AUCUNE RÉVOLUTION n’est complètement pacifique, même celles décrites par les historiens comme «tranquille».

https://www.youtube.com/watch?v=BkeKak1T7nw

https://twitter.com/Le_Goglu_/status/1646656040266616832?s=20

Il y a toujours au moins quelques victimes lorsque les révolutionnaires renversent l’ordre existant. La révolution nationale-socialiste en Allemagne fut remarquable pour le très faible nombre de personnes qui sont mortes en son nom. Le nombre de nationaux-socialistes tués au service du Mouvement entre 1923 et 1933 s’élève par contre à plusieurs centaines, ce qui est tout de même bien loin des bains de sang qui accompagnèrent les révolutions marxistes en Russie et en Chine, au cours desquelles des millions de personnes moururent.

Lire : Les juifs et les révolutions : https://www.partinationalistechretien.com/?p=1082

https://archive.org/details/LESCRIMINELSCOMMUNISTES

Beaucoup de ces camarades NS qui sont morts au service du mouvement ont été tués par des communistes ou d’autres membres de l’extrême gauche, tandis que d’autres nationaux-socialistes sont morts aux mains des conservateurs et de l’extrême droite.

Dix ans de National Socialisme https://archive.org/details/DixAnsDeNationalSocialisme

Le premier martyr NS pendant la lutte pour le pouvoir fut le Dr Karl Winter, qui fut assassiné par les rouges à Rosenheim, en Bavière, en février 1923. Le dernier martyr de cette période fut le SA Storm Leader (capitaine) Hans Maikowski. Il a été pris en embuscade par des communistes alors qu’il rentrait chez lui après le défilé de la victoire à Berlin célébrant la nomination d’Adolf Hitler au poste de chancelier du Reich le 30 janvier 1933.

Comme on pouvait s’y attendre, la plupart des martyrs NS – en fait, presque tous – étaient des hommes d’âge militaire. Mais certains n’étaient que des enfants, comme Herbert Norkus, 15 ans, brutalement poignardé à mort par un gang d’adultes rouges alors qu’il collait des affiches électorales à Berlin en janvier 1932. Et quelques-unes étaient des femmes.

L’une des femmes martyres NS était Erika Jordan, massacrée par un gang rouge dans les rues de Berlin en septembre 1932. La jolie Erika de 17 ans a mis un mois à mourir. Trois mois plus tard, Adolf Hitler était nommé chancelier et l’une de ses principales priorités était d’exterminer le fléau marxiste qui affligeait son pays depuis des décennies. Tout va bien, mais il était trop tard pour l’adolescente.

Erika Jordan (photo originale avec l’aimable autorisation du British Movement Northern Region

Erika Jordan est née le 10 janvier 1915. Adolescente, elle a rejoint la Ligue des filles allemandes (“Bund Deutscher Mädel” ou BDM), qui était la division des jeunes femmes du mouvement des jeunesses hitlériennes. Selon des publications nationales-socialistes contemporaines à Berlin, Jordan a été battu jusqu’à perdre connaissance par des communistes dans le quartier Wilmersdorf de la ville en septembre 1932 et est décédé dans un hôpital local le 26 octobre.

Plus tard, pendant la période du gouvernement national-socialiste, une école de leadership BDM à Berlin porte son nom, garantissant que l’histoire de son sacrifice ne serait pas oubliée par les fidèles. Elle est répertoriée comme la troisième femme martyre du NSDAP.

Nous inclinons la tête en sa mémoire et en mémoire de tous ceux qui ont donné leur vie pour leur race et leur peuple.

Service commémoratif sur la tombe d’Erika Jordan

L’histoire d’Erika Jordan est certainement poignante, tout comme celles de Horst Wessel, Herbert Norkus et les autres. Mais quelle est, pourrait-on se demander, leur pertinence pour la lutte raciale en Amérique en 2023 ?

Ex : La population actuelle des États-Unis est estimée à 334 millions. Environ la moitié de ce nombre est blanc ou aryen, comme nous pourrions le définir : quelque 167 millions. Environ la moitié sont des hommes, soit 83,5 millions.

Probablement environ 60 millions de ce total sont des hommes en âge de servir, ceux dont on pourrait s’attendre à ce qu’ils jouent un rôle actif dans la lutte pour la survie des Blancs.

Alors, où sont-ils ?

Pourquoi les activités publiques nationalistes dépassent-elles rarement 20 ou 30 participants ?

Il n’est pas vrai, comme certains le prétendent, que la totalité de ces 60 millions d’hommes subissent un «lavage de cerveau par les Juifs » ou sont totalement dépourvus d’instincts raciaux sains. Non. Ce qui est plutôt vrai, c’est que ces mâles Blancs (on hésite à les qualifier d'”hommes”) ont peur de défendre leur Race. Ils ont peur de se faire frapper au nez lors d’une manifestation, ou d’être bannis du barbecue du quartier du 4 juillet s’ils sont « doxés ».

Et dans le pire des cas, ils craignent de perdre leur emploi et d’être contraints d’en trouver un autre. Alors ils gardent la tête baissée et la bouche fermée. Tout au plus, ils peuvent participer de manière anonyme sur les réseaux sociaux, laissant prudemment connaître leurs véritables sentiments sur le racisme anti-blanc et autres. Mais défendre leur cause en public ? Certainement pas !

Les hommes blancs doivent trouver leur colonne vertébrale. Être frappé au nez ou viré n’est pas la fin du monde. Les deux me sont arrivés et, à 71 ans, je suis toujours debout.

La SA est en marche – Chant patriotique allemand : https://archive.org/details/LaSAEstEnMarcheChantPatriotiqueAllemand

Les hommes blancs adultes doivent en quelque sorte rassembler autant de courage que celui d’une jeune fille allemande de 17 ans ou d’un garçon allemand de 15 ans. S’ils ne peuvent pas le faire, nous sommes condamnés en tant que race. Mais s’ils peuvent, quelque part, trouver la force testiculaire nécessaire pour se dresser contre leurs ennemis, le monde résonnera du tonnerre de leurs bottes.