”Et quand je regarde en arrière, je n’ai qu’un seul sentiment : un énorme regret. Regrettons que nous n’ayons pas réussi, que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui serait le maître de l’univers pour toujours, qui a fait de la race Blanche la première race, avec la grande maîtrise de l’esprit.

Et quand on voit ce qu’il y a de l’autre côté, ce qu’ont donné 30 ans de victoire des autres, cette anarchie dans le monde, cette déroute du monde blanc, cette désertion à travers l’univers. 

Quand nous voyons dans nos propres pays la décadence des mœurs, la chute de la patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social ; quand on voit cet appétit des biens matériels qui a remplacé la grande flamme de l’idéal qui nous animait, eh bien, vraiment, entre les deux nous avons choisi le bon côté. 

La petite et misérable Europe d’aujourd’hui, de ce marché commun pauvre et pauvre, ne peut pas donner le bonheur aux hommes. La société de consommation empoisonne l’humanité plutôt qu’elle ne l’élève.

Alors, de notre côté, nous avons rêvé de quelque chose de merveilleux, et nous n’avons qu’une seule envie, que cet esprit renaît. Et de toutes mes forces, jusqu’au dernier moment de mon existence, je me battrai pour cela.

Pour que ce qui fut notre combat et notre martyre, soit un jour la résurrection.”

de Léon Degrelle

Musique : Wagner ; La marche funèbre de Siegfried

Source : http://www.renegadetribune.com/between-the-two-we-chose-the-right-side-waffen-ss-standartenfuhrer-leon-degrelle/

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