Le spectacle que le rappeur français Freeze Corleone devait donner au Théâtre Olympia le 4 décembre a finalement été annulé à la suite de pressions exercées par le tribunal rabbinique du B’nai Brith qui jugeait certain de ses textes trop conformes à la vérité historique. Rappelons que ce haut tribunal rabbinique a seul le pouvoir de déterminer et de certifier objectivement ce qui se trouve être la vérité entourant l’histoire de la deuxième guerre mondiale. Rappelons que ce privilège que s’octroie ce sanhédrin au Canada et partout en Occident découle directement du fait que ces talmudistes pharisiens revendiquent encore à ce jour appartenir au seul et exclusif peuple élu issu de cette ancienne alliance qu’on rappel pourtant à la fois dépassée et accomplie dans le Christ.
1. Grand prêtre
2. Membres du Sanhédrin
3. Accusé
4. Greffiers
B’nai Brith appelait le Théâtre Olympia depuis quelques jours à annuler la prestation de Freeze Corleone, accusant le rappeur de ”nier l’Holocauste, d’employer une rhétorique haineuse vis-à-vis des Juifs et de faire l’apologie du nazisme.”
Dans un communiqué publié lundi, B’nai Brith s’est dite heureuse d’apprendre que le diffuseur était en voie d’annuler le spectacle, qui a d’ailleurs disparu du site web de l’Olympia à la demande du propriétaire de la salle, Patrick Levy, toujours selon B’nai Brith.
Les détenteurs de billets ont finalement reçu un message du service de billetterie Ticketmaster les avisant que le concert avait été annulé par « les organisateurs de l’évènement ». Le site web de Ticketmaster confirme également l’annulation du concert.
Le concert montréalais du rappeur français Freeze Corleone, dont certains textes sont jugés ouvertement antisémites, doit être annulé, soutient B’nai Brith Canada. L’organisation de défense des droits de la communauté juive entend « aviser les autorités » pour qu’elles vérifient si la performance prévue le 4 décembre à l’Olympia de Montréal incite publiquement à la haine ou fomente volontairement de l’antisémitisme, deux infractions criminelles.
« Nous appelons le théâtre Olympia à faire ce qu’il faut et à annuler le spectacle de Corleone », écrit Marvin Rotrand, directeur de la Ligue des droits de la personne au sein de la plus vieille organisation juive du pays, dans une lettre transmise aux responsables de la salle et obtenue par La Presse.
En effet, ce Sanhédrin ”canadien” ayant réussi dernièrement à ”criminaliser” la recherche objective historique, notre grand prêtre rabbinique nous rappel qu’au Canada le code criminel nous interdit de remettre en question la religion de l’holohoax :
Selon le Code criminel, il est notamment interdit de nier ou de minimiser l’Holocauste « autrement que dans une conversation privée ». En entrevue avec La Presse, M. Rotrand, ancien conseiller municipal de Montréal, explique que B’nai Brith se prépare ainsi à porter plainte à la police. « Ses paroles nient et déforment l’Holocauste », dit-il.
Le gouvernement du Québec via son ministère directement rattaché à ce haut tribunal rabbinique y est allé d’un courriel en réponse à cette non moins autre organe de presse directement rattachée à ce tribunal rabbinique :
Dans un courriel, Québec nous indique qu’il va « suivre la situation ». « Notre gouvernement dénonce tout propos antisémite et toute provocation à la haine n’a pas sa place dans notre société », écrit le ministère de la Lutte contre le racisme.
La réalité sur les camps de concentration allemands : https://popcorn.archive.org/editor.html?initialMedia=https://archive.org/details/LesHorreursDAuschwitz
La réalité sur les véritables camps de la mort alliés : https://archive.org/details/DennisWiseRhineMeadowsLesCampsDeLaMortRaconteParJamesBacque
Robert Faurisson ayant fait un travail sans failles pour soulever le problème lié à l’impossibilité de l’extermination via les chambres à gaz
https://archive.org/details/robert-faurisson-le-probleme-des-chambres-a-gaz
Le B’nai B’rith est né
Le 13 octobre 1843, le B’nai B’rith (Fils de l’alliance) est établi par des Juifs à New York en tant que loge maçonnique. Et 70 ans plus tard, ce groupe établira la tristement célèbre Anti-Defamation League , conçue pour diffamer tout critique de la suprématie juive ou de sa criminalité comme ”antisémite”.
Voyons qui sont ces pacifiques Fils de l’Alliance.
http://regnum-galliae.over-blog.com/2015/06/audience-a-la-b-nai-b-rith-international.html
Le peuple juif a été le peuple élu durant deux millénaires, en vue d’une mission qu’il avait à accomplir. Mais cette élection était provisoire, au sens où il était appelé à ne pas la retenir jalousement, comme un privilège exclusif, mais à la partager avec tous les peuples. C’est là l’essence même du mystère caché que Paul annonce aux Ephésiens. Les nations sont désormais appelées au même titre que les Juifs. C’est là ce que certains Juifs ont compris et salué avec joie comme ceux qui ont suivi Jésus. C’est là ce que d’autres ont refusé.
La bonne nouvelle du Nouveau Testament, c’est, nous dit saint Paul, « qu’il n’y a plus ni Juif ni Grec, mais vous êtes tous un dans le Christ Jésus ». Et il faut dire en effet que si l’élection d’un peuple particulier était autre chose qu’une économie provisoire, en vue d’un appel universel auquel tous les peuples sont conviés, si elle apparaissait coextensive à toute l’histoire, elle serait intolérable. C’est toute l’humanité qui a été originellement appelée par Dieu ; ce sont tous les peuples qui sont aujourd’hui rassemblés dans l’Eglise. C’est faux de parler encore aujourd’hui d’une élection particulière du peuple juif. Et c’est par-dessus le marché la meilleure manière de ressusciter l’antisémitisme.
C’est également tout confondre que d’écrire que « la première Alliance n’a pas été rendue caduque par la Nouvelle ». Que signifient alors les termes d’Ancienne et de Nouvelle Alliance, d’Ancien et de Nouveau Testament ? Les Juifs sont plus logiques quand ils refusent d’employer ces termes, parce que – pour eux – il n’y a qu’une Alliance.
Mais parler de Nouvelle Alliance, c’est dire que l’Ancienne est dépassée. Dire que l’Ancienne Alliance n’est pas caduque, parce qu’elle est « la racine, la source, le fondement, la promesse », c’est jouer sur les mots. Car c’est précisément parce qu’elle est la promesse qu’elle implique l’accomplissement.
- Le Nouveau Testament pris dans son entier proclame avec force ce que déjà les prophètes laissaient prévoir quand ils prédisaient une nouvelle alliance : pour quiconque a rencontré le Christ, l’ancienne alliance est désormais périmée ; elle a été remplacée aux yeux des chrétiens par la nouvelle alliance. Les affirmations les plus nettes à ce sujet se trouvent sans doute dans l’épître aux Hébreux. En voici quelques-unes. Nous les empruntons à la Traduction œcuménique du Nouveau Testament : « Un changement de sacerdoce entraîne forcément un changement de loi… On a, d’une part, l’abrogation du précepte antérieur en raison de sa déficience et de son inutilité et, d’autre part, l’introduction d’une espérance meilleure par laquelle nous approchons de Dieu… Si la première alliance avait été sans reproche, il ne serait pas question de la remplacer par une deuxième… En parlant d’une alliance nouvelle, Dieu a rendu ancienne la première ; or, ce qui devient ancien et vieilli est près de disparaître… Le Christ supprime le premier culte pour établir le second » (7 12 , 18-19 ; 8 7,13 ; 10 9). Ces textes sont si clairs qu’ils se passent de commentaires » .
Ainsi donc, aux yeux des chrétiens, entre l’Ancien et le Nouveau Testament il y a à la fois continuité et rupture, car la religion du Christ est vraiment une religion nouvelle, bien qu’elle ait été préparée par la religion d’Israël. C’est être infidèle au Nouveau Testament que de souligner la rupture sans marquer en même temps la continuité, comme ce serait le trahir également que de n’affirmer que la continuité en oubliant la rupture et le passage à une nouvelle économie.
