Source :

”Éric Duhaime a également rejeté tout lien entre la ”pandémie” et Bill Gate…”

”Éric Duhaime a également rejeté tout lien entre la 5G et la pandémie comme le suggère une autre théorie du complot qui a commencé à circuler en 2020.

« Absolument pas, s’est-il exclamé lorsque La Presse lui a demandé s’il considérait qu’il existait un lien entre les deux. Ni les puces ni Bill Gates », a-t-il continué en riant.”

Source : https://www.lapresse.ca/elections-quebec/2022-09-05/eric-duhaime-reconnaitra-le-resultat-du-3-octobre.php

Comment Bill Gates contrôle l’OMS et impose au monde son idéologie vaccinale

La santé mondiale ne répond plus à l’intérêt public, mais aux forces de l’argent. Et la vaccination, devenue une source majeure de rentabilité, a pris le pas sur d’autres priorités sanitaires. Cet article fouillé du journaliste scientifique Xavier Bazin explique l’influence démesurée du fondateur de Microsoft en direction d’une médecine hypertechnologique

«L’Organisation Mondiale de la Santé est beaucoup achetée par Bill Gates, beaucoup. La politique vaccinale du monde est dirigée par Bill Gates depuis une quinzaine d’années, d’abord par le Gavi (l’Alliance pour les vaccins) et ensuite par l’OMS ».

Comment Bill Gates a «acheté» l’OMS

Commençons par ce témoignage édifiant du Pr Christian Perronne, qui a été aux premières logesde cette dérive, en tant que vice-président du comité de l’OMS sur la politique vaccinale européenne :

«J’ai travaillé à l’OMS pendant des années, j’ai vu comment Bill Gates et Gavi ont infiltré l’OMS, qui est devenue une succursale de Bill Gates.

J’ai assisté à la colonisation de Gavi, l’organisation de Bill Gates pour les vaccins qui, petit à petit, a acheté l’OMS »[6].

Pas besoin de le croire sur parole : l’influence de Bill Gates à l’OMS est évidente et facile à prouver (…)

Non seulement la Fondation Gates est le deuxième plus gros contributeur… mais quand vous l’additionnez à la contribution du Gavi (contrôlée par Bill Gates), on voit que c’est le premier contributeur, de très loin, avec 18 % du total.[7]

Premier «actionnaire» avec 18,2%

Dans n’importe quelle entreprise privée, un actionnaire qui détient le plus grand nombre de participations, à hauteur de 18 %, exerce une influence majeure sur le cours de l’entreprise.

Mais dans le cas de l’OMS, ce niveau de financement est encore plus décisif. Pour une raison simple : 80 % des financements de l’OMS sont « volontaires », et donc « fléchés » par ceux qui contribuent.

Cela veut dire que ce n’est pas l’OMS qui décide de ce qu’elle fait avec 80 % des financements qu’elle obtient. Ce sont les donateurs qui décident de la manière dont est utilisé leur argent ! Le problème est bien expliqué par Lawrence Gostin, directeur de faculté à l’Institut O’Neill de l’Université de Georgetown aux États-Unis :

«La plupart des financements accordés à l’OMS par cette fondation sont en lien avec son agenda (NDLR : c’est-à-dire les choix de Bill Gates). Cela signifie que l’OMS n’est plus en position de fixer ses priorités de santé globale en étant pareillement redevable à un acteur privé. Et contrairement à des États-membres, contraints de répondre de leurs actes en démocratie, cette fondation n’endosse à ce niveau-là aucune responsabilité».[8]

Aussi surprenant que cela puisse paraître, des programmes entiers de l’OMS reposent sur les financements de Bill Gates, comme ceux visant à éradiquer la polio (par le vaccin, bien sûr). En conséquence, il est clair que l’OMS n’a pas du tout intérêt à se fâcher avec Bill Gates – et donc va tout faire pour aller dans le sens de ses priorités !

Plus de pouvoir que n’importe quel Etat membre

Dans les faits, la Fondation Gates a plus de pouvoir sur l’OMS que n’importe quel État au monde, y compris les États-Unis, pourtant premier contributeur, pour plusieurs raisons :

  • Une partie du financement des États est « obligatoire » et non « volontaire », ce qui veut dire que l’État n’a pas son mot à dire sur l’utilisation des fonds
  • Il est très difficile politiquement pour un responsable politique de réduire le financement de son pays à l’OMS, car cela créé immédiatement une réprobation unanime, notamment dans les médias (ce qui s’est passé quand Trump a suspendu sa participation à l’OMS)
  • Les États démocratiques connaissent des alternances, avec des politiques qui changent selon le pouvoir en place – à l’inverse, la Fondation Gates exerce son influence depuis plus de 20 ans sur l’OMS, avec une grande continuité dans ses objectifs vaccinaux.

Inévitablement, cela modifie en profondeur les priorités de l’OMS

Dès 2008, deux chercheurs de l’Université d’Oxford estimaient dans The Lancet que la fondation Gates « finance mal la santé mondiale » en donnant la priorité aux maladies infectieuses (et donc à la vaccination) au détriment des tueurs chroniques comme l’obésité, le diabète ou le cancer[9].

Voilà comment la politique «vaccinale» a pris une place démesurée à l’OMS, depuis vingt ans.

Mais pour bien mesurer à quel point c’est le cas, il faut aussi parler du fameux Gavi, troisième contributeur de l’OMS.

Gavi, bras armé de Bill Gates pour la vaccination

C’est la Fondation Gates elle-même, en l’an 2000, qui a donné naissance à l’organisation internationale «publique-privée» Gavi – et elle en est toujours restée le principal financeur[10][11]. Dans quel but? C’est écrit noir sur blanc, sur le site du Gavi :

«LE FAÇONNAGE DU MARCHÉ DES VACCINS

La Fondation Gates contribue aux efforts de l’Alliance (Gavi) visant à façonner le marché des vaccins par un rôle à la fois technique et financier. Elle contribue à recueillir des données servant à guider nos prises de décision et apporte des fonds.

La Fondation investit dans des activités allant de la découverte à la fourniture de vaccins en passant par leur mise au point, tout en encourageant l’innovation de produits et de nouveaux entrants à se lancer sur le marché»[12].

L’idée, comme on l’a vu sur l’affaire du choléra en Haïti, est d’aider au financement de toutes les étapes du processus vaccinal, de la fabrication du vaccin jusqu’à sa distribution. Comment, et avec quel argent ?

Financé par les autres… sans entamer l’influence de Gates

C’est tout le génie de Bill Gates: en plus de sa fondation, le Gavi est financé avec l’argent des autres, sans que son influence personnelle n’en soit diminuée.

Car Bill Gates a conduit de nombreux acteurs publics et privés à «mettre au pot» pour financer le Gavi : des États comme la France et de nombreuses entreprises pharmaceutiques.

Le Gavi est donc très influent par sa capacité de financement. Mais c’est aussi un grand réseau de lobbying sur la politique vaccinale de l’OMS et des États.

Très tôt, le Gavi a rassemblé des personnalités «influentes», des relais d’opinion «au-dessus de tout soupçon», attirés par l’argent, le prestige, et bien sûr la croyance en l’action bénéfique du Gavi.

C’est ainsi que Nelson Mandela a été nommé président du Vaccine Fund de Gavi au début des années 2000. («La première tâche du président Mandela était de rassembler d’autres leaders pour siéger au Conseil d’administration»)[13]. Et c’est ainsi que Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne, a pris la tête du Gavi en 2020.

Lié au forum de Davos

Et comme par hasard, le Gavi est lié à un des réseaux d’influence le plus puissant au monde : le Forum économique mondial (FEM) de Davos. C’est à Davos même, à l’occasion du Forum 2000 que le Gavi a été lancé. Puis, le partenariat étroit entre le Gavi et le FEM n’a fait que se renforcer.

Voici comment Klaus Schwab, président et fondateur du Forum économique mondial, a salué les 20 ans du Gavi : «Gavi fut l’une des premières grandes initiatives d’alliance du Forum économique mondial. À bien des égards, il s’agit d’un modèle de la manière dont le secteur public et le secteur privé devraient coopérer pour travailler beaucoup plus efficacement par rapport à l’effet des seuls gouvernements, entreprises ou société civile».

Et en effet, le Gavi est un «modèle» pour court-circuiter les décisions des gouvernements élus démocratiquement, tout en bénéficiant d’argent public. Le Gavi a lui-même d’énormes pouvoirs d’influence sur la politique vaccinale mondiale. Mais il a aussi un gros pouvoir d’influence sur l’OMS, pour que le vaccin soit au cœur de ses priorités.

Le patron de l’OMS, un ancien du Gavi

Récemment, le Gavi s’est félicité publiquement que le directeur de l’OMS nouvellement élu, le Dr Tedros, soit un ancien membre de son conseil d’administration et que «son engagement en faveur de la vaccination soit manifeste» (notez que le candidat arrivé en deuxième position était aussi un ancien membre du Gavi, dont on voit bien le rôle déterminant dans le choix des dirigeants de l’OMS[14]).

Cela vous donne une idée du niveau de pouvoir concentré dans les mains d’un seul homme, Bill Gates, sur la politique vaccinale mondiale.

Et c’est encore plus inquiétant quand on sait jusqu’où s’étend sa conception d’une « politique vaccinale efficace » :

Projet d’identité numérique mondiale, incluant le statut vaccinal

En 2018, le Gavi s’est enorgueilli d’être partenaire du « Centre pour la 4ème révolution industrielle du Forum économique mondial »[15]. Qu’est-ce que cette 4ème révolution industrielle, et quel rapport avec la vaccination ? Vous allez voir… et cela fait froid dans le dos.

La 4ème révolution industrielle est un concept de Klaus Schwab, le fondateur du FEM. Selon lui, les bouleversements technologiques en cours (intelligence artificielle, robotique, nanotechnologies, etc.) vont conduire à une «fusion des mondes physique, numérique et biologique» – oui, il fait partie de ceux qui fantasment une fusion à venir de l’ordinateur et du cerveau humain.

Pour le Gavi, ce partenariat a pour objectif d’appliquer la révolution numérique à la vaccination : «Nous voulons acheminer les vaccins vers chaque personne (dans les pays en développement), et nous avons besoin d’utiliser la technologie pour y parvenirUn problème est qu’un quart des enfants ne sont pas recensés. Nous voulons lier le certificat de vaccination à l’identité numérique, et être capables d’utiliser l’identité numérique pour suivre les naissances».

Cette vision « technologique » de la politique vaccinale va loin, très loin. Voici ce qui a été publié en décembre 2019 dans « Le Monde Afrique » (la partie du journal Le Monde financée par la Fondation Gates – oui, ce journal «indépendant» a lui aussi reçu 4 millions de dollars de la Fondation[16]) :

Une «ONG» qui veut vous ficher numériquement

Vous noterez que c’est la Fondation Gates qui finance directement ces travaux, ici, alors que Bill Gates exerce aussi son influence sur ces projets via le Gavi lié au Forum Économique Mondial – la pieuvre est partout.

Et si vous aviez encore un doute, le Gavi est aussi l’un des fondateurs et partenaires de «ID2020», une ONG qui veut «offrir» l’identité numérique à tous les citoyens du monde.

Dès l’année 2019, donc avant la pandémie, le Gavi et ID2020 ont ainsi lancé un programme ambitieux au Bangladesh, dont l’objectif est explicitement de lier l’identité numérique au statut vaccinal.

«Ce programme a pour but de permettre aux personnes qui ont reçu le vaccin de prouver qu’ils l’ont bien reçu, et non de surveiller les citoyens, comme le prétendent certains complotistes», s’est senti obligé de préciser le Gavi en mars 2020, après l’éclatement de la crise covid[17].

Le Covid, une opportunité immense

Peut-être… mais le résultat est le même, car on sait maintenant comment les gouvernements peuvent utiliser cette technologie pour contrôler nos libertés, via de simples QR code !

En fait, le Covid a représenté une opportunité immense pour faire avancer plus rapidement ce projet de passeport vaccinal lié à l’identité numérique.

Dès le mois d’avril 2020, alors que la mise au point de vaccins covid acceptables n’avait encore rien d’évident, la directrice de ID2020 a plaidé pour la mise en place de « certificats d’immunité numérique », en expliquant notamment ceci :

«Nous nous attendons à ce qu’il y ait un vaccin contre le Covid. S’il est fait sur le modèle du vaccin contre la grippe, un individu serait considéré comme immunisé pendant une saison ou une année. Après, il devra soit être revacciné, soit testé pour mesurer son niveau d’immunité»[18].

Inutile de vous rappeler ce qui s’est passé entre temps – et je vous donne rendez-vous à l’automne prochain pour la suite du programme. Cela vous donne une idée des objectifs de Bill Gates et de l’étendue de son influence.

Les autres tentacules de la pieuvre

Il serait trop long de tout dire, mais Bill Gates exerce aussi son influence sur la politique vaccinale par d’autres moyens que sa Fondation, l’OMS, le Gavi ou ID2020.

Je vous donne simplement quelques exemples significatifs :

  • Bill Gates est le fondateur et principal financeur du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, qui soutient avec l’aide du Gavi l’inefficace et dangereux[19] vaccin contre le paludisme[20]
  • C’est la Fondation Gates qui pilote le COVAX, l’organisation internationale censée promouvoir l’accès des pays pauvres aux vaccins anti-covid («Selon le New York Times, l’OMS aurait bien voulu endosser la gouvernance de ce dispositif, mais c’est la Fondations Gates qui s’est imposée»[21])
  • La Fondation Gates finance massivement les recherches scientifiques, et même des «instituts scientifiques» comme la Cornell Alliance for Science, qualifiée d’organe de communication en faveur des biotechnologies (OGM) par des lanceurs d’alerte – en utilisant ainsi la même stratégie que l’industrie du tabac pour «orienter» la science[22]
  • La Fondation Gates est un grand client du cabinet de conseil McKinsey, lequel a en quelques années « infiltré la santé publique mondiale »[23], jusqu’au plus haut niveau (et notamment le cabinet du ministère français de la Santé, dans la crise Covid).

Au sein de Microsoft, un prédateur sans scrupules

  • Rappelons que le businessman Bill Gates, au sein de Microsoft, s’est comporté comme un prédateur sans scrupule, qui a cherché à imposer un monopole par des moyens illégaux (et sévèrement poursuivi par la Justice américaine pour cela)
  • Bill Gates a été impliqué dans des scandales de harcèlements sexuels, révélés notamment à l’occasion de son divorce[24] («bien avant le divorce, Bill Gates était réputé pour son comportement douteux») et cela n’arrange pas son cas qu’il ait passé de longues soirées avec le fameux Jeffrey Epstein, connu pour son réseau de prostitution impliquant des puissants de ce monde (comme le prince Andrew)
  • Son départ de Microsoft et la création de sa Fondation ont eu lieu à un moment où il avait absolument besoin de redorer son image publique, devenue calamiteuse
  • Le «placement» d’une partie de sa fortune immense dans la Fondation Gates est une manière bien connue de faire de l’optimisation fiscale – et il faut noter que le «capital» qu’il a donné à la Fondation n’a jamais été entamé : l’argent distribué par la Fondation est celui qui a été apporté par des tiers !
  • Et toute la politique vaccinale qu’il promeut ne fait que renforcer la rentabilité des géants de l’industrie pharmaceutique, dans lesquels il possède d’énormes investissements à titre personnel, ce qui accroît mécaniquement sa fortune (la Fondation Gates possède d’ailleurs elle aussi d’importantes participations dans Big Pharma – exemple troublant : elle a investi 55 millions de dollars en octobre 2019 dans la société BioNTech, deux mois avant la pandémie, ce qui lui a permis de faire une plus-value énorme (facteur 10), après la mise au point par cette société du fameux vaccin anti-Covid, en partenariat avec Pfizer[25]).

Une vision technologique de la santé

Sa personnalité a donc de vraies zones d’ombre… mais là n’est même pas le problème ! Quelles que soient ses intentions, le problème est que sa vision des choses est en décalage total avec ce qui est bon pour la santé publique.

D’abord parce que Bill Gates a une vision essentiellement «technologique» de la santé. Comme beaucoup d’entrepreneurs de la Silicon Valley, il a cette idée simpliste que tout problème a forcément une solution simple et technologique.

Voilà pourquoi il mise tout sur les vaccins contre les maladies infectieuses… et il mise tout sur les OGM pour lutter contre la faim dans le monde… et contre le réchauffement climatique, il envisage de bloquer les rayons du soleil en libérant de la «poussière de craie».[31]

Le problème est que les solutions technologiques ne sont presque jamais des baguettes magiques contre les problèmes complexes, et peuvent au contraire causer de gros dégâts quand ils interfèrent avec des équilibres naturels subtils, biologiques en particulier – les vaccins covid en sont encore un exemple flagrant.

L’autre problème est que Bill Gates ne croit qu’aux projets qui sont «rentables», afin qu’ils puissent être menés par des entreprises privées, jugées plus efficaces. C’est une philosophie qui peut se défendre en soi, mais qui ne fonctionne pas en santé publique.

Big Pharma, Big Food, Big Agra et Big Chemical…

Car il est clair aujourd’hui que la santé publique est en conflit frontal avec les intérêts des grandes multinationales privées, Big Business :

  • Avec Big Pharma, dont le modèle est fondé sur la découverte de nouvelles molécules brevetables, alors que, comme l’a montré de manière exemplaire la crise du Covid, les solutions les plus efficaces et les moins couteuses sont le plus souvent à trouver dans le stock de molécules existantes, notamment naturelles
  • Avec Big Food, sachant que les boissons gazeuses et aliments ultra-transformés de l’industrie agro-alimentaire sont directement en cause dans les plus graves fléaux sanitaires de notre temps : obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, etc.
  • Avec Big Agra et Big Chemical, comme Bayer-Monsanto, dont les pesticides et perturbateurs endocriniens causent de lourds dégâts sanitaires
  • Etc.

Bref, même si Bill Gates a les meilleures intentions du monde – ce qui n’est pas sûr – sa philosophie générale est de toute façon aux antipodes de ce dont la santé publique a besoin.

Mais plus personne, ou presque, n’ose encore le dire. «Tout le monde a peur de mettre en cause le rôle des Gates et de la fondation parce qu’ils ne veulent pas perdre leurs financements…», résumait Sophie Harman, une universitaire de la Queen Mary University de Londres[32].

… car Gates arrose tout le monde

Bill Gates arrose tout le monde : médias, scientifiques, organisations internationales… Et toute critique à son égard est immédiatement catégorisée comme une «théorie du complot» élaborée par de dangereux conspirationnistes.

Ne soyons pas naïfs. Ne soyons pas dupes. Les politiques vaccinales ne sont pas décidées par des pouvoirs publics indépendants sur la base d’un «consensus scientifique» objectif, élaboré par des recherches désintéressées.

Il y a de grandes influences à l’œuvre, qui faussent le jeu – et celle de Bill Gates est immense.

Xavier Bazin

source :

https://www.covidhub.ch/comment-bill-gates-controle-loms-et-impose-au-monde-son-ideologie-vaccinale/

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