Je ne sais pas si cela va réellement changer quoi que ce soit, mais les écolo-marxistes suédois à la botte de Klaus Schwab son fous de rage.
Le nouveau gouvernement de droite suédois a déclenché un tollé après avoir supprimé le ministère de l’environnement, une décision que l’opposition a qualifiée de « dévastatrice ».
Auparavant, le ministère était un département autonome très en vue, avec un ministre au sein du cabinet, mais il sera désormais rattaché à un autre ministère.
Le Premier ministre Ulf Kristersson a dévoilé son nouveau cabinet mardi, et bien qu’il ait nommé une ministre du climat et de l’environnement – Romina Pourmokhtari, députée libérale de 26 ans – elle travaillera sous la direction de la chef des chrétiens-démocrates Ebba Busch, la nouvelle ministre de l’énergie, du commerce et de l’industrie, plutôt que de diriger son propre ministère.
Le leader des Verts suédois, Per Bolund, a noté que pour la première fois en 35 ans, la Suède n’aura pas de ministère dédié à l’environnement.
« Il est impossible de décrire plus clairement le peu de valeur que ce gouvernement accorde à l’environnement et au climat. Il s’agit d’une décision historique aux conséquences dévastatrices pour les questions environnementales », a déclaré M. Bolund.
Pär Holmgren, député européen du Parti vert suédois, a déclaré : « Attendez-vous à des coupes sombres dans le financement de l’écologie, ce qui aura un impact dévastateur sur les politiques climatiques que nous, les Verts, avons travaillé si dur à mettre en place. »
Isabella Lövin, présidente du conseil d’administration de l’Institut environnemental de Stockholm et elle-même ancienne ministre de l’environnement, a déclaré que les questions écologiques en Suède avaient été « ramenées 35 ans en arrière ».
Ce n’est pas la première fois que les questions environnementales en Suède sont traitées par d’autres ministères.
Avant la création du premier ministère de l’environnement en 1987, le ministère de l’agriculture, puis le ministère combiné de l’environnement et de l’énergie, s’occupaient de ces questions politiques.
L’Agence suédoise de protection de l’environnement, l’une des premières au monde, a été créée en 1967.
Enfin, la fake news réchauffiste est prise pour ce qu’elle est : une imposture globaliste.
C’est un coup dur pour la femme patate.
Autre développement positif, la déstalinisation vise également la vaginocratie d’état.
C’est une tâche beaucoup plus difficile, compte tenu du fait que la Suède est le laboratoire historique du fémo-terrorisme international.
”Le premier gouvernement de Suède à s’appuyer sur une majorité incluant l’extrême droite vient de se former, mardi 18 octobre. Ce même jour, le nouveau ministre suédois des Affaires étrangères a annoncé l’enterrement de la « diplomatie féministe » dont le pays nordique avait été le pionnier. Ce concept avait été copié par plusieurs pays mais avait suscité des brouilles diplomatiques, notamment au Moyen-Orient.
« L’égalité des genres est une valeur fondamentale en Suède et aussi une valeur fondamentale pour ce gouvernement », a affirmé Tobias Billström dans une interview à l’agence suédoise TT. « Mais nous n’allons pas employer l’expression ‘politique étrangère féministe’ parce que les étiquettes ont eu une fâcheuse tendance à l’emporter sur le fond », a déclaré le nouveau ministre, peu après sa prise de fonctions.”
Cela peut vous surprendre, mais le régime wokiste suédois menait une agressive politique de déstabilisation ovarienne contre différents pays du monde.
D’ordinaire, c’était une excuse pour importer des gens marron dans le pays qui s’empressaient d’appliquer partout la loi coranique.
Les gens en Suède ont finalement fait le lien entre l’hystérie féminine et la destruction de la société. Ceci dit, la Suède reste une démocratie, avec 50% de femmes qui peuvent à tout moment voter pour détruire ce qui reste de ce pays.
