Après Adolf Hitler, le Docteur Josef Goebbels est certainement l’homme le plus diffamé de l’histoire. Dans cette ère de mensonges, rien de surprenant à que l’homme qui a fait de l’art de dire la vérité l’arme ultime contre le juif se voit accusé d’être le mensonge incarné.
Ainsi, on ne compte plus les idiots qui répètent cette citation :
C’est une déclaration sortie de son contexte.
Dans un discours du 12 janvier 1941 intitulé « L’usine à mensonges de Churchill », le Docteur Goebbels accusait justement les Britanniques de se livrer au mensonge sans aucune retenue :
Le principal secret des dirigeants anglais ne repose pas sur une intelligence particulière. Il dépend plutôt d’une remarquable stupidité. Les Anglais suivent le principe selon lequel lorsqu’on ment, il faut mentir gros et s’y tenir. Ils maintiennent leurs mensonges, même au risque de paraître ridicules.
Cet extrait, « lorsqu’on ment, il faut mentir gros », est devenu, « plus c’est gros, plus ça passe », avant d’être attribué au Docteur Goebbels comme une sorte de revendication cynique de sa volonté de mentir.
Cette accusation sans fondement, quoique convaincue d’inanité depuis longtemps, continue d’être reprise par tous les demi-débiles, activement ou passivement antifascistes.
Le Docteur Goebbels alertait sur l’art de mentir des démocraties derrière lesquelles se tient, inamovible, le juif. Le juif, avec son culot revendiqué, sa c’hutzpah, ment avec une telle insolence qu’il va jusqu’à accuser ceux qui dénoncent courageusement ses mensonges d’être les pires des menteurs.
Le héros devient le diffamé.
Le juif, de toutes les fibres de son corps, est menteur. Même si on le répète encore et toujours, le goy parvient difficilement à appréhender cette réalité d’une créature qui ne vit que par le mensonge, pour le mensonge.
Lire également : Discours de Joseph Goebbels du 10 février 1933 au Palais des Sports de Berlin (vidéo)
Ici, nous avons entrepris d’éduquer les gens sur la nature du juif, une nature que la propagande juive cherche sans cesse à dissimuler en présentant le juif comme une éternelle victime immaculée. Cinémas, télévisions, radios, librairies, écoles vrombissent tous les jours des proclamations de l’innocence absolue des juifs.
Hélas pour Jehovah, il ne résiste jamais à l’analyse scrupuleuse des faits.
On peut être sûr que les plus outranciers d’entre eux dans un registre sont également les plus englués dans leurs affres inavouables.
Il s’érige en autorité morale si véhémente, ment avec un aplomb tel, s’emporte avec tant de rage, s’indigne si férocement, que le goy, désarçonné, se tait et écoute, pris de tournis.
Si le juif n’était qu’une sorte de rom repoussé en marge des villes, ce serait une chose, mais ce parasite contrôle la totalité des médias occidentaux d’une poigne de fer. Ses mensonges dégoulinent dans chaque foyer, pas une cervelle blanche n’échappe à ses manipulations les plus odieuses.
On ne peut pas combattre un tel ennemi par la feinte. On le combat frontalement, en le dévoilant nommément aux foules.
Il n’y a pas et ne peut y avoir de politique révolutionnaire qui ne désigne radicalement et irréversiblement le juif comme l’ennemi du genre humain, sa négation absolue.
Cela passe par la vérité.
L’école des cadavres avec Céline (extrait 1938)
”Il règne sur tout ce pays, au tréfonds de toute cette viande muselée, un sentiment de gentillesse sacrificielle, de soumission, aux pires boucheries, de fatalisme aux abattoirs, extraordinairement dégueulasse. Qui mijote, sème, propage, fricote, je vous le demande, magnifie, pontifie, virulise, sacremente cette saloperie suicidaire ? Ne cherchez pas ! Nos farceurs gueulards imposteurs patriotes, notre racket nationaliste, nos chacals provocateurs, nos larrons maçons, internationalistes, salonneux, communistes, patriotes à tout vendre, tout mentir, tout provoquer, tout fourguer, transitaires en toutes viandes, maquereaux pour toutes catastrophes. Patriotes pour cimetières fructueux…”
Un maçon c’est pas plus français que syriaque, volapuque, ou parpaillot ; c’est un Juif volontaire, un Juif synthétique. Enjuivé jusqu’au noyau, il n’appartient qu’aux Juifs, corps et âme.
Il a cessé d’être aryen, d’être des nôtres, au moment précis où il se vendait aux Loges.
D’esprit, de cœur, de réactions c’est un étranger, un ennemi, c’est un espion, une bourrique, un provocateur, aux gages de la juiverie mondiale.
Un maçon ne peut plus comprendre, ne plus obéir qu’à des ordres occultes, des ordres de la juiverie mondiale, de la Banque mondiale juive, de l’Intelligence Service juif.
Il aura beau se faire cocoriquer du “national” plein la gueule, ça n’empêchera pas les choses, qu’il est vendu, qu’il est maudit, qu’il est pourri de toutes les fibres, qu’il est aux ordres absolus de l’Internationale juive, de toutes les saloperies secrètes, de la Massacrerie mondiale permanente. Traître indélébile, plus ou moins rusé, plus ou moins conscient, perfide, honteux, terrorisé, retors, mais pour ce qui nous concerne, traître, inverti racial, pourrisseur, assassin.
Les Francs-maçons travaillent pour les Juifs, en fourriers, ordonnateurs, propagandistes enragés de la décadence, de la disparition des races aryennes par tueries suicidaires de plus en plus gigantesques, ahurissantes, impitoyables, impeccables.
C’est le même gang au même tapin.
Celui de l’envoi de nos viandes crues, à l’heure prescrite, à l’Heure Juive, aux tueries, aux fantastiques embrasements, aux charniers judaïques de plus en plus fastueux, dits défensifs, dits humanitaires, dits pacifistes, dits libérateurs, dits progressistes, dits communistes, dits anti-nazistes, dits, etc. dits, dits, dits…
S’il avait envie de “redresser”, comme il annonçait, Daladier, il avait pas besoin pour ça de se répandre en 500 décrets. Trois suffisaient, très largement. Des bons, des effectifs :
1° L’expulsion de tous les Juifs.
2° Interdiction, fermetures de toutes les Loges et Sociétés Secrètes.
3° Travaux forcés à perpétuité pour toutes les personnes pas satisfaites, dures d’oreilles,
etc…
Le jour où ces choses-là seront dites, écrites, promulguées noir sur blanc, ça sera possible de se rendre compte que le Président du Conseil est redevenu l’un des nôtres, que les Français sont de nouveau, maîtres chez eux. Pas avant.
Jusqu’à la preuve du contraire, dans l’état actuel des choses, nous ne sommes tous, Président compris, qu’une bande de fiotes bien rebutants, une racaille bien courbée, merdeuse, nécrosée, veule à dégueuler, effroyablement abrutie, damnée d’esclavage, de vinasse, de slogans juifs, de la vraie charogne en suspens, du nanan pour toutes les ruées de toutes les meutes à la renifle, une providence pour les chacals de tout l’univers. Une affaire cadavérique monstre.
Les États fascistes ne veulent pas de la guerre. Ils n’ont rien à gagner dans une guerre. Tout à perdre. Si la paix pouvait encore durer trois ou quatre ans, tous les états d’Europe tourneraient fascistes, tout simplement, spontanément. Pourquoi ? Parce que des États fascistes réalisent sous nos yeux, entre Aryens, sans or, sans Juifs, sans francs-maçons, le fameux programme socialiste, dont les youtres et les communistes ont toujours plein la gueule et ne réalisent jamais.
Vous aurez beau regorgez d’or, de cuivre, de blé, de laine, de pétrole, posséder toutes les mécaniques les plus mirobolantes du monde, toutes les richesses, tous les trésors imaginables, si la démagogie travaille vos masses, vous n’arriverez quand même à rien, vous serez pourris au fur et à mesure, vous crèverez de matérialisme, de surenchère. Rien ne vous sauvera.
Qui a mis Rothschild en caisse ? c’est pas Daladier, c’est Hitler. Qui a fait le plus pour l’ouvrier ? c’est pas Staline, c’est Hitler.
Qui donc a mis comme ça Rothschild sous les verrous ? pour spéculations ? C’est pas Schussnig, c’est pas Cachin, c’est pas Jouhaux, c’est pas Blum, c’est pas Chamberlain, c’est pas Staline, c’est Hitler. C’est le fascisme. Le communisme est un truc de Juif, un moyen d’asservir le peuple plus vachement encore, absolument à l’œil.
Quel est le véritable ami du peuple ? Le Fascisme.
Qui a le plus fait pour l’ouvrier ? L’U.R.S.S. ou Hitler ?
C’est Hitler.
Y a qu’à regarder sans merde rouge plein les yeux.
Qui a fait le plus pour le petit commerçant ? C’est pas Thorez, c’est Hitler !
Qui nous préserve de la Guerre ? C’est Hitler !
Les communistes (juifs ou enjuivés), ne pensent qu’à nous envoyer à la bute, à nous faire crever en Croisades.
Hitler est un bon éleveur de peuples, il est du côté de la Vie, il est soucieux de la vie des peuples, et même de la nôtre. C’est un Aryen.
Nos redresseurs nationaux, les hommes comme La Rocque, comme Doriot, Maurras, Bailby, Marin, la suite… ils redressent rien du tout, puisqu’ils parlent jamais avant tout, de virer les Juifs. Ils parlent vraiment pour ne rien dire. C’est des causeurs, des pas méchants.
Ils servent qu’à noyer le poisson. Ils endorment la purulence, ils travaillent dans la compresse, le subterfuge, l’émollient. Ils crèveront jamais rien du tout, pas le moindre petit abcès.
C’est en somme des complices des Juifs, des empoisonneurs, des traîtres. Ils laissent le pus s’infiltrer, le mal se répandre, gagner toujours en profondeur. Ils ont peur du bistouri.
Le Juif est la chair de leur chair. Encore bien mieux c’est leur pitance. Ils collent aux Juifs tenants du flouze. Ils voudraient pas qu’on les abîme ! Pour rien au monde ! Ça serait trop con ! Faut au contraire qu’ils adhèrent aux “beaux mouvements” redresseurs, aux “nationaux nominaux” les Juifs ! On leur parle un drôle de langage pour les fariner, on les travaille à l’épouvante.
Les Aryens ont encore, peut-être, quelques possibilités de “s’accomplir” en purifiant leur race, de se dénégrifier, de se déjudaïser, il n’est que temps ! s’ils sont trop lâches, trop vils, trop fainéants, s’ils se laissent trop nombreusement enculer par les négrites, les asiates, par les juifs ils disparaîtront, ignoblement.
D’autres races viendront, jaunes sans doute, qui les balayeront, qui les rejetteront à la mer.
France Empire du Soleil Couchant.
Ce monde est une société anonyme perpétuellement en faillite dont le Conseil d’Administration est entièrement juif et toujours réélu par les Aryens unanimes, enthousiastes, en dépit de la gestion toujours catastrophique. L’Aryen a le goût du malheur, de la souffrance infinie. Les administrateurs juifs du monde, qui ne foutent rien, sont les seuls qui s’enrichissent, sur la misère des États, à coups de faillites. Leur puissance s’accroît à la mesure des catastrophes. Tout l’or du monde est raflé périodiquement par les Juifs, à coups de crises, d’inflations, de révolutions et de guerres.
Toutes les décisions mondiales de guerre et de révolutions sont prises par les Juifs.
L’or en démocratie commande tout, les hommes, les gouvernants, les choses, la loi, les arts, la musique, le cul, l’armée, la vie, la mort, les âmes.
Pour la grande famille juive nous ne sommes qu’autant de bidoches corvéables, plus ou moins fainéantes, plus ou moins vendables, plus ou moins coriaces, plus ou moins dociles. On va vous vendre aux Juifs, rassemblés en partis de droite et de gauche comme on va vendre un troupeau de vaches, bien mugissantes, au Juif encore, le jour de la foire.
Les créateurs d’un Parti, de n’importe quel Parti, de droite ou de gauche, n’ont qu’une idée dans la tête, dès le début de leur aventure. À quel prix que je pourrai les revendre, le moment venu, aux juifs, mes branquignols ? Quand ils beugleront assez fort ? C’est tout.
Qu’importe la couleur des pelages ? Rouges, verts, jaunes ou résédas ? C’est pas la question. C’est pas les opinions qui comptent, c’est la force des beuglements et le nombre de bêtes.
Un bon troupeau politique, bien fanatisé, bien hurleur, c’est de l’or en barre. Le Juif est toujours preneur. Pour le Juif c’est tout de la vache, de l’électeur, du soldat, de la bonne qualité de viande aryenne qui lui donnera jamais de déboires.
Toute l’Histoire des Juifs hurle ce principe : « Tout compromis avec les Juifs se termine par le triomphe des Juifs et par l’écrabouillement des Goyes. » C’est classique. Vous n’y couperez pas. On veut se débarrasser du juif, ou on ne veut pas s’en débarrasser. Qui veut la fin veut les moyens, et pas les demi-moyens.
Il faut savoir ce que vous voulez. Vous voulez vous débarrasser des Juifs ou vous voulez qu’ils demeurent ? Si vous voulez vraiment vous débarrasser des Juifs, alors pas trente-six mille moyens, trente-six mille grimaces ! Le Racisme ! Les Juifs n’ont peur que du racisme. L’antisémitisme, ils s’en foutent.
Ils peuvent toujours s’arranger avec l’antisémitisme. Le nationalisme (casher) est là pour un coup ! et le baptême donc ! Racisme ! Racisme ! Racisme ! Et pas qu’un petit peu, du bout des lèvres, mais intégralement ! absolument ! inexorablement !
Conclusion : Par les morales les plus rigides, les mesures les plus terrifiantes on n’arrive pas à grand’chose avec les hommes, mais par les demi faux-semblants, les demi-teintes, les faux-fuyants, qu’est-ce qu’on espère ?
Autant bien mieux avouer tout de suite qu’on a rien envie de faire du tout, qu’on s’en fout.
Ça serait plus simple, plus honnête.
Et puis Amen nom de Dieu ! Et vive l’enfer du Talmud !
-LOUIS–FERDINAND CÉLINE (extraits choisis)
L’ÉCOLE DES CADAVRES. 1938
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