”Légale mais décriée : quatre questions sur la manifestation d’extrême droite qui a eu lieu samedi à Paris” lundi 8 mai 2023 : https://www.radiofrance.fr/franceinter/legale-mais-decriee-quatre-questions-sur-la-manifestation-d-extreme-droite-qui-a-eu-lieu-samedi-a-paris-5899141

Ce qui n’était qu’une manifestation de quelques centaines de personnes organisée depuis près de 30 ans est devenue le déclencheur d’une fuite en avant répressive qui ne peut que se conclure en désastre pour les juifs et leur régime républicain.

Les hurlements de la juiverie ont poussé le ministre de l’intérieur (sécurité publique) Darmanin à décréter l’interdiction de toutes les manifestations sur simple notification de la synagogue.

La France ayant assisté à des mois de violences commises par l’extrême-gauche, surtout contre la police, et Darmanin s’est contenté de geindre sans jamais réagir concrètement.

La semaine dernière les anarchistes ont brûlé un flic, là encore sans que Darmanin ne bouge.

En revanche un défilé nationaliste, scandaleux aux juifs car composé de Français, suffit à interdire a priori toutes les manifestations arbitrairement désignées comme « d’ultra droite » par le pouvoir en place.

Les goyim s’interrogent.

On ne peut comprendre un tel déséquilibre dans la réaction du régime que si l’on identifie correctement ceux qui se sentent menacés et disposent des moyens de dicter à l’État sa conduite.

Nous allons inévitablement vers un mode de gestion coloniale des masses non-juives que préfigurait amplement le régime covidiste.

Les gauchistes partagent les idées cosmopolites fondamentales du système et ne représentent pas pour cette raison un danger existentiel pour la juiverie. En revanche, le risque d’une insurrection indigène tournée contre le parasite étranger qui se nourrit du sang aryen, voilà qui terrifie ces sémites accrochés au cou de leurs victimes.

On comprend la panique de ce gouvernement entièrement dévoué aux intérêts de l’ennemi des nations.

Lire : DGEQ : Refus de reconnaître officiellement le PNC – Objections et commentaires : https://www.partinationalistechretien.com/?p=1749

https://dempart.bio/gud-recadre-par-les-juifs-darmanin-interdit-desormais-a-priori-toutes-les-manifestations-dhommes-blancs-reputes-de-droite/

Lire : Séisme mondial Kanye West : Joe Biden condamne fermement Adolf Hitler, jure que l’holocauste est très vrai et qu’il ne faut pas poser de questions ! : https://www.partinationalistechretien.com/?p=2327

Lire : Preuve de l’origine israélite des 10 tribus ”perdues” du Nord des premiers mythes païens germaniques / Les Druides et le Christianisme (vidéo) : https://www.partinationalistechretien.com/?p=3182

7 mai 1994 : Sébastien Deyzieu ? Présent !

Le 7 mai 1994, Sébastien Deyzieu (1972-1994), militant nationaliste révolutionnaire de l’Œuvre française, répondit à un appel à manifester contre l’impérialisme américain.

Quelques jours plus tôt, Philippe Massoni avait pris un arrêté pour interdire cette manifestation de « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ». La racaille républicaine maçonnique obéissait aux ordres du gouvernement d’Édouard Balladur, de son acolyte Nicolas « l’Américain » Sárközy, et de leur ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Ce dernier l’y avait nommé juste un an plus tôt.

Très proche des gaullistes et notamment des « durs », parmi lesquels les criminels du Service d’action civique (SAC), Philippe Massoni était auparavant directeur de cabinet du parrain corse Charles Pasqua. Avant de rejoindre la préfectorale, il avait fait une longue carrière dans la police et notamment les Renseignements généraux.

Malgré cela, les nationalistes se mobilisèrent pour dénoncer l’indécence des commémorations du 50e anniversaire du débarquement, qui avait conduit à l’asservissement de l’Europe.

Sébastien Deyzieu se retrouva place Denfert-Rochereau à 17 heures le 7 mai, où les flics républicains étaient amassés nombreux.

La répression fut sans pitié : ils attaquèrent violemment les jeunes Français : 107 furent arrêtés quand d’autres, seuls ou en groupe, parvenaient à s’échapper.

Parmi eux se trouvait Sébastien Deyzieu que les hommes de Pasqua traquèrent sans pitié. Le jeune militant nationaliste de 22 ans pensa trouver refuge dans un immeuble situé au 4 de la rue des Chartreux. Dans des circonstances jamais élucidées, il tomba hors du bâtiment.

Ainsi Sébastien Deyzieu rejoignit la longue cohorte des Français morts pour la cause nationale, montrant comme ses aînés la voie à la jeunesse de France, qui fait écho à Jeanne : le dévouement absolu pour la délivrance de la France et l’acceptation même du sacrifice suprême.

Chaque année depuis, c’est traditionnellement le 9 mai que les nationalistes français lui rendent honneur. Vingt-trois ans plus tard, alors que l’Europe est toujours occupée, les nationalistes poursuivent le combat et n’oublient pas.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *