Pourquoi l’ancien président ukrainien arborerait un Soleil noir, symbole souvent utilisé dans les mouvements néonazis généralement néo-païen ?
Il y a deux options.
La première, l’option des ”zéveillés” complotisss, des boomers brainwash antifas, ou des cathos français ultra chauvin saucés Civitas : l’Ukraine est secrètement contrôlée par l’internationale nazzzie qui opère depuis Washington et qui se cache derrière les juifs.
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Ce mème est si efficace dans la caboche des boomers mentaux occidentaux que Poutine s’en sert allègrement et en fait le motif et la justification même de l’opération militaire russe au Donbass.
La seconde, c’est la réalité : l’Ukraine est ouvertement contrôlée par l’internationale juive des Zelensky, Blinken, Nuland, Bernard-Henri Lévy, Glucksmann et elle se cache derrière des hooligans slaves, germains ou celtes sur-tatoués.
Il est assez bien établi que le National-Socialisme n’a jamais eu pour caractéristique d’être au service de la religion racialo-politique juive.
L’essence de l’Ukraine est bien anti-humaine, au sens où elle est un repaire fortifié du talmudisme internationaliste.
”…Depuis le 24 février 2022, retournement de veste, et avec l’aide des médiats, Azov se concilie Israël et la communauté juive aux États-Unis pour obtenir son retrait de la liste des organisations que le pays ne peut financer et dont les éléments ne peuvent recevoir une formation de l’armée américaine.
Peu à après le début de l’opération militaire russe, en mai, le Times à Londres a rapporté qu’Azov prévoyait de changer son logo-symbole (le wolfsangel). De même, le « détachement d’opération spéciale Azov » des origines est devenu depuis un régiment. Il a été intégré à la Garde nationale ukrainienne pour tenter de diluer son image de pure milice anti-Russe et faire oublier les nombreuses accusations d’avoir participé à des exactions, tortures et crimes de guerres contre les populations du Donbass. Cette évolution a été acté dans un article du Jerusalem Post, tout récemment, qui affirmait que « le bataillon Azov [est] le prédécesseur du régiment Azov ».
Ilya Bezruchko, dans une publication du Times of Israel, a mis un accent particulier sur cette question, citant non seulement les paroles de Samoilenko, mais aussi le témoignage de trois combattants juifs d’Azov (Vitaly Barabash, Ilham Hasanov et Valentino Dzyubenko), avec lesquels il a communiqué personnellement à cette occasion.
Selon Bezruchka, les sentiments extrémistes étaient associés à Azov en 2014, ensuite, ils ont été amenés au bataillon par des volontaires russes :
« Cependant, pour des raisons inconnues, ces personnes noires ont disparu moins d’un an après avoir rejoint le bataillon et n’ont laissé qu’une traînée d’histoires désagréables qu’ils ont créées pour les médias. Connaissant très bien la méthodologie de la propagande russe, je suppose que ces gens étaient des « taupes » dans le régiment. »
L’auteur y déclare aussi qu’après 2017, le nouveau commandant Denys Prokopenko a commencé à appliquer strictement les normes de l’OTAN en matière de formation, d’idéologie et de conduite des opérations de combat. Le Jerusalem Post cite aussi un grand rabbin d’Ukraine Yakov Blaich :
« S’il n’y avait pas eu la propagande russe, je ne saurais même pas qu’il y a des nazis à Azov. C’est une minorité d’une minorité. »
Azov «on tour» de Washington à Jérusalem : «Marioupol est leur Massada»
”…Avec cette visite en Israël, Azov se glisse opportunément dans l’ambiance régnant à Kiev – devenue une colonie à disposition d’oligarques juifs depuis sa séparation de l’URSS – où il y a quelques jours encore, Valerii Zaluzhnyi, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, posait fièrement avec un grand rabbin d’Ukraine, Moshe Reuven Azman, au cinquième jour de l’allumage des feux d’Hannouka :
Honni quelques mois encore avant cette guerre par procuration contre la Russie, les médiats occidentaux se sont maintenant largement alignés, décrivant Azov avec sympathie comme les « héroïques défenseurs de Marioupol », comme des « patriotes incompris » et comme les victimes de la « propagande de Poutine ».
Même l’ADL affirme que l’intégration du bataillon Azov dans la garde nationale ukrainienne en 2014 signifiait que l’unité militaire Azov s’était séparée du mouvement politique d’extrême droite Azov et du fondateur du mouvement Andriy Biletsky. Et l’ADL dit maintenant qu’elle « ne voit pas le régiment Azov comme le groupe d’extrême droite qu’il était autrefois ». Un adoubement qui ne trompe pas.
La normalisation d’Azov est en marche depuis plusieurs mois avec l’aide d’Israël, des néo-conservateurs sionistes et de leurs lobbies, un peu comme lorsque les États-Unis et leurs alliés ont tout d’un coup rebaptisé la branche syrienne d’Al-Qaida en « rebelles modérés » lorsque celle-ci s’est lancée contre le régime honni de Bachar el-Assad, ce qui servait leurs plans.
Finalement, passé d’un bataillon de « nationalitaristes » nostalgiques, chauvinistes et revanchards à un régiment de ralliés à l’atlanto-sionisme et au néo-conservatisme yankee, la mue d’Azov est actée par les maîtres qu’il s’est donné...”
Dans l’esprit des juifs, cette guerre est religieuse et s’inscrit dans leur eschatologie millénaire.
L’écrasement des goyim en dépend.
Shana Tova, Monsieur le Président, et au peuple ukrainien.
Puisse cette année apporter à l’Ukraine une victoire totale et au monde une défaite radicale de l’ennemi de l’humanité.
Les deux jours de Rosh Hoshana sont, selon la tradition, des jours où la naissance et le jugement sont inséparables.
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Слава Україні !
La juiverie n’hésitera pas à exhiber des croix gammées partout si les choses se compliquent en Ukraine. L’idée, en cas de défaite, serait de dire que tout a toujours été la faute des néo-nazzzis et que les juifs n’ont rien à voir avec toute cette histoire parce qu’ils ont toujours voulu la paix.
Si demain Kiev est menacée d’encerclement, les juifs s’assureront que tous les immeubles des ministères affichent des croix gammées et des portraits d’Adolf Hitler.
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