Aujourd’hui, 20 avril, nous célébrons l’anniversaire du héros infatigable de la résistance nationale blanche à l’oppression de la communauté juive internationale, Adolf Hitler.
Dieu sait que l’homme nous manque.
Aujourd’hui, chaque homme blanc bien né trouvera un moment pour penser au combattant et au visionnaire qui a laissé une trace éternelle dans l’histoire du monde, malgré douze courtes années comme chef de l’Allemagne et de l’Europe.
Le seul nom du Führer continue de semer l’effroi dans le coeur des ennemis de l’humanité blanche. Si Adolf Hitler parvient encore à exercer une telle influence sur le monde, c’est parce que son esprit continue de vivre et d’inspirer, selon les lois supérieures qui ordonnent le monde.
Réponse Deus Vult aux mensonges de Pierre Hillard au sujet d’un Hitler anti-chrétien
Plus que jamais, il doit être scandé à la face de ceux qui veulent détruire la race blanche et l’Occident blanc chrétien.
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Un jour prochain, les nations blanches et chrétiennes se lanceront dans une nouvelle marche en avant.
Joyeux anniversaire au Führer!
Source : https://dem-part.one/joyeux-anniversaire-au-fuhrer
La dernière volonté et le testament politique d’Adolf Hitler
Il n’est pas vrai que moi ou quelqu’un d’autre en Allemagne souhaitions la guerre en 1939. Elle a été souhaitée et incitée exclusivement par des hommes d’État internationaux qui étaient soit d’origine juive, soit qui travaillaient pour les intérêts juifs.
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Plus de trente ans se sont écoulés depuis que, en 1914, j’ai apporté ma modeste contribution en tant que volontaire à la Première Guerre mondiale qui a été imposée au Reich.
Au cours de ces trois décennies, j’ai été animé uniquement par l’amour et la loyauté envers mon peuple dans toutes mes pensées, mes actions et ma vie. Ils m’ont donné la force de prendre les décisions les plus difficiles auxquelles un mortel ait jamais été confronté. J’ai consacré mon temps, ma force de travail et ma santé au cours de ces trois décennies.
Il n’est pas vrai que moi ou quelqu’un d’autre en Allemagne souhaitions la guerre en 1939. Elle a été souhaitée et incitée exclusivement par des hommes d’État internationaux qui étaient soit d’origine juive, soit qui travaillaient pour les intérêts juifs. J’ai fait trop d’offres en matière de contrôle et de limitation des armements, que la postérité ne pourra jamais ignorer, pour que la responsabilité du déclenchement de cette guerre me soit imputée. Je n’ai d’ailleurs jamais souhaité qu’après la première guerre mondiale fatale éclate une seconde contre l’Angleterre, ou même contre l’Amérique. Des siècles passeront, mais des ruines de nos villes et de nos monuments grandira la haine contre ceux qui sont finalement responsables et que nous devons pour tout, la communauté juive internationale et ses collaborateurs (la juiverie).
Trois jours avant le déclenchement de la guerre germano-polonaise, j’ai de nouveau proposé à l’ambassadeur britannique à Berlin une solution au problème germano-polonais, semblable à celle de la région de la Sarre, sous contrôle international. Cette offre ne peut pas non plus être refusée. Elle ne fut rejetée que parce que les cercles dirigeants de la politique anglaise voulaient la guerre, en partie en raison des affaires espérées et en partie sous l’influence de la propagande organisée par la communauté juive internationale.
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J’ai également dit très clairement que, si les nations d’Europe doivent encore être considérées comme de simples blocs d’actions achetées et vendues par ces conspirateurs internationaux dans le domaine de l’argent et de la finance, alors cette race, la communauté juive, qui est le véritable criminel de ce crime meurtrier, en portera la responsabilité. Je n’ai en outre laissé aucun doute sur le fait que cette fois, non seulement des millions d’enfants des peuples aryens d’Europe mourraient de faim, non seulement des millions d’hommes adultes souffriraient de la mort, et non seulement des centaines de milliers de femmes et d’enfants seraient brûlés et bombardés à mort dans les villes, sans que le vrai criminel n’ait à expier cette culpabilité, mais par des moyens plus humains.
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Après six années de guerre qui, malgré tous les revers, restera un jour dans l’histoire comme la démonstration la plus glorieuse et la plus vaillante de la raison d’être d’une nation, je ne peux pas abandonner la ville qui est la capitale de cet Empire. Comme les forces sont trop réduites pour résister davantage à l’attaque ennemie en cet endroit, et que notre résistance est progressivement affaiblie par des hommes aussi trompés que manquant d’initiative, je voudrais, en restant dans cette ville, partager mon sort avec ceux, les millions d’autres, qui ont également pris sur eux de le faire. Je ne veux pas non plus tomber entre les mains d’un ennemi qui réclame un nouveau spectacle organisé par les Juifs pour amuser leurs masses hystériques.
J’ai donc décidé de rester à Berlin et là-bas de mon plein gré pour choisir la mort au moment où je crois que la position de Führer et de Chancelier elle-même ne peut plus être maintenue.
Je meurs le cœur joyeux, conscient des actes et des réalisations incommensurables de nos soldats au front, de nos femmes au pays, des réalisations de nos agriculteurs et de nos travailleurs et du travail, unique dans l’histoire, de nos jeunes qui portent mon nom.
Que du fond du cœur je vous exprime mes remerciements, cela va de soi, tout comme mon souhait que, pour cette raison, vous n’abandonniez en aucun cas la lutte mais la poursuiviez plutôt contre les ennemis de la Patrie, n’importe où, fidèle au credo d’un grand Clausewitz. Du sacrifice de nos soldats et de ma propre unité avec eux jusqu’à la mort, naîtra en tout cas dans l’histoire de l’Allemagne le germe d’une renaissance radieuse du mouvement national-socialiste et donc de la réalisation d’une véritable communauté de nations.
Beaucoup d’hommes et de femmes parmi les plus courageux ont décidé d’unir leur vie à la mienne jusqu’au bout. Je les ai suppliés et leur ai finalement ordonné de ne pas le faire, mais de prendre part à la bataille future de la Nation. Je supplie les chefs des armées, de la marine et de l’air de renforcer par tous les moyens possibles l’esprit de résistance de nos soldats au sens national-socialiste, en faisant particulièrement référence au fait que moi-même, en tant que fondateur et créateur de ce mouvement, ont préféré la mort à une lâche abdication, voire à une capitulation.
Puisse-t-il, dans l’avenir, faire partie du code d’honneur des officiers allemands — comme c’est déjà le cas dans notre marine — que la reddition d’un district ou d’une ville est impossible et que, avant tout, les dirigeants d’ici doivent avancez en tant qu’exemple brillant, accomplissant fidèlement leur devoir jusqu’à la mort.
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Deuxième partie du testament politique
Avant ma mort, j’expulse du parti l’ancien maréchal du Reich Hermann Göring et je le prive de tous les droits dont il peut jouir en vertu du décret du 29 juin 1941 ; et aussi, en vertu de ma déclaration au Reichstag du 1er septembre 1939, je nomme à sa place le grossamiral Dönitz, président du Reich et commandant suprême des forces armées.
Avant ma mort, j’expulse du parti et de toutes les fonctions de l’État l’ancien Reichsführer-SS et ministre de l’Intérieur Heinrich Himmler. À sa place, je nomme le Gauleiter Karl Hanke Reichsführer-SS et chef de la police allemande, et le Gauleiter Paul Giesler ministre de l’Intérieur du Reich.
Göring et Himmler, indépendamment de leur déloyauté envers ma personne, ont causé un préjudice incommensurable au pays et à la nation tout entière par des négociations secrètes avec l’ennemi, qu’ils ont menées à mon insu et contre ma volonté, et en tentant illégalement de prendre le pouvoir en l’État pour eux-mêmes.
Afin de donner au peuple allemand un gouvernement composé d’hommes honorables – un gouvernement qui tiendra sa promesse de poursuivre la guerre par tous les moyens –, je nomme les membres suivants du nouveau Cabinet comme dirigeants de la nation :
Président du Reich : DÖNITZ Chancelier du Reich : DR. GOEBBELS Ministre du Parti : BORMANN Ministre des Affaires étrangères : SEYSS-INQUART
[Ici suivent quinze autres.]
Bien qu’un certain nombre de ces hommes, tels que Martin Bormann, le Dr Goebbels, etc., ainsi que leurs épouses, se soient joints à moi de leur plein gré et ne souhaitaient en aucun cas quitter la capitale du Reich, mais étaient disposés à périr ici avec moi, je dois néanmoins leur demander d’obéir à ma demande, et dans ce cas mettre les intérêts de la nation au-dessus de leurs propres sentiments. Par leur travail et leur loyauté en tant que camarades, ils seront tout aussi proches de moi après la mort, car j’espère que mon esprit demeurera parmi eux et les accompagnera toujours. Qu’ils soient durs, mais jamais injustes, qu’ils ne permettent surtout pas à la peur d’influencer leurs actions et qu’ils placent l’honneur de la nation au-dessus de tout dans le monde. Qu’ils soient enfin conscients du fait que notre tâche, celle de poursuivre l’édification d’un État national-socialiste, représente l’œuvre des siècles à venir, qui impose à chacun l’obligation de toujours servir l’intérêt commun et de subordonner son propre avantage à cette fin. J’exige de tous les Allemands, de tous les nationaux-socialistes, hommes, femmes et hommes des forces armées, qu’ils soient fidèles et obéissants jusqu’à la mort au nouveau gouvernement et à son président.
Par-dessus tout, j’engage les dirigeants de la nation et leurs subordonnés à observer scrupuleusement les lois de la race et à s’opposer sans merci à l’empoisonneur universel de tous les peuples, la communauté juive internationale.
Donné à Berlin, ce 29 avril 1945. 4 heures du matin
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Cette article doit être republier à des dates stratégique comme aujourd’hui 😁.
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