La notoriété de Vincent Reynouard a pris une dimension internationale inédite. Le public anglophone découvre l’homme et, d’ici peu, ses travaux.
Cette médiatisation est une excellente nouvelle, non seulement pour donner à Vincent Reynouard l’aura internationale dont son travail a besoin, mais aussi car le dossier devient politique et médiatique au Royaume-Uni.
En Grande-Bretagne, il n’y a pas de législation de terreur comme en France à propos des chambres à gaz imaginaires d’Adolf Hitler. Le prétexte délirant de l’arrestation, une vidéo de 2014 sanctionnée d’un an de prison en France, va percoler dans le débat public britannique. Cette vilaine affaire entraîne de facto les autorités du Royaume-Uni dans un débat légal sur la censure importée par les juifs depuis la France.
Malgré les présentes difficultés, c’est peu de dire qu’il s’agit d’une extraordinaire victoire politique et médiatique.
Austin, Rothschild
Un article publié aujourd’hui évoque l’agent des juifs qui, dans la coulisse du pouvoir britannique, est à l’origine de cette cabale montée avec la juiverie au pouvoir à Paris.
Nous parlons là de l’épicentre du pouvoir juif installé au coeur du gouvernement britannique.
L’agent des juifs à la manoeuvre est Ian Austin.
Austin a été adopté par un juif tchèque. Ce socialiste, ennemi juré de Jeremy Corbyn, l’ex patron du parti travailliste britannique, a été « anobli » par le juif Boris Johnson en remerciement du putsch opéré au sein du parti travailliste pour le compte d’Israël.
L’arrestation du chercheur révisionniste français Vincent Reynouard jeudi dernier – pour un « crime » qui n’est même pas un délit au regard de la loi britannique – a été réalisée grâce au lobbying d’un fixateur politique notoire, qu’un ancien Premier ministre a un jour décrit comme un « videur » en raison de ses tactiques musclées.
Bien que M. Reynouard n’ait enfreint aucune loi britannique, un groupe de pression sioniste de Londres a pu travailler avec les autorités françaises pour faire pression sur les policiers britanniques afin qu’ils perdent du temps et de l’argent à le poursuivre. Lord Austin est un personnage central qui a persuadé la police britannique de collaborer à cette honteuse procédure d’arrestation et d’extradition.
Ian Austin – aujourd’hui Lord Austin of Dudley – a été député travailliste pendant quatorze ans et auparavant assistant du chancelier travailliste Gordon Brown. En 2006, le chef des conservateurs, David Cameron, l’a décrit comme l’un des « fantassins du chancelier », en raison de son comportement louche et persistant au Parlement.
Ian Austin – le lobbyiste clé qui a facilité l’arrestation de Vincent Reynouard – vu ici lors d’une marche organisée par des groupes de pression juifs contre la direction de son propre parti (le parti travailliste). Il a été élevé à la Chambre des Lords par ses adversaires conservateurs théoriques et écrit maintenant une colonne pour un journal conservateur.
En tant que pro-sioniste fanatique, les mensonges d’Austin lui ont valu des ennuis à plusieurs reprises. En 2012, il a été contraint de s’excuser auprès du groupe palestinien de défense des droits de l’homme Friends of Al-Aqsa après les avoir faussement qualifiés de « négationnistes de l’Holocauste ».
En 2018, Austin a été réprimandé par son propre parti pour avoir critiqué le code de conduite du Labour (parti travailliste) sur l’antisémitisme : inutile de préciser qu’Austin soutenait que le Labour n’était pas suffisamment pro-sioniste.
En mars 2022, Austin a été contraint de présenter ses excuses à Laura Murray, une ancienne collaboratrice de l’ancien leader travailliste Jeremy Corbyn, après l’avoir accusée d’être une « raciste antijuive » et de faire partie de l’équipe dirigeante « antisémite » de Corbyn. À ce stade, Austin avait trahi son propre parti et avait été anobli sous le nom de « Lord Austin of Dudley » par le Premier ministre conservateur Boris Johnson. Son attaque diffamatoire contre Mme Murray a été publiée dans un article d’un journal conservateur, le Daily Telegraph : Austin et le Telegraph ont dû verser à Mme Murray 40 000 £ de dommages et intérêts et présenter des excuses sans réserve.
Est-ce vraiment le genre d’homme sur la parole duquel les policiers devraient être persuadés de dépenser l’argent des contribuables britanniques et sur les conseils duquel les autorités britanniques devraient être persuadées d’abandonner nos libertés traditionnelles ?
Pendant des années, tant en tant que député qu’à la Chambre des Lords, Austin a donné la priorité aux campagnes sionistes, notamment à la commémoration de l’ »Holocauste ». Le registre parlementaire montre des dons en espèces répétés à Austin (même en ne considérant que, par exemple, la période 2015-2019) de la part de deux hommes d’affaires sionistes bien connus, Sir David Garrard et Sir Trevor Chinn.
Garrard est un promoteur immobilier londonien qui, en 2005, a accordé un prêt secret de 2,3 millions de livres sterling au parti travailliste (alors qu’il avait auparavant soutenu le parti conservateur rival) : par une étrange coïncidence, les travaillistes l’ont proposé pour une pairie en même temps que ce » prêt » secret, mais il a retiré sa candidature lorsqu’un scandale de « liquide contre honneurs » a fait la une des journaux. Garrard a choisi de ne pas exiger le remboursement jusqu’à ce que le parti élise un leader antisioniste dix ans plus tard (Jeremy Corbyn). En 2019, il a donné 1,5 million de livres sterling au soi-disant « Groupe indépendant », une faction pro-sioniste de députés qui a entrepris de saper le leadership de Corbyn.
Sir David Garrard, magnat sioniste et donateur régulier de l’accusateur de Vincent Reynouard, Lord Austin.
Pendant plusieurs années, Garrard a été administrateur et mécène du Philip Green Memorial Trust, une organisation caritative créée par Cyril Paskin, ancien dirigeant du violent groupe « antifasciste » 62. Garrard a été impliqué dans une affaire judiciaire peu recommandable en 2014, lorsque de graves allégations de mauvaise gestion financière ont été formulées par son propre gendre. Les dons de Garrard à Austin comprennent : 10 900 £ en 2016 ; 10 000 £ en 2017 ; et 10 000 £ en 2019.
Sir Trevor Chinn est également un donateur régulier de politiciens pro-sionistes et siège au conseil d’administration de plusieurs groupes de pression sionistes. Ses dons à Austin comprennent : 7 500 £ en 2015 ; 5 000 £ en 2017 ; et 5 000 £ en 2019.
Trevor Chinn (à gauche) lors d’un événement qu’il a coorganisé en 2018 avec l’ambassadeur israélien Mark Regev (deuxième à gauche). Chinn a financé pendant des années des efforts anti-Corbyn. Jacob Rothschild au centre, Tony Blair, ancien premier ministre, à droite.
En plus de ces cadeaux de Garrard et Chinn, le registre montre de nombreux paiements d’organisations sionistes, de groupes de commémoration de l’ »Holocauste » et même d’entités gouvernementales israéliennes qui ont régulièrement fait voyager Austin en avion autour du globe, tous frais payés.
En 2019, la Première ministre conservatrice de l’époque, Theresa May, l’a nommé envoyé commercial en Israël, un poste qu’il a continué à occuper sous les trois successeurs de Mme May.
Nous ne devrions peut-être pas être surpris qu’un fanatique sioniste aussi engagé passe son temps à essayer d’organiser l’arrestation d’un homme qui n’a enfreint aucune loi britannique. Mais nous devrions vraiment être surpris que la police d’Angleterre et d’Écosse ait pris en compte des groupes de pression intéressés et richement financés, ainsi que leurs alliés parlementaires.
Comme vous le voyez, Vincent Reynouard affronte la tête de l’hydre juive en ce moment même.
Les agents de Rothschild lui-même.
Croyez-vous une seconde qu’un homme seul qui réalise des vidéos, caché dans un village de pêcheurs écossais, ferait trembler la juiverie internationale sur ses bases si le mensonge des chambres à gaz qu’il expose sans concession était une lubie d’ahuri ?
Un homme brandissant la vérité peut faire s’effondrer les plus grandes puissances de ce monde si elles ont édifié leur pouvoir sur le mensonge.
C’est ce qui se passe.
Vincent est un héros de notre temps, artisan patient et méthodique qui oppose à la juiverie internationale écumante la rigueur de son travail monacal. C’est ce qui explique les moyens colossaux déployés par l’État britannique et la juiverie internationale pour l’arrêter.
Des moyens « exceptionnels » de l’aveu même des policiers écossais à Vincent Reynouard.
