 % du total. Or, nous avons la faiblesse de penser que cet écart d’1 % n’est pas négligeable…

Une méthode pratique pour étudier la biodiversité est l’analyse en composante de principe. L’analyse en composantes de principe (ACP) est un procédé mathématique qui utilise une transformation orthogonale pour convertir un ensemble d’observations de variables potentiellement corrélées en un ensemble de valeurs non-corrélées appelées composantes de principe.

Regardez certains de ces graphiques d’ACP basés sur un large échantillonnage de polymorphisme nucléotidique (PN) de plusieurs individus à travers la planète. Vous remarquerez une agglomération générale de résultats via lesquels il est possible d’identifier la race de certains individus.

Cette agglomération est une conséquence naturelle de l’évolution divergente due à l’isolement géographique et les différences de pressions environnementales que les homo sapiens ont rencontré dès le début de leurs migrations.

L’espèce humaine se compose de races et sous-races génétiquement identifiables. Malgré de légères imprécisions dues aux méthodes d’échantillonnage et de transformation, les congoïdes présentent des différences importantes par rapport au reste de l’humanité après avoir évolué séparément pendant plus de 120 000 ans (1 million d’années selon la théorie polycentrique de Coon et Wolpoff).

http://med.stanford.edu/tanglab/publications/PDFs/WorldwideHumanRelationshipsInferredFromGenome-WidePatternsOfVariation.pdf

https://lesacreduprintemps19.files.wordpress.com/2011/06/woodley-2009-is-homo-sapiens-polytypic-human-taxonomic-diversity-and-its-implications.pdf

5. La race ne se réduit pas à la couleur de peau. Cette dernière n’a que peu d’importance.

Les scientifiques ont étudié le niveau de différenciation génétique parmi les différences races. Le système nerveux représente le plus gros de la variation au sein des populations humaines, largement plus que la pigmentation.

Races étudiées : congoïdes, caucasoïdes, mongoloïdes.

Femme indienne caucasoïde à la peau noire.

https://bmcevolbiol.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2148-11-16

6. Variabilité des gènes. Le classement d’une série quelconque d’individus ou d’éléments dépend entièrement du point de vue retenu. Les différences raciales, qui ne remettent évidemment pas en cause l’unité de l’espèce humaine, portent essentiellement sur certains gènes.

Les affirmations de Lewontin sur la variabilité ne sont valables que lorsque l’on examine la fréquence de différentes allèles entre deux personnes  à l’échelle individuelle.

La réponse dépend du nombre de polymorphismes utilisés pour définir cette dissimilarité ainsi que des races comparées.

Lorsque les scientifiques analysent trois populations géographiquement distinctes (Européens, Africains, Est-Asiatiques) et en mesurent la similarité génétique à plusieurs milliers d’endroits différents, des séparations nettes apparaissent.

En résumé, quand on reporte graphiquement les données des allèles unidimensionnellement, des résultats s’agglomèrent en différents points selon une répartition longiligne. Pour Lewontin, cela démontrerait une forte similitude entre les différentes races humaines, et donc, finalement, leur inexistence.
En revanche, si vous les reportez sur deux dimensions voire plus, les différences raciales deviennent immédiatement visibles, prouvant le caractère fallacieux du raisonnement de Lewontin.

https://user.xmission.com/~wooding/pdfs/witherspoon_similarities07.pdf

7. La différence des moyennes de QI entre les races doit quasiment tout au génotype, peu à l’environnement. Cf Jensen, Eysenck.

8. Le métissage n’élimine pas les races, il ajoute un type intermédiaire aux deux types d’origine, et il peut même donner naissance, à la longue, à de nouvelles races, comme cela est en train de se faire en Amérique latine.

9. Influence de l’environnement. Le climat a pu influencer la couleur de la peau, bien que ce ne soit pas évident, puisque que l’on trouve des hommes de race mongoloïde sur l’équateur, comme au pôle Nord. Mais l’adaptation aux conditions locales porte normalement sur l’ensemble du génotype, et non seulement sur des caractères isolés.

10. Les races ne sont pas égales, car l’égalité n’est pas dans la nature. En dehors des vrais jumeaux (monozygotes), deux individus ne sont jamais génétiquement identiques. De même, les gènes qui déterminent la race ont une influence physique et mentale qui varie selon la race. L’égalité des citoyens devant la loi, quelle que soit leur origine, proclamée par la constitution, n’est en rien une égalité de nature. On peut en dire autant de l’égalité morale entre les hommes affirmée par certaines religions ou philosophies.

Source : lesquen.fr/2017/02/22/les-cinq-races-de-lhumanite/

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