Les Californiens ont été sommés de ne pas charger leurs voitures électriques mercredi 31 août, afin de ne pas accabler davantage un réseau d’électricité vieillissant, mis sous tension par une redoutable vague de chaleur. La semaine dernière, l’État avait annoncé bannir la vente de voitures neuves à essence à partir de 2035. Des températures atteignant 44 degrés étaient attendues dans la banlieue de Los Angeles, au moment où un dôme de chaleur surplombe l’Ouest américain.

La météo étouffante devrait mettre sous pression un réseau électrique déjà très sollicité, notamment pendant les heures les plus chaudes, quand les systèmes de climatisation – incontournables aux États-Unis – fonctionnent à plein régime. «Les consommateurs sont priés de réduire leur utilisation d’énergie entre 16H et 21H, quand le système est le plus sous tension, car la demande reste élevée et qu’il y a moins d’énergie solaire disponible», a déclaré l’American Public Power Association, organisme qui représente les services publics.

Les trois principales mesures recommandées: régler le thermostat à 25°C ou plus, éviter d’utiliser les gros appareils et de charger les véhicules électriques, et éteindre les lumières inutiles, a précisé l’organisme. L’électricité est un sujet sensible pour l’État, dont les infrastructures sont vétustes. Les entreprises d’électricité demandent régulièrement aux foyers de limiter leur consommation pendant certaines heures, quand les panneaux solaires cessent de produire de l’électricité alors que la demande reste élevée, en raison de la chaleur.

Mais l’appel à ne pas charger sa voiture électrique a été largement moqué sur les réseaux sociaux, au moment où l’État met en avant ce type de véhicules. «La Californie vient de rendre obligatoires les véhicules électriques ET demande aux habitants de ne pas les charger entre 16H et 21H?», a ironisé le sénateur républicain Tom Cotton sur Twitter. Jeudi, les autorités californiennes avaient annoncé que les voitures neuves vendues devraient être à «zéro émission» polluante à partir de 2035 au plus tard. La décision avait été perçue comme un tournant pour l’industrie des voitures électriques, la Californie représentant un marché important pour l’automobile et pouvant influencer les normes nationales ou internationales.

Source : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/les-californiens-sommes-de-ne-pas-recharger-leurs-voitures-electriques-a-cause-de-la-chaleur-20220901

Nous avons ouvert la première partie de ce dossier sur l’ONU en évoquant la volonté de Lénine d’édifier une « république Soviétique mondiale. » Cette troisième partie va nous permettre de montrer comment cet objectif s’accomplit aujourd’hui même, sous le patronage des Nations unies, en utilisant les problèmes environnementaux comme moyen de mobilisation de la population.

L’écologie est un outil d’une puissance sans pareille pour les communistes et les mondialistes, en ce sens qu’elle exerce une capacité de mobilisation sans équivalent chez des individus de pays, religions, cultures et traditions extrêmement différents.

Les politiques de l’Agenda 21 et du développement durable datent des années 1970 et plus précisément de la Conférence des Nations unies sur l’environnement de Stockholm. Mais elles ne furent médiatisées qu’à partir de 1992 lors du Sommet de Rio. Ce document en lui-même est un plan de 40 chapitres qui vise à modifier les politiques économiques, sociales et environnementales dans le but affiché de « préserver la biodiversité. »

Heureusement, Maurice Strong, qui fut directeur du Programme des Nations unies pour l’environnement, apporte des précisions bienvenues :

« Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée, impliquant une consommation élevée de viande et de grandes quantités d’aliments surgelés et prêts à consommer, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation à la maison et au travail et des logements de banlieue ne sont pas durables. » – U.N.’s world Commission on Environment and Development, 28 août 1991.

Êtes-vous prêts à renoncer à votre voiture, à vous faire dicter vos choix alimentaires par le gouvernement et les fonctionnaires onusiens et à quitter votre logement individuel pour un habitat collectif ? À vrai dire, vous n’avez guère le choix, car l’Agenda 21 n’a pas prévu de prendre en compte votre avis, comme nous allons le voir dans un instant.

Par ailleurs, vos libertés ne peuvent jamais aller à l’encontre des politiques mondialistes :

« Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. » – Article 29 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, 1948.

Résumons : des droits vous sont accordés mais ne peuvent être utilisés que si vous en faites usage pour aller dans le sens des Nations unies. L’URSS et les pays du bloc de l’Est avaient ce genre de « libertés. »

Source : http://vu-dailleurs.com/2020/04/26/onu-agenda-21-et-developpement-durable-la-dictature-verte/

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *