«Il y a un gros, gros problème du côté des conditions de travail, de l’organisation du travail, de la reconnaissance des employés. Ce sont des enjeux aussi importants que le salaire», lance une spécialiste du monde du travail, Diane-Gabrielle Tremblay.

La professeur d’université observe aussi que les emplois dans le commerce de détail ou de la restauration «ne paient pas toujours très bien, c’est le moins qu’on puisse dire».

Ces deux secteurs comptent pour près de 30 % de tous les postes vacants du Québec. 

Dans l’ensemble, il y a présentement de 252 000 postes vacants, une hausse de 31 % en un an, pour une moyenne salariale de 22,81 $ de l’heure.  

«Il y a un gros, gros problème du côté des conditions de travail, de l’organisation du travail, de la reconnaissance des employés. Ce sont des enjeux aussi importants que le salaire», lance une spécialiste du monde du travail, Diane-Gabrielle Tremblay.

La professeur d’université observe aussi que les emplois dans le commerce de détail ou de la restauration «ne paient pas toujours très bien, c’est le moins qu’on puisse dire».

Ces deux secteurs comptent pour près de 30 % de tous les postes vacants du Québec. 

Dans l’ensemble, il y a présentement de 252 000 postes vacants, une hausse de 31 % en un an, pour une moyenne salariale de 22,81 $ de l’heure.  

Bien traiter son monde, la base 

Il y aurait avant tout un grand ménage à faire du côté des employeurs et de l’organisation du travail, avance Mme Tremblay.

«Le gouvernement crie à la pénurie, mais si on traite mal ses employés, il ne faut pas se surprendre que les gens ne veuillent pas y aller», explique la prof de la TELUQ. 

Elle pense entre autres aux infirmières et aux travailleuses de la santé, un secteur qui compte 36 000 postes vacants. 

Même avant la pandémie, observe-t-elle, les gens étaient déjà prêts à changer d’emploi pour avoir un meilleur contexte de travail. 

On parle ici de la durée du travail, «de ne pas avoir des prolongations imprévues ou non planifiées», et aussi du fait d’avoir des horaires que l’on connaît à l’avance. ”

Source : https://www.journaldemontreal.com/2022/09/27/la-penurie-de–bonnes-jobs–pire-que-jamais

… confirmant par là ce que j’avançais déjà en 2018 lors de ma campagne électorale comme candidat indépendant dans Drummond-Bois-Francs

”… le Drummondvillois rejette l’argument de la pénurie de main-d’œuvre pour justifier l’accueil des immigrants. «On nous amène tout le temps l’argument qu’on est en manque de main-d’œuvre, mais c’est faux. Il n’y a aucune étude qui vient nous prouver qu’on est en manque de main-d’œuvre. Il y a des secteurs spécifiques où il manque de main-d’œuvre, mais c’est bien plus des salaires qu’il manque.»

À son avis, si les entreprises manquant d’employés décidaient d’augmenter les salaires, la problématique se réglerait. «Dans la région du Centre-du-Québec, on se plaint gros qu’il manque de main-d’œuvre. C’est là où la moyenne de salaire est la plus basse dans toutes les 17 régions administratives du Québec.»

«La seule chose que ça fait comme résultat, cette immigration massive là, c’est d’augmenter la taille de l’économie. Ça n’augmente pas la prospérité de la classe moyenne», ajoute l’auteur d’un ouvrage intitulé «Pour un ralliement national canadien-français» aux éditions Guérin.

De passage à Warwick dimanche, ce soudeur de profession a dit vouloir souhaiter un moratoire complet sur l’immigration. «Il faudrait en discuter entre nous autres. C’est quoi l’objectif réel en arrière de ça? En Occident, les lobbys mondialistes poussent à l’abolition des frontières nationales. À la limite, c’est une attaque frontale envers la race blanche, carrément, et je n’ai pas peur de l’affirmer», lance-t-il.

Source : www.lanouvelle.net/actualite/candidat-independant-il-souhaite-un-moratoire-complet-sur-limmigration/

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