« Dans la maisonnette de la famille ours, tout le monde prépare son déguisement. Papa ours se trouve terrible en grand méchant loup, et toi petit ours, demande papa ours ? Moi je me déguise en boucle d’ours. Quoi, en boucle d’ours, avec une jupe rose et des couettes blondes ? »
Comment draguer les enfants
Elles insistent ! Alors que la plupart des parents sont vent debout contre les lectures de travelos devant des enfants, même à gauche (les parents gauchistes, quand même méfiants, accompagnent leurs gosses pendant ces séances de lavage de cerveaux hétéros), la presse persiste à fasciser les résistants et à défendre les pauvres drags, forcément victimes de transphobie.
Les parents non wokes refusent donc que leur progéniture soit exposée à ces créatures qui souffrent visiblement d’une pathologie de la personnalité.
Imaginez qu’on envoie des schizophrènes lire des bouquins tordus devant des 3-6 ans…
Évidemment, on n’a rien contre les schizos, mais il s’agit de comprendre que c’est la perception des enfants qu’on embrouille, et ce, volontairement. Les drags ont beau dire que leurs lectures sont innocentes, personne ne les croit. Le message subliminal envoyé est le suivant : il n’y a plus de différences entre les sexes, papa est maman et maman est papa, et puis, le sexe c’est bien à tout âge, même maintenant, mon poussin.
On ne peut pas balayer d’un revers de la main ces relents de promotion pédophile, quand des individus qui exhibent leur sexualité se présentent devant des enfants qui n’ont rien demandé.
Rééducation sexuelle forcée
Pourquoi les drags viennent-elles faire des lectures devant des enfants ? Rien que ce projet devrait faire bondir n’importe quel adulte sensé. Il n’y a aucune innocence là-dedans, aucune volonté de faire du bien aux enfants – qu’on les laisse jouer avec leurs poupées et leurs camions de pompiers ! –, uniquement le projet de diffuser subrepticement une déviance sexuelle par rapport à une norme, qui existe, déviance qu’on veut à tout prix imposer aux enfants en perturbant leur entendement. Il s’agit ni plus ni moins d’une agression sexuelle sous couvert de culture et de tolérance.
Ce n’est pas aux enfants de tolérer les travestis, c’est aux travestis de ne pas polluer l’univers merveilleux des enfants !
Les parents ont donc raison de s’opposer à cette promotion sexuelle hypocrite, et comme l’écrit Ludovine de La Rochère dans Valeurs actuelles, quand on parle des cours d’éducation sexuelle à l’école, le dada de Pap Ndiaye, il n’est jamais question d’amour, de couple, de romantisme, mais uniquement de positions et de pénétrations.
La presse subventionnée vole au secours des lectures LGBT en fascisant les parents rétifs. Le Parisien donne le ton :
Une initiative que n’entendent pas laisser passer certains parents, mais surtout l’extrême droite, que ce soient des sympathisants de Reconquête, le parti d’Éric Zemmour et de Marion Maréchal, ou encore de Civitas, le parti catholique traditionaliste. Depuis jeudi, on assiste ainsi à une levée de boucliers sur les réseaux sociaux, un appel à la mobilisation, une saturation du standard de la mairie d’arrondissement…
Défendre ses enfants contre une agression sexuelle visuelle et culturelle, c’est donc du fascisme. Bon. Mais le meilleur est à la fin de l’article.
Christine Barois, pédopsychiatre depuis plus de trente ans, qui « ne voit pas le problème » dans cet atelier, recadre le débat. Le médecin pointe qu’« on est en 2023. les repères parentaux ont changé. La société est en train de changer ». Elle rappelle qu’il y a désormais « des enfants nés sous FIV et des enfants issus de couples non hétérosexuels ». Selon la pédopsychiatre, « les enfants sont adaptables ». Et n’ont, en tout cas, « pas conscience de la portée politique derrière une drag-queen ».
Quel aveu !
Le 12 janvier 2019, il célèbre à la mairie du 13e le « mariage » de deux ours en peluche faisant partie des « Nounours des Gobelins », une collection de nounours de la taille d’un adulte, exposés de manière itinérante depuis octobre 2018 dans tout le quartier des Gobelins.
Tiens, il est aussi question de nounours dans l’extrait (à partir de 1’40) diffusé par Ligne droite en haut de l’article. Le lobby LGBT aurait-il un projet avec ce symbole du besoin affectif enfantin ? Transformer le petit nounours en grand ours pour que les enfants aiment les grands ours, c’est ça ?
Comment “draguer” les enfants
La drag story hour, c’est quoi encore ce truc ? À première vue, pour le Français moyen qui ne maîtrise pas la langue de Benny Hill, ce descendant indirect de Shakespeare, c’est l’heure de l’histoire de drague, ou la drague de l’histoire de l’heure.
Après étude poussée, il s’avère qu’il s’agit d’une rencontre merveilleuse entre des enfants et des drag queens. Une drag queen, c’est quoi ? C’est un monsieur qui se déguise en dame, plus ou moins bien, et qui joue à la dame. Oui, c’est une sorte de théâtre, mais axé sur le changement de genre. On rappelle qu’il y a 2 genres, et pas 36 : l’homme, et la femme. Ensuite il y a l’enfant, mais c’est pas un genre.
Ceci étant posé, les DQ américains (on ne met pas américaines parce que ce sont des hommes à l’origine, on n’a jamais vu une femme se déguiser en femme sinon ça se saurait, et d’ailleurs y a pas non plus de femmes qui se déguisent en hommes pour jouer à l’homme) organisent des rencontres avec des enfants dont les parents sont tolérants.
Des rencontres pour les violer ?
Non, que diable, pour les familiariser avec le changement de sexe, avec le mélange des genres, avec la confusion sexuelle. Aux États-Unis, pays de toutes les libertés, on a le droit d’envoyer des mômes dans les pattes des DQ. Wikipédia en anglais résume le projet :
Drag Queen Story Hour (DQSH), Drag Queen Storytime et Drag Story Time sont des événements pour enfants lancés pour la première fois en 2015 par l’auteur et activiste Michelle Tea à San Francisco dans le but « d’inspirer l’amour de la lecture, tout en enseignant des leçons plus approfondies sur la diversité, l’amour de soi et l’appréciation des autres ». Les événements, généralement destinés aux enfants âgés de 3 à 11 ans, sont animés par des drag queens qui lisent des livres pour enfants et participent à d’autres activités d’apprentissage dans les bibliothèques publiques. Le concept DQSH est considéré comme non conventionnel car les bibliothèques sont généralement plus réservées et les reines sont traditionnellement associées aux bars et à la vie nocturne.
Les reines ? Une reine c’est une personne qui règne sur un pays, qui a une couronne sur la tête, mais pas tout le temps, et que tout le monde aime, et qui est une femme, au fond.
Un DQ n’est donc pas une reine, même s’il il se déguise en reine. Les mots sont importants. En France, nous avons la version US qui a débarqué, mais devant la résistance du grand public dit transphobe, la trans-pilule a du mal à passer. On a quand même découvert, et merci à l’envoyeur, le Families Day dans le cadre du festival Bizarre à Paris. C’était la troisième édition ce samedi 16 octobre 2022, en voici le résumé par le site alafolie.paris (attention, langage enclusif, pardon, inclusif) :
Le festival consacre sa journée du dimanche 16 octobre aux familles, les familles homoparentales en particulier, les familles qui ne rentrent pas dans les clous, avec un brunch pour se retrouver tou·tes ensemble puis des activités pour petit·es et plus grand·es.
Les Drag Story Hours est un concept répandu aux États Unis, où les enfants rencontrent des artistes drag de la communauté LGBTQIA+.
Des contes de fées alternatifs y sont lus afin de présenter un imaginaire défait des stéréotypes de genre.
Lire : Pédo TV : Netflix apprend aux enfants de 5 ans à devenir homosexuels
Lire : Les militants transgenres ressemblent beaucoup à Pennywise The Clown
Source :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Comment-draguer-les-enfants-69927.html