La culpabilité blanche, l’ethnomasochisme et le délire victimaire dit ”autochtone” se sont donné rendez-vous à Montréal ce vendredi dans le cadre d’une marche de mystification autochtone. Paraît-il que la pègre mondialiste juive jubile : l’État canadien et surtout, l’Église catholique, sont outragés, bafoués, insultés, discrédités.
Extraits de l’article du JdM :
-On est ici pour reconnaître les traumatismes…
(Le jdm qui ne juge pas important de préciser encore moins de valider à quel genre de ”traumatisme” au juste nos traumatisés de la plume auraient étés soi-disant confrontés !)
-Les communautés autochtones sont souvent pauvres, et doivent vivent avec les traumatismes intergénérationnels de ces «atrocités».
(La majorité de nos ancêtres Canadiens-français furent historiquement relativement ”pauvres” dû à leurs conditions de peuple conquis et soumis à une puissance étrangère. Aux dernières nouvelles, cette pauvreté ne transmettait pas de façon ”intergénérationnelles” de quelconques ”traumatisme”. Qui plus est, notre super journal antifa ne mentionne nul part dans l’article à quelles genres ”d’atrocités” seraient soi-disant associé ces traumatismes spécifiquement ”autochtones”.)
-Un jour éventuellement le Québec sera prêt à en faire un jour férié, à partir du moment où il va reconnaître le racisme systémique»
(Reconnaissance raciale pour les noirs par ci, reconnaissance des ethno-pseudo-religieux juifs et des ”autochtones” par là… À quand la reconnaissance raciale blanche de ceux qui soi-disant seraient responsables de tout les malheurs du monde ?)
-«C’est important d’écouter ce que les survivants et les membres des Premières Nations ont à nous dire.
(Écouter les ”survivants” de la shoah autochtone… Rien de moins. Bientôt les lois mémorielles interdisant toute critique pour ne pas dire réhabilitation de la vérité historique ?)
-Pour «la première fois de l’histoire», le drapeau des survivants flotte à l’hôtel de ville de Montréal. «C’est symbolique, mais c’est important.
(C’est surtout le symbole d’une immense supercherie s’inscrivant carrément dans les politiques de destruction des nations blanches occidentales avec la complicité des gauchistes wokes blancs et de la mafia autochtone.)
-«C’est le peuple fondateur. On leur doit tout. Je trouve ça très important de faire mémoire des souffrances qu’ils ont eues»
(Au moins avec cette dernière affirmation tout est limpide. Les Blancs n’ont aucune légitimité et doivent disparaître point barre.)
Source : https://www.journaldemontreal.com/2022/09/30/marche-pour-la-reconciliation-a-montreal-1
L’hégémonie de ce marxiste culturel woke au sein de nos institutions et qui se donne pour mission l’éclatement total des nations de races blanches ne serait assurément pas possible dans un contexte où les Blancs posséderaient encore un minimum de conscience raciale. Tout ces mensonges véhiculés, ces sous-entendus, ces insinuations seraient évidemment impossible dans un contexte où les Blancs connaissaient un tantinet soit-il un peu leur histoire. Leur véritable histoire, non pas celle dictée par Hollywood kosher.
En redéfinissant les termes et en inventant de nouveaux concepts pour répondre à leurs besoins idéologiques de mystifications et de mensonges, ces pseudo-gauchistes s’attaquent frontalement à la race blanche en tant qu’idiots utiles à la solde du mondialisme kosher. Cette internationale antifa préfère se concentrer exclusivement sur les droits des minorités sexuellement déviantes, des diverses minorités ethniques, pseudo autochtones ou pire, récemment accueillies, plutôt que sur les conditions et les droits des travailleurs blancs ou du moins, des travailleurs dans leurs ensembles.
Qui plus est, jamais ces pourritures nous parlent des massacres et des génocides sanglants que les tribus dites autochtones perpétuaient entres elles ni des conditions de vie misérables qu’elles avaient avant leurs premiers contacts de même que les commerces qu’elles se sont empressés de faire avec les Européens blancs afin qu’elles s’extirpent de l’âge de pierre dans laquelle elles vivaient. Nous n’abordons même pas la question des Domiciliés sous le régime français, c’est-à-dire de l’accueil comme réfugiés par les Français des tribus huronnes, iroquoises et abénaquises au Canada.
La pourriture anti-fa s’est donné pour seul objectif de brosser un tableau de méchants Blancs.
L’ethnomasochisme comme conséquence
La conséquence de la culpabilité blanche est l’ethnomasochisme. Ce terme a été popularisé par le penseur identitaire français Guillaume Faye, qui a écrit dans son livre Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne (2001) que l’ethnomasochisme est une conséquence de la haine de soi et de la honte, du racisme contre sa propre race et de la tendance à blâmer et à déprécier son propre peuple. Malheureusement, grâce aux marxistes culturels, l’ethnomasochisme est très présent chez les Blancs aujourd’hui. Cela est dû à l’ignorance de leur propre histoire et de leur culture, à l’absence d’un sentiment d’appartenance nationale et de patriotisme, et à l’endoctrinement constant par les médias et les institutions éducatives désormais aux mains de ceux qui souhaitent soumettre et détruire les peuples européens. Cependant, la meilleure défense contre l’ethnomasochisme réside dans l’éducation sur sa propre culture et l’histoire de son propre peuple, dans la capacité à penser de manière critique et indépendante, et dans la fidélité à la vérité, qu’elle soit ou non conforme aux tendances politiquement correctes actuelles. »
“‘Savez-vous’, demanda-t-il (Lindemann), ‘ce que les futurs historiens considéreront comme l’événement le plus important de cette époque ?’
‘Bien qu’est-ce que c’est?’
« Ce ne sera pas Hitler et la Seconde Guerre mondiale ; ce ne sera pas la libération de l’énergie nucléaire ; ce ne sera pas la menace du communisme.
Ces négatifs semblaient très complets. Il prit une expression d’une extrême sévérité et baissa les commissures des lèvres : « Ce sera l’abdication du Blanc. Puis il a hoché la tête de haut en bas plusieurs fois pour faire comprendre sa proposition.”
* Le Prof’ — RF Harrod, 1959. Page 261/2.
Exactement les mêmes qui veulent empêcher une nation de langue et de culture française de légiférer pour que sa langue et sa culture demeure française.
Mais pour revenir à ce White bashing s’appuyant sur une distorsion mensongère de l’histoire, suffit de lire l’excellent travail d’étude du groupe ”La vérité sur les pensionnats amérindiens du gouvernement canadien” pour réaliser à quel point ces pourritures d’antifa, qu’ils soient Blancs, ”Autochtones” ou autres, idiots utiles de la pègre kosher mondialistes, sont capable de se rabaisser afin de ramasser quelques miettes à leurs seuls profits personnels.
Quelques extraits (traduction en français)d’un Article publié le 22 juin 2015 dans le National Post, par Hymie Rubenstein et Rodney Clifton, intitulé (“Le rapport de la Commission Vérité et Réconciliation donne un compte-rendu biaisé et partiel du vécu en pensionnat amérindien”).
« Le mandat de la Commission Vérité et Réconciliation était de ‘révéler aux Canadiens, dans toute la complexité de leur vérité, l’histoire et le legs des pensionnats exploités par les Églises, de manière à documenter pleinement les torts subis par les Autochtones, tant sur le plan individuel que collectif’… Selon les normes contemporaines qui ont cours dans le domaine juridique et en sciences sociales, le rapport présente de graves manquements, notamment dans son indifférence à la rigueur en matière de collecte de données, en fait de comparaisons, de contextualisation et de liens de causalité. Ce qui fait en sorte que le rapport raconte une histoire biaisée et partielle de ce qui s’est réellement passé dans les pensionnats, et de l’incidence de cette expérience sur les élèves. Les nombreuses lacunes du rapport comprennent ce qui suit : laisser entendre, sans preuve, que la plupart des élèves ont été gravement heurtés de leur expérience au pensionnat… ; le fait d’assimiler des « Survivants » (le mot portant toujours la majuscule et appliqué à tout élève) au soixante-dix pour cent des Amérindiens qui n’ont jamais fréquenté ces écoles… ; écarter délibérément des études [dépeignant positivement la réalité des pensionnats] réalisées par des générations d’anthropologues compétents et animés de compassion ; …refuser de lancer un filet permettant de capturer un échantillon suffisamment vaste, tel que l’aurait permis le budget de 60 millions $ de la Commission, et se cantonner plutôt au témoignage de quelque six mille élèves [sur cent-cinquante mille] ; avoir recours à un échantillon de témoins auto-sélectionnés plutôt qu’aléatoire ; accepter les témoignages comme nécessairement et automatiquement véridiques, sans contre-interrogatoire, sans corroboration ou substantiation ; conclure que ces témoignages soient représentatifs de la totalité de l’expérience au sein de ces écoles. »
http://www.veritepensionnats.ca/index.html
La vérité, la seule au sujet de cet autre immense canular.
Depuis mais 2021, où l’on a prétendu avoir découvert des centaines de « tombes non marquées » sur le terrain d’un ancien pensionnat autochtone à Kamloops, pas une seule dépouille, pas un seul os n’a été exhumé de la redoutable « fosse commune » — et pour cause, personne n’a creusé là pour vérifier si les « perturbations dans le sol » relevées au radar, qui « ont des signatures multiples qui se présentent comme des sépultures », étaient bien des tombes.
Je ne plaisante pas, quiconque a-t-il seulement entendu les médias parler d’exhumation d’ossements sur l’un des sites présumés de cimetières abandonnés ? Non, tout le raffut lancé autour des pensionnats indiens n’est basé que sur les « perturbations dans le sol », détectées et interprétées par une jeune anthropologue-sociologue de Colombie-Britannique.
Que l’on n’ait pas déterré de corps ne signifie pas qu’il n’y en a pas, on pourrait très bien en découvrir si on se donnait la peine de creuser (encore faut-il que ce soit fait…), mais jusqu’à preuve du contraire, il faut présumer qu’il n’y en a pas.
Jacques Rouillard, professeur émérite au département d’histoire de l’Université de Montréal, démonte avec pertinence le nouveau Mythe médiatique dans un article du site The Dorchester Review, dont voici un extrait traduit :
Après sept mois de récriminations et de condamnations, où sont les restes des enfants enterrés au pensionnat indien de Kamloops ?
La presse canadienne vient d’honorer les enfants des pensionnats du titre de « Personne de l’année 2021 ». L’énorme histoire médiatique de l’été dernier est née du scannage d’une partie du site, en Colombie-Britannique, où le pensionnat a fonctionné de 1890 à 1978. La « découverte » a été signalée pour la première fois le 27 mai dernier par Rosanne Casimir, chef de la Première nation Tk’emlúps te secwépemc, après qu’une anthropologue, Sarah Beaulieu, eût utilisé un radar géologique pour rechercher les ossements d’enfants qui, selon certains, seraient enterrés là. Il s’agit d’une jeune anthropologue, enseignante en anthropologie et en sociologie à l’University of the Fraser Valley depuis 2018. Son rapport préliminaire est en fait basé sur des dépressions et des anomalies dans le sol d’une pommeraie près de l’école — et non sur des ossements exhumés. Selon le chef Casimir, ces « enfants disparus » représentent des « décès non documentés ». Leur présence, dit-elle, est depuis longtemps « connue » dans la communauté et « certains n’avaient que trois ans ».
À partir de nouvelles recherches qu’elle a divulguées lors d’une conférence de presse tenue le 15 juillet dernier, l’anthropologue a ramené les chiffres de la potentielle découverte de 215 à 200 « sépultures probables ». Ayant « à peine gratté la surface », elle a trouvé de nombreuses « perturbations dans le sol telles que des racines d’arbres, des métaux et des pierres. » Les « perturbations relevées par le radar », dit-elle, l’ont amenée à conclure que les sites « ont des signatures multiples qui se présentent comme des sépultures ». Mais elle ne peut pas le confirmer tant que le site n’a pas été fouillé — si jamais il le sera. Un porte-parole de la communauté dit que le rapport complet « ne peut pas » être communiqué aux médias. Pour le chef Casimir, « il n’est pas encore clair si la poursuite des travaux sur le site de Kamloops impliquera des fouilles. »
La « découverte » de Kamloops en 2021 a créé une sensation majeure au Canada et à l’étranger. Sur la base de l’évaluation préliminaire et avant que des dépouilles ne fussent trouvées ou qu’un rapport crédible ne fût établi, le premier ministre Justin Trudeau a immédiatement évoqué « un chapitre sombre et honteux » de l’histoire canadienne. Le premier ministre de la Colombie-Britannique, John Horgan, s’est dit « horrifié et le cœur brisé » d’apprendre l’existence d’un site d’inhumation de 215 enfants qui met en lumière la violence et les conséquences du système des pensionnats. Plusieurs autres communautés autochtones et médias ont ensuite repris en chœur, évoquant des tombes non marquées.
Le 30 mai, le gouvernement fédéral a mis en berne les drapeaux de tous ses bâtiments. Plus tard, il a institué un nouveau jour férié pour honorer les enfants « disparus » et les survivants des pensionnats. Spontanément, des grappes de chaussures, de chemises orange et d’autres objets ont été déposés sur les marches des églises de nombreuses villes ou sur les marches des assemblées législatives en mémoire des petites victimes. Dans tout le pays, des églises ont été brûlées ou vandalisées. Des statues ont été recouvertes de peinture à la bombe et démontées, visiblement en représailles au sort qui fut celui de ces enfants. La statue de la reine Victoria devant l’Assemblée législative du Manitoba a été défigurée et jetée à bas. À Montréal, la statue de Sir John A. Macdonald, le premier à occuper le poste de premier ministre du Canada, a été renversée, sa tête de bronze arrachée roulant symboliquement sur le sol.
Dans le sillage des revendications non fondées des dirigeants autochtones, plusieurs médias ont amplifié et gonflé l’histoire en alléguant que les corps de 215 enfants avaient été retrouvés, ajoutant que des « milliers » d’enfants avaient « disparu » des pensionnats et que les parents n’en avaient pas été informés. Les sites non fouillés sont même devenus des « fosses communes » où les corps étaient jetés pêle-mêle.
Ces prétendues « nouvelles » ont fait le tour de toutes sortes de médias, ternissant l’image de soi et la réputation du Canada à l’étranger. Sous le titre « Horrible History : Mass Grave of Indigenous Children Reported in Canada », le New York Times du 28 mai, même dans sa version mise à jour le 5 octobre, rapporte que « Pendant des décennies, la plupart [sic] des enfants indigènes du Canada ont été enlevés à leur famille et placés de force dans des pensionnats. Un grand nombre [sic] d’entre eux ne sont jamais rentrés chez eux, leurs familles n’ayant reçu que de vagues explications, voire aucune ». La communauté autochtone « a trouvé des preuves de ce qui est arrivé à certains de ses enfants disparus : une fosse commune contenant les restes de 215 enfants sur le terrain d’un ancien pensionnat ».
Plus loin, le Pr Rouillard développe les conséquences d’une telle vraie « fausse nouvelle », avant de revenir sur l’histoire des pensionnats autochtones — un texte à lire au complet !
Je soulignerais ici, quant à moi, l’impudence des gros médias. Ils se disent professionnels, mais la moindre des choses eût été d’attendre d’avoir une preuve tangible que des corps avaient réellement été inhumés à Kamloops. Ils se sont lancés tambours battants (ou plutôt tam-tams…) dans une campagne funèbre et vengeresse pour pleurer les « victimes » et pour incriminer l’Église catholique, qui a dirigé une bonne partie de ces pensionnats, attisant, si ce n’est provoquant, un incendie de haine contre tout ce qui porte le nom de chrétien — ou d’occidental — sans le moindre souci d’impartialité ou le plus léger scrupule de remettre un tant soit peu en question cette théorie. Même Justin Trudeau a versé sa part de paroles incendiaires, allant jusqu’à trouver « compréhensibles » les violentes réactions qui ont sévi au Canada depuis le début de cette histoire (il n’a d’ailleurs pas changé de mode d’expression, cherchant à attiser le plus possible la haine contre les camionneurs manifestant pour la liberté à Ottawa).
Ces médias, peu crédibles comme on peut le voir, sont les mêmes qui ont menti au sujet de l’avortement, prétendant qu’il n’est pas nocif pour la femme ou qu’il diminue la mortalité maternelle en évitant les avortements clandestins. Ce sont les mêmes qui ont promu l’euthanasie, cachant le fait que c’est une procédure pouvant être atrocement douloureuse. Ce sont les mêmes qui ont soutenu l’homosexualité, dissimulant les risques pour la santé que cela comporte. Ce sont les mêmes qui ont promu le « mouvement » LGBT, rejetant notamment la cause du taux élevé de suicides de ce mouvement sur ses opposants. Ce sont encore les mêmes qui font la promotion de la GPA, de la PMA, du féminisme, du transgenrisme, du conte de l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021, ou de l’histoire de l’affreux jeune raciste blanc (pro-vie en plus !) narguant un pauvre vieil autochtone, et bien d’autres choses…
https://www.cqv.qc.ca/pas_un_seul_corps_n_a_ete_exhume_a_kamloops