C’est l’avertissement que lancent des chercheurs de l’Institut de l’énergie Trottier de Polytechnique Montréal dans un rapport intitulé « Une perspective stratégique pour le secteur de l’électricité dans le centre et l’est du Canada », publié mercredi.
Selon ce « livre blanc », avec la trajectoire actuellement empruntée, la plupart des provinces seront incapables de combler les besoins en électricité créés par l’augmentation du parc de véhicules électriques et la décarbonation du chauffage des bâtiments, à l’horizon 2030.
Les enjeux de décarbonation au Québec sont aussi liés au transport, puisque la province vise à avoir un parc de 1,5 million de véhicules électriques d’ici 2030 et cesser de vendre des véhicules à essence à partir de 2035.
Nous avons ouvert la première partie de ce dossier sur l’ONU en évoquant la volonté de Lénine d’édifier une « république Soviétique mondiale. » Cette troisième partie va nous permettre de montrer comment cet objectif s’accomplit aujourd’hui même, sous le patronage des Nations unies, en utilisant les problèmes environnementaux comme moyen de mobilisation de la population.
L’écologie est un outil d’une puissance sans pareille pour les communistes et les mondialistes, en ce sens qu’elle exerce une capacité de mobilisation sans équivalent chez des individus de pays, religions, cultures et traditions extrêmement différents.
Les politiques de l’Agenda 21 et du développement durable datent des années 1970 et plus précisément de la Conférence des Nations unies sur l’environnement de Stockholm. Mais elles ne furent médiatisées qu’à partir de 1992 lors du Sommet de Rio. Ce document en lui-même est un plan de 40 chapitres qui vise à modifier les politiques économiques, sociales et environnementales dans le but affiché de « préserver la biodiversité. »
Heureusement, Maurice Strong, qui fut directeur du Programme des Nations unies pour l’environnement, apporte des précisions bienvenues :
« Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée, impliquant une consommation élevée de viande et de grandes quantités d’aliments surgelés et prêts à consommer, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation à la maison et au travail et des logements de banlieue ne sont pas durables. » – U.N.’s world Commission on Environment and Development, 28 août 1991.
Êtes-vous prêts à renoncer à votre voiture, à vous faire dicter vos choix alimentaires par le gouvernement et les fonctionnaires onusiens et à quitter votre logement individuel pour un habitat collectif ? À vrai dire, vous n’avez guère le choix, car l’Agenda 21 n’a pas prévu de prendre en compte votre avis, comme nous allons le voir dans un instant.
Par ailleurs, vos libertés ne peuvent jamais aller à l’encontre des politiques mondialistes :
« Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. » – Article 29 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, 1948.
Résumons : des droits vous sont accordés mais ne peuvent être utilisés que si vous en faites usage pour aller dans le sens des Nations unies. L’URSS et les pays du bloc de l’Est avaient ce genre de « libertés. »
Source : http://vu-dailleurs.com/2020/04/26/onu-agenda-21-et-developpement-durable-la-dictature-verte/
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