La juiverie organisée prétend avoir un « plan » pour les Palestiniens, un plan identique à celui appliqué par la finance juive à l’Allemagne et au Japon.
Voir également :
6 août 1945 : Hiroshima, la «libération» par l’armée du crime au Japon
9 août 1945 : À Nagasaki, le Diable l’emporte
Un plan avec un « changement culturel » radical, d’après Netanyahou.
NPR :
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré à la NPR qu’Israël s’engageait à faire trois choses à Gaza : détruire le Hamas, libérer les otages israéliens qu’il détient et donner à Gaza un avenir différent.
M. Netanyahu a comparé la situation à Gaza à l’occupation par les Alliés de l’Allemagne et du Japon après la Seconde Guerre mondiale, après leur capitulation, à des fins administratives et de réhabilitation (une telle action de la part d’Israël, cependant, serait probablement unilatérale).
Il a également appelé à un « changement culturel » similaire à celui qui s’est produit en Allemagne et au Japon lorsque ces pays sont passés d’un régime autoritaire à une démocratie après leur capitulation devant les Alliés. Il a ajouté que tout gouvernement de Gaza devrait s’engager à lutter contre le terrorisme, et non à le financer.
Les choses se clarifient à grande vitesse pour le public le moins informé.
La libération juive, c’est d’abord les bombes, ensuite la rééducation, enfin la réduction en esclavage perpétuelle.
Voir également :
L’Holocauste de Dresde du 13 au 15 février 1945 ou le vrai devoir de mémoire : Je me souviens !
En 1945, le plan des juifs pour l’Allemagne était celui du juif Henry Morgenthau qui avait pour but de tuer par la famine des dizaines de millions d’Allemands et de laisser ceux qui survivraient à l’état sauvage.
Les Palestiniens s’en rapprochent à grands pas.
Les Palestiniens de Gaza n’ont pas choisi de vivre dans ce camp de concentration à ciel ouvert : ce sont les juifs qui les y ont mis après avoir volé leurs terres ancestrales. Il n’y a pas « d’avenir » dans un camp de concentration, uniquement des murs. C’est pour se révolter contre cet emprisonnement éternel que les Palestiniens ont contre-attaqué, mais les juifs ont une conception particulière de la paix et de la liberté.
Voir : Sur l’État terroriste juif israélien
Les goyim doivent se soumettre et ramper.
Le « changement culturel » selon les juifs, c’est l’avilissement consenti de leurs victimes, jusqu’à la disparition.
LIBÉRATIONLE PREMIER DRAPEAU DE LA FIERTÉ HISSÉ À GAZA !
Pour le Hamas, l’homosexualité est synonyme de mort. L’Israélien Yoav Atzmoni a voulu envoyer un message d’espoir. Découvrez son histoire ci-dessous.
À la communauté LGBTQ+ cachée de Gaza : Gardez l’espoir d’un avenir où vous pourrez vivre et aimer sans le Hamas !
Pourquoi ce ne serait pas les juifs qu’il faudrait vaincre, soumettre et rééduquer culturellement pour que le monde soit enfin en paix ?
C’est-à-dire leur appliquer ce que Netanyahou prétend faire aux Palestiniens et qu’ils font déjà aux Blancs depuis 1945.
Ici nous soutenons la résistance palestinienne, comme toute forme de résistance à l’hydre financière juive mondiale, mais il y a une différence : nous n’avons aucun lien avec une organisation palestinienne, arabe ou islamique.
C’est une position de principe qui s’inscrit dans la logique d’une alliance objective contre l’ennemi prioritaire qu’est le juif, tête dirigeante de la démocratie financière globale qui détruit les nations blanches.
Nous subissons, nous aussi, une petite-bourgeoisie d’extrême-droite, composée de parvenus, qui, quoi qu’elle dise, est imbibée d’idées juives et qui nourrit un réflexe de classe en affichant son soutien à la caste juive dirigeante dont elle espère une reconnaissance sociale.
Ici, Daniel Brisson, le porteur de valise de Maxime Bernier au Québec qui endosse à 100 % le narratif mensonger du ”michant Hitler”… en relayant la propagande kosher du juif Ezra Levant de (((Rebel media))).
Voir également : Images bouleversantes prises à l’intérieur des “camps de la mort nazis” – Pologne 42-44 (vidéo)
Ces gens ne sont pas des révolutionnaires. Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, c’est-à-dire le « changement » révolutionnaire – qui se résume à moins d’immigrants et de musulmans – et la respectabilité petite bourgeoise.
Ces gens ont pour politique de se faire accepter, valider, en misant sur un « retournement », illusoire, des juifs à leur égard, moyennant des formules de courtoisie, voire des excuses, plus ou moins sincères. C’est mal connaître les juifs, s’illusionner ou carrément être vendu aux intérêts kosher. C’est au choix.
Les juifs considèrent par défaut tous les goyim comme des ennemis à surveiller comme le lait sur le feu. Musulmans ou Blancs, pour eux, c’est du pareil au même. L’apathie des Européens Blancs et la jeunesse agressive des allogènes les pousse depuis quelques années à regarder ces banlieues françaises, qu’ils ont repeuplées d’arabes et de noirs, avec une suspicion nouvelle. Cela ne leur rend pas les Blancs plus sympathiques. Pour un juif, dans tout Blanc un Nazi est prêt à se réveiller.
Voir également : USA : l’Iran diffuse les audios de la juiverie organisée en état de panique face à l’énorme résistance à leur soutien à l’état terroriste d’Israël
Jamais les juifs de rompront avec le principe de la société multiraciale qui neutralisent mutuellement ses composantes. C’est dans ce bain qu’il prospère. Ils ont un intérêt vital à maintenir la société occidentale fracturée en myriades de sous-groupes ethniques, sexuels, sociaux, qu’ils peuvent pousser les uns contre les autres.
Diviser pour régner, tel est le juif, ferment de décomposition sociale et culturelle.
Aux USA, la haine alimentée contre les Blancs par l’ensemble du système juif est parfaitement intacte.
Ce qui se passe depuis le 7 octobre, c’est que le juif ne peut plus exciter les allogènes présents en Occident contre les Blancs et rire en coulisse. C’est lui, le juif, qui est l’objet de toutes les attentions et son agressivité le dévoile au monde.
Ce n’est pas au moment où elle se noie que nous devons consentir à servir gilet pare-balles à la juiverie, peu importe les impératifs d’ascension sociale qui motive cette petite-bourgeoisie philosémite.
Il faut avoir le courage d’aller au bout de la nécessaire destruction de ce système, plutôt que de s’illusionner à son sujet.
Nous avons des comptes historiques à régler et jamais en Europe et en Occident nous n’avons été aussi proches de solder la facture laissée par ces juifs.
Ces juifs ont voulu la première, puis la seconde guerre mondiale, la troisième doit être le tombeau de leur domination.
Voir également :
Briser les chaînes du Traité de Versailles
24 mars 1933 : la déclaration de guerre à l’Allemagne
La campagne menée par le président Roosevelt pour inciter à la guerre en Europe
Source :
https://demopart.website/le-naufrage-de-la-droite-kasher-se-poursuit/
Vidéo : Helgoriak
