A notre époque, s’il est un mot au moins aussi délicat à manier que le mot «juif», c’est bien le mot «nazi». Ce mot, aujourd’hui, est devenu courant, et, populairement, il désigne et résume autant un militaire de la Wehrmacht qu’un simple secrétaire administratif, autant un responsable politique qu’un scientifique Allemand de l’époque (liste non exhaustive), pourvu qu’il ait été, peu ou prou, «supporter de la croix gammée» ; quant au mot en lui-même, il serait un dérivé du mot « nazisme », abréviation prétendue du terme «national-socialisme», idéologie «barbare et destructrice» portée par un «tyran fou», hystérique et assassin, véhiculant un antisémitisme forcené dont l’origine est inconnue (1)…

Voir également : Le mythe antifa de la «terreur nazie»


Pourtant, au premier regard, quelque chose choque immédiatement : le terme en lui-même, dont la consonance rappelle celle du terme «sozi», utilisé alors couramment en Allemagne comme simple abréviation populaire de «SOZIalismus» (socialisme), ne répond pas à la logique de la contraction ; en effet, si elle avait été respectée, l’abréviation naturelle aurait donné « Naso» (NAtional-SOzialism), ou, éventuellement, «Nasozi» (NAtional-SOZIalism). Quid, donc, de ce curieux terme «nazi», qui semble receler un surprenant bricolage, aujourd’hui systématiquement répété, enseigné, et devenu «appellation unique et officielle» autant que «symbole du mal» ?

Il est à noter ici que, par un bien curieux hasard, le « nasi » (ou nasiy ou encore « nassi ») désigne, en hébreu, dans la Mishna (2), un « prince », juge, leader et chef suprême du sanhédrin (3), un « grand rabbin », docteur et « expert » de la loi juive, qui a TOUS les pouvoirs, y compris celui d’infliger la mort, en application discrétionnaire de la loi talmudique ; bref, le « nasi » (4) est, chez les juifs, un « ultra juge », une « autorité suprême », un « gourou-chef » référentiel en tout. Sans exagérer outre mesure, on pourrait dire qu’au-dessus du « nasi », il n’y a que, à part le soleil, Dieu lui-même…


Chacun le sait : Adolf Hitler se posa en « chef » pour guider le pays vers son renouveau, et, dès le commencement de son action, il en désigna l’ennemi, intérieur et extérieur : « la juiverie ». Il n’était, au départ, perçu, par les membres de l’intelligentcia politique de l’époque, que comme un tocard arrogant et gesticulant, développant des idées présentées malicieusement comme loufoques et utopiques par ses premiers adversaires directs, les hauts gradés juifs de la république de Weimar.

On imagine sans mal les moqueries hautaines de « ces messieurs juifs» (qui, ne l’oublions pas, en leur qualité de prétendu « peuple élu », croient que la seule référence recevable sur terre, c’est… eux-mêmes, et qu’ils ne peuvent avoir d’opposition, sauf si elle est contrôlée par… eux-mêmes) envers celui qui se voulait leur ennemi acharné, et qui balançait tout haut une vérité que chacun savait tout bas.


Et c’est bien là que se situe la réelle racine de cette appellation aujourd’hui mondialement reprise : à la différence du terme « sozi », le terme « nazi » n’était en rien, à son origine, un raccourci de langage, mais une épithète ironique et méprisante qui ne s’employait alors, en riant fort et en tressautant du ventre, que dans la sphère des « élites juives» , les seuls à pouvoir en saisir le véritable sens:


« Mais qui est donc ce petit caporal goy qui se prend pour un nasi » ?


En prononçant « Hitler le nazi » (le « z », en remplaçant le « s », germanisait le mot, favorisait son
assimilation populaire et dissimulait sa véritable origine), il était exprimé, en fait, « Hitler le guignol », « Hitler l’insignifiant », « Hitler le clown », « Hitler le méprisable », « Hitler le minus »…

Par extension, « nazi » qualifia rapidement son parti, vu alors, également avec dédain, comme un
groupuscule politique prétendant s’opposer au rouleau compresseur du malicieux système faussement bicéphale (5) judéo-républicain qui grignotait l’Europe depuis son apparition dans la France « post révolutionnaire ». Naturellement, son emploi s’étendit ensuite à « celui qui adhère aux idées contraires au ‘’progrès des lumières’’ véhiculées par le N.S.D.A.P (6)», autrement dit, au militant « National- Socialiste », tandis que le mot « nazisme » venait qualifier la ligne politique du parti.


Ainsi, ce n’est pas le mot « nazi » qui est né du mot « nazisme », mais… l’inverse.


Il n’y a jamais eu de « nazis », en Allemagne. Il n’y a eu que des « Nationaux-Socialistes » qui n’ont fait que réaffirmer l’identité réelle d’un peuple ancestral, ainsi que ses droits naturels et légitimes, au regard de l’histoire, sur le sol du pays qu’il s’était bâti. Leur seul tort est d’avoir été anti-bolcheviques juifs, anti-capitalistes juifs, anti-mondialistes juifs, et d’avoir clairement désigné les ennemis de l’humanité.


L’ascension des mots « nazi » et « nazisme »


C’est par la voie de la presse juive qui, depuis le début du 20ème siècle, bassinait déjà le public avec ses « 6 millions de juifs persécutés » (7), que le mot « nazi » commença son périple ; il semble qu’il y ait été introduit, peu à peu, dès le début des années 1920, par le « judéo-protestant » (8) Konrad Heiden, journaliste politique germano-américain, membre actif et médiatiquement influent du vieux parti politique libéral et progressiste SPD (9). Sitôt qu’Hitler commença à parler et à dire la vérité sur le sort funeste de l’Allemagne depuis le traité dit « de Versailles » et le rôle de la haute finance juive dans le monde, ce scribouillard de presse, manipulateur d’idées et de mots, sentit le vent tourner.


Dès l’accession au pouvoir du national-socialisme, et n’écoutant que son judéo-courage, Heiden
s’enfuit héroïquement aux U.S.A, où, loin des tumultes et des agitations, il allait pouvoir efficacement judéo-propagander de tout son saoul sur ces horribles « nazis » qui devaient absolument être déconsidérés par l’humanité ; en effet, ils remettaient en question la création en cours du « royaume de yahvé » moderne, ce monde extraordinaire et merveilleux où les banquiers juifs sont les rois et les actionnaires leur cour. Il fallait donc autant encenser la « judéo démocratie » et son application républicaine que descendre ces Allemands qui osaient botter le cul du peuple juif, pillards en cravate, et menteurs patentés. Le crypto-youtre prit donc les airs et commença, bien à l’abri, de l’autre côté d’un océan de kilomètres, à cracher son judéo-venin sur Adolf Hitler (10).


La goutte d’eau originelle National-Socialiste fit tache d’huile et la marée montante, qui au départ faisait rire, commença rapidement à déclencher interrogations et frayeurs chez les politicards de Weimar de tout bord, qui faisaient tout pour maintenir le statu quo de Versailles ; le « National-Socialisme » Allemand s’opposait du tout au tout (11) au système judéo-républicain libéral dont la fin signifiait celle des carrières des parlementeurs, de leurs privilèges et avantages individuels, et, surtout, mettait à mal la mainmise de la haute finance juive sur l’Allemagne ; prévoyants, ceux-ci cherchèrent naturellement à l’endiguer. Reprenant les mots « nazi » et « nazisme », la machine propagandiste médiatique libéro-démocrate ( juifs de « droite »), via la presse et la radio, commença donc à l’utiliser régulièrement en Allemagne, en lui adjoignant une couleur sanglante et démoniaque. Les communistes ( juifs de « gauche »), avec le même esprit et dans le même but, en firent également massivement l’emploi dans leur propagande. Le mythe du « nazi » ennemi de l’humanité était lancé.


Ainsi, rapidement, et à part quelques feuilles indépendantes, c’est quasiment toute la presse, majoritairement détenue par la juiverie, qui parla quotidiennement des « nazis », faisant tout pour leur associer des images noires et menaçantes ; leur but était autant de détourner le peuple que de manipuler l’opinion générale. Mais rien ne put s’opposer au déferlement du N.S.D.A.P qui, malgré le putsch manqué de 1923, devint la première force politique du pays d’Allemagne dix ans plus tard.


Les valeurs du national-socialisme (défendant bec et ongle, entre autres, le monde des travailleurs) risquant d’avoir une portée dépassant le Reich naissant (12), c’est toute la presse occidentale qui s’emmêla et diffusa, en Europe et en Amérique, dès le courant des années 20, les mots « nazi » et « nazisme », qui, peu à peu, s’imposèrent dans l’inconscient populaire comme étant LE danger.


Au début des années 1930, ils étaient internationalement connus et largement utilisés. De nombreuses manifestations juives dites « antinazies » furent organisées pour influencer le public (13) et mobiliser les juifs disséminés dans le monde, lesquels, agissant « comme un seul homme », accentuèrent leurs pressions politiques et économiques, à l’origine de la célèbre « déclaration de guerre faite à l’Allemagne par le monde juif » du 24 Mars 1933, véritable origine de tout ce qui se passera ensuite.


A chaque fois que l’Allemagne faisait l’éloge du « National-Socialisme » et en présentait les bienfaits, il était répondu par le « nazisme » et une propagande ignoble, comparant malicieusement, par exemple, les premiers camps Allemands aux « goulags » staliniens (qui, eux, étaient clairement de véritables machines de mort (14), faussant ainsi leur véritable destination, à savoir de simples camps d’internement (extensions de prisons surpeuplées) dans lesquels étaient enfermés les agitateurs politiques et autres casseurs de manifs (principalement communistes ou ”antifa” juifs) pour en neutraliser la violence.


La propagande de guerre


La guerre n’arrangea rien, bien au contraire. Tous les mensonges possibles furent accumulés sur
l’Allemagne en général et sur Adolf Hitler en particulier, afin, qu’aux yeux du public, il soit le seul et unique responsable de tout, occultant ainsi les responsabilités polonaises, la barbarie « alliée » (dont nous reparlerons plus loin) et les pourtant publiques revendications juives (liste non exhaustive) :


« Nous, Juifs, nous allons apporter la guerre à l’Allemagne. » (Le juif David Abraham Brown , Président du journal juif « American Hebrew », en 1934, cité dans « I Testify Against the Jews », Robert Edward Edmondson, 1985).


« C’est notre tâche d’organiser le blocus moral et culturel de l’Allemagne et de disperser cette
nation. C’est à nous de commencer une guerre sans merci. » (Le juif Bernard Lecache, membre du parti communiste et franc-maçon, fondateur de la LICA [Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme, devenue aujourd’hui LICRA, ndla], cité dans « The right to live », Décembre 1938).


Les médias de l’époque se contentèrent de prendre la suite des horreurs déjà déversées par leurs
prédécesseurs de la commission Creel de 1917, en les adaptant à l’époque (massacres divers,
persécution des juifs, agressions de la Gestapo contre les civils…) ; puis vinrent les premières mentions des prétendues « chambres à gaz » (remplaçant les « chambres à vapeur de 14-18), dont la première version fut… des « chambres électriques »… Comme nous le verrons plus loin, même les officiels alliés n’y croyaient pas, malgré les vitupérances médiatiques du menteur enjuivé Churchill :


« Depuis les invasions mongoles au XIIe siècle, on n’a jamais assisté en Europe à des pratiques
d’assassinat méthodique et sans pitié à une pareille échelle. Nous sommes en présence d’un crime sans nom.» (Winston Churchill, discours à la Nation du 24 août 1941).


Notons que dans ces années-là, la télévision n’existait pas ; mais la propagande par l’image, faite dans les journaux, s’était largement complétée par les spots et documenteurs divers, diffusés dans les salles de cinéma, sur grand écran ; le lecteur doit comprendre qu’à cette époque, des images d’exode ou de bombardements, par exemple, ainsi diffusées, ne pouvaient que choquer les spectateurs, surtout accompagnés de commentaires et de slogans ultras propagandistes forcenés, dont il est facile de résumer l’esprit du message global :


« Regardez l’horreur de ces Allemands criminels ! Regardez comme ils pillent et assassinent ! »
A la fin de la guerre, tout avait été fait pour que le National-Socialisme soit confondu avec une barbarie, et le légitime pogrom Hitlérien associé à un meurtre de masse contre les juifs, remplaçant une vérité (« expulsion ») par un mensonge (« extermination »). L’extraordinaire arnaque du prétendu jugement du « tribunal de Nuremberg » (dont nous parlerons plus loin) est venue sceller dans le béton du mensonge officiel la plus grosse escroquerie de l’histoire de l’humanité. Il faudra attendre des décennies pour que quelques rares confidences se fassent jour :


« Nous avons gagné la guerre grâce à la propagande de l’horreur. Nous continuerons cette
propagande d’atrocités, nous l’intensifierons, jusqu’à ce que personne n’accepte un seul mot positif sur les Allemands, jusqu’à ce que tout ce qu’ils avaient capitalisé de sympathie dans d’autres pays soit détruit.» (Sefton Delmer (15), « The Germans and I » [«Les Allemands et moi»], 1962).


Les mots « nazi » et « nazisme » aujourd’hui


Après 1945, la judéo-propagande de guerre ne cessa pas, bien au contraire ; continuant à surfer sur la vague du terrible mensonge, mêlant interprétations biaisées, preuves falsifiées, rapports non contradictoires, exagérations de chiffres, photos détournées et inversions accusatoires, dans une « littérature fleuve » sans cesse alimentée, dans les manuels scolaires, dans tous les reportages, dans tous les documentaires, dans le cinéma et dans tous les torchons se voulant « livres historiques » référentiels (écrits en écrasante majorité par de prétendus historiens juifs), elle continua à véhiculer tout azimut les appellations « nazi » et « nazisme », comme une mécanique bien huilée.


« Nous avons fait de Hitler un monstre ; un diable. C’est pourquoi nous ne pouvions pas nous
désavouer après la guerre. Après tout, nous avons mobilisé les masses contre le diable lui-même.
Après-guerre, nous avons donc été contraints de continuer à jouer notre rôle dans ce scénario
diabolique. Nous n’aurions pu en aucun cas faire remarquer à notre peuple que la guerre n’était
qu’une mesure économique préventive ». (James Baker, secrétaire d’état Américain, dans son
interview pour le journal allemand « Der Spiegel », 1992).

Partout et exclusivement, le mot « nazisme » est employé et systématiquement associé à l’histoire officielle et obligatoire, truandée de bout en bout, à l’aide des prétendues chambres à gaz et de nombreux autres mensonges (comme celui d’Oradour) ; le but est très simple à comprendre (et il est à constater qu’il est aujourd’hui atteint) : créer un réflexe automatique de rejet inconditionnel du « National-Socialisme », occultant son véritable combat et ses véritables valeurs, pour que les peuples se détournent d’eux-mêmes d’un nouveau « chef » aux idées similaires qui pourrait s’élever , éventuellement, aujourd’hui, contre la domination judéo financière et l’arnaque « démocratique » républicaine. C’est bien là le premier rôle de cette fausseté absolue qu’est la prétendue « barbarie » Allemande, dont la construction européenne moderne se veut chargée d’éviter le retour : le meilleur des alibis manipulatoires !

Voir également :

Retour de visite d’un fameux camp…

La réalité des camps de concentrations allemands


Bref ; un glossaire réductif est né, qui relève de l’intoxication intellectuelle (un crime contre l’humanité, un vrai… A qui profite-t-il ?), aujourd’hui omniprésent dans notre langage quotidien, et que nous allons ici résumer en quelques lignes :


« Croix gammée » = « Symbole du diable »

« Nazisme » = Mal absolu / Extrême droite / Fascisme

« Nazi » = Raciste / ordure / Fasciste / Assassin / Barbare

« Antisémite » = Nazi


Son utilisation peut s’illustrer par une simple expression : « la manipulation par le méchant » ; par exemple, vous voulez faire accepter une constitution républicaine (de 1958) ? Donnez au peuple le choix entre l’accepter, ou s’exposer au « retour du fascisme »… Vous voulez faire élire une merde Chiraquienne ? Opposez-le au « méchant d’extrême droite » Le Pen, fabriqué pour…

Vous voulez faire élire une petite tapette macronesque ? Bis repetita… le résultat est garanti. Et ça marche ; c’en est désespérant… Il est bien pratique, ce « nazisme », comme le « fascisme » et « l’extrême droite »…


La confusion organisée et ses résultats quant à la WW2


Il faut constater l’ampleur de la confusion régnant autour du terme « nazi » en signalant que d’aucuns y voient un dérivé « d’askénazi » (en rapport avec la fable khazare), et que d’autres, comme Eustace Mullins lui-même (pourtant très honnête, par ailleurs), sont persuadés que ce mot est en fait la contraction de « National-Zionism », ou « sionisme national » (on en trouve parfois l’illustration ci-contre), car, parait-il, les juifs Rothchild, contrebandiers, voleurs, usurpateurs et escrocs juifs patentés, financiers suprêmes et cachés du sionisme 18), auraient « financé » Hitler et sa guerre via le réseau des banques juives, faisant du « petit caporal » une marionnette juive. C’est une aberration totale en ce qui concerne la réalité historique (même si par certains aspects, on pourrait être amené à le penser, nous en reparlerons plus loin) ; Henry A. Turner l’a amplement démontré dans son livre « German big bizness, the rise of Hitler » (19) (1987). Il n’y a plus que les ignares pour croire à cette fable, et que les menteurs et falsificateurs juifs de l’Histoire pour continuer à la propager.

Voir également : Hitler l’homme qui a combattu les banques (vidéo)

Résumons :


« Nazi » est donc un terme d’origine juive et est l’invention d’un crypto ; son sens moderne premier, moqueur, est d’origine juive ; sa diffusion médiatique dans le monde et dans le temps est d’origine juive (20); l’histoire et l’image mensongère qu’on lui a collé est d’origine juive (21) ; le matraquage de cette (fausse) histoire, par les médias juifs et le cinéma juifs (et l’endoctrinement qui en découle) est d’origine juive (22) ; l’interdiction de contester cette (fausse) histoire émane d’une loi juive (23) ; les premiers bénéficiaires de tout ce bordel sont… les juifs eux-mêmes, avec leur mafia bancaire internationale, et leur « grand projet » mondialiste (« la république universelle ») ouvertement porté par « l’alliance israélite universelle » juive depuis 1860… Ces juifs, reconnus comme « peuple », devenus moralement intouchables (parce que « victimes absolues de l’antisémitisme ») et légitimes en leur faux pays de Palestine occupée, devenu aujourd’hui le « siège social » du « monde juif»…

Qui dit mieux ?


L’auteur affirmera donc ici sa totale certitude : l’emploi du mot « nazi » est une « signature », apportant la preuve (discrète) que c’est bel et bien la juiverie qui a écrit et imposé la « version officielle et obligatoire » de l’histoire de la WW2 dont on nous bourre le crâne aujourd’hui.


Quant à sa récupération moderne par l’appellation « néo-nazis », le but en est simple : pouvoir
dissimuler toutes les saloperies nécessaires à l’établissement du règne mondial juif (tout autant que d’en museler toute opposition qui pourrait lui être faite) sous la fausse bannière du « néo-nazisme », comme nous allons le voir maintenant, avec l’affaire d’Ukraine.


Les prétendus « néo-nazis » d’Ukraine, puis de Russie


La guerre d’Ukraine montre bien l’emploi manipulatoire fait, aujourd’hui, de la fausseté historique « nazie », dont on veut maintenant nous persuader de la résurrection par l’emploi médiatique du préfixe « néo » (nouveaux).


Au début de la guerre, on nous parla des « néo-nazis » du « régiment Azov » ukrainien, créé en 2014, une construction 100% juive, au départ financée par des financiers juifs (24), et… comptant aujourd’hui dans ses rangs, des ressortissants du prétendu « peuple élu juif», et dont, curieusement, certains témoignent de l’absence « d’antisémitisme » chez ces « néo-nazis ». La chose fut appuyée médiatiquement par de nombreux reportages et des images parlantes, comme celle ci-contre, extraite du reportage de France 2 du 31/03/2022 « Les néo-nazis d’Azov combattent pour l’Ukraine contre la Russie »…


Tout ceci est bien surprenant pour ceux qui savent à quel point l’Ukraine est un pays enjuivé jusqu’à la moelle, et dont le gouvernement est juif, à commencer par le président juif Zelensky lui-même…


En France, le magistral propagandiste juif à 2 shekels Bernard Henry Lévis (B.H.L) se dépêcha de donner « le cap » et d’ouvrir sa grande gueule dans les médias, avec un ton condescendant, en affirmant que « tout cela n’est que propagande pro-russe ; des « nazis » chez les ukrainiens, c’est aussi impensable que ridicule »… Il embraya sur France 5, où il n’hésita pas à comparer Boutcha (prétendu carnage Russe) à Oradour sur Glane (dont on sait bien, aujourd’hui, que c’est un terrible mensonge propagandiste), sur « R.C.J » (Radio Communauté Juive) en proclamant que le pathétique clown juif Zelensky est « un héros de l’histoire juive », ou encore, sur Cnews, en affirmant que «L’histoire du président Zelensky est incroyable, c’est Coluche, qui est devenu Churchill, en passant par Reagan»…


Et subitement, on s’est mis à nous parler du groupe « Wagner » Russe, rapporté par le wikipédia
enjuivé comme étant un groupe… « néo-nazi »… Tu as bien lu, ami lecteur… Les « néo-nazis » ne sont plus ukrainiens, mais de l’autre côté de la barrière ; ils sont Russes, maintenant. Amusant, non ?

Qu’est-ce que groupe « Wagner » ?

C’est une société militaire privée, fondée, elle aussi en 2014, par Dmitri Outkine, ex lieutenant-colonel au sein des Spetsnaz (25), et un ancien délinquant, Evgueni Viktorovitch Prigojine (aux origines juives), considéré comme le principal financeur de l’entreprise, surnommé le « cuisiner de Poutine » (26), et ayant recruté dans les prisons Russes 30 000 à 50 000 détenus en leur promettant la liberté s’ils rejoignent le groupe Wagner pour combattre en Ukraine. L’argutie officielle nous assure qu’Outkine (voir photo de gauche ci-dessus) est un « néo-nazi » admirateur du Troisième Reich, selon un « rapport » du 10 Avril 2023 (27), du prétendu média d’investigation étanche et à la limite de l’intraçable « Dossier Center », qui « suit l’activité criminelle de diverses personnes associées au Kremlin », assure que « Actuellement, le pouvoir en Russie est détenu par une organisation criminelle qui opère depuis le Kremlin», et entasse des « preuves » dont il est loisible de douter tant de l’origine que de l’authenticité… Seule, une photo sensée montrer Dmitri Outkine torse nu fait état de ses tatouages « nazis » et se retrouve propulsée dans nombre de médias. Selon Evgueni Prigojine, il aurait même un plan du métro de Moscou tatoué sur le sexe (28)… Hallucinant de voir jusqu’où vont les racontars qui, bien évidemment, sont impossibles à vérifier, sauf à aller voir jusqu’au fond de son slip…


Pour faire la part des choses, le public se doit de faire les constats suivants :


– L’appellation « nazi » est d’origine juive, comme nous l’avons montré plus avant ;


– Chronologiquement, les prétendus « néo-nazis » apparaissent en Ukraine ;


– L’accusation de « néo-nazisme » portée sur le groupe Wagner n’est basée que sur des
racontars, une accumulation de prétendues « preuves » invérifiables et une prétendue
« admiration d’Hitler » de son fondateur, dont on ne sait rien de la véritable motivation ;


– Que Dmitri Outkine soit, ou non, admirateur d’Hitler, ne fait pas du groupe tout entier des
« nazis » ; nous avons là un superbe exemple de globalisation typiquement juive ;


– L’ultra propagande sur les « néo-nazis » de Wagner est portée par des médias en écrasante
majorité juive, de la presse à la télévision, via wikipédia ;


– Aujourd’hui, les « néo-nazis » d’Ukraine sont totalement balayés des médias, et il est à craindre que le public ait, d’une part, oublié l’association « croix gammée « nazie » / drapeau ukrainien », elle-même doublée d’une association avec celui du faux pays occupant la Palestine, comme montré dans l’image ci-bas, et, d’autre part, aucunement constaté qu’une pareille association entre le drapeau Russe et la croix dite « nazie » n’a été présentée dans les médias.


Il semble donc clair que les « néo-nazi » de Wagner ne sont qu’un leurre mensonger de plus, dont nous venons de définir le véritable sens, d’obédience propagandiste :


Le méchant, c’est Poutine ; la preuve, il utilise des « néo-nazis »…


Un parallèle s’impose : comme avec Hitler, la propagande « judéoccidentale » nous présente Poutine comme « le méchant », le « dictateur fou », le « danger absolu pour la stabilité du monde », en détournant la vérité tant sur l’affaire du Donbass (29) (protection des populations majoritairement russes, bombardées depuis 2014) que sur la prétendue « annexion de la Crimée (30) », laquelle n’avait d’autre but que d’en empêcher une occupation militaire par l’Otan, menaçante pour la Russie, et de fermer l’accès à la mer d’Azov, y évitant ainsi, par exemple, une ingérence de sous-marins nucléaires autant qu’un éventuel débarquement de troupes de l’OTAN « par derrière » sur le sol Russe.

Un simple coup d’œil sur une carte de la région suffirait à un lapin de 3 semaines pour comprendre que la chose était autant préventive que logique pour la défense de la Russie. Que ferait la France si la Suisse risquait de se faire envahir par un ennemi belliqueux ? Rien ?…

Reste à voir « qui » profite du mot « nazi », « comment », et surtout « pourquoi »… Un éclairage se trouve dans ce discours du pitre juif Zelensky , qui ne se gêne pas pour utiliser à tout rompre autant le mensonge officiel et obligatoire juif de la WW2 pour en faire un argument politico-médiatique :


« Écoutez les paroles du Kremlin. Ils utilisent la terminologie des nazis. Vous vous souvenez bien de la solution finale à la question juive. Écoutez ce qu’ils disent maintenant à Moscou. Maintenant, ces mots sont à nouveau utilisés, la solution finale, mais maintenant ils nous sont adressés, sur la question de l’Ukraine. Ils en parlent ouvertement sur les sites officiels et dans les médias. » (Allocution du président volodymyr zelensky aux parlementaires israéliens, le 20 mars 2022, relayée par le journal Haaretz ).


Nous noterons que, d’une part, à aucun moment, ni le Kremlin ni les médias Russes n’ont parlé de « solution finale », ce qui fait du juif Zelensky un fieffé menteur, comme tous ceux de son ethnie, fantoche et sectaire, et, d’autre part, que, bien au contraire, Poutine parle de « dénazification ».


Quid de ces « néo-nazis (31) » d’Ukraine ?


Ils ne sont évidemment pas une résurgence des « nationaux socialistes d’Hitler ayant légitimement pris les armes pour combattre, avec honneur, les démoniaques judéo-systèmes capitalistes et bolcheviques » (figure 1), mais des « bas de plafond », des « hooligans », faciles à manipuler comme sont manipulés nombre de « terroristes » dans le monde (figure 2). Des mercenaires qui voient dans la croix gammée, comme tout le monde aujourd’hui, du « nazisme », et non du « National-Socialisme », autrement dit une logique de haine et de destruction aveugle et barbare, correspondant parfaitement avec leur nature profonde et leur vision « héroïque » d’eux-mêmes.

De vulgaires « gros bras », vendus aux juifs qui les finance, qui se prennent pour des guerriers, qui n’ont aucun scrupule à faire « du sale boulot » (32) (c’est leur raison d’être autant que celle de leur enrôlement) et que l’on trouve partout, historiquement (depuis les bastonneurs du 19ème siècle dans la répression des révoltes ouvrières, jusque dans les rangs de la LDJ (33), qui fournit aujourd’hui nombre de fouteurs de merde que l’on appelle « casseurs » dans les manifestations), et géographiquement (des comme ça, il y en a dans TOUTES les armées du monde (34)).

En conclusion, il est à comprendre deux choses essentielles :


a) Il n’y a pas plus de « néo-nazis » que de beurre poussant sur une branche ; il n’y a que des
« nazis », qui n’ont aucun rapport avec les armées d’Hitler, modernement fabriqués par les juifs,
dans le but de servir d’alibi médiatique : si une action dégueulasse est nécessaire pour créer un
« nouvel Israël » (comme nombre de juifs le revendiquent) en Europe, on en chargera ces tas de merde, qui ne sont gammés que dans leurs tatouages. Et si le public venait à avoir des soupçons, vite, on inversera les choses en accusant « les autres » à grand coup de com médiatique, ce qui est bien facile quand on en tient tous les fils.

b) Ceux qui emploient le mot « nazi » et/ou « néo-nazis » sont de deux sortes : soit ce sont des crapules qui utilisent à des fins de propagande inversante cette appellation truandée, soit
ce sont des abrutis qui répètent, comme des perroquets, ce qu’on leur a incrusté dans le
cerveau, sans jamais se poser la moindre question.

Extrait du livre “La Matrice”, de Ahmosis Cohen, à paraitre aux éditions DiDi 18

1 Dixit le prétendu historien juif Ian Kershaw , dans une interview à « Le Soir.be » publiée le 29/04/2020.


2 La Mishna (hébreu : משנה, « répétition ») est le premier recueil de la loi juive et de la «littérature rabbinique».


3 Assemblée traditionnelle législative et tribunal juif.


4 Nom que portaient les chefs ou princes des Juifs établis en France pendant le moyen âge. Au 19ème siècle, le Grand Président du B’nai B’rith portait également ce titre avec une signification proche (Source : « Franc-maçonnerie, l’effroyable vérité », S. Blet,
2017). Aujourd’hui, ce mot désigne aussi, chez les juifs, un chef d’État élu « démocratiquement ».


5 Il est ici fait référence à ce que l’on appelle aujourd’hui « l’opposition contrôlée », destinée à cacher la domination totalitaire (discrète) d’une « élite ».


6 « Nationalsozialistische Deutsche Arbeiter Partei », « parti national-socialiste des travailleurs allemands », fondé en 1920.

7 Par exemple, la publication du « American Hebrew » du 31 Octobre 1919, intitulée « The crucifixion of jews must stop » du juif
Martin H. Glynn , qui mentionne 8 fois le chiffre « 6 millions de juifs ». On notera, au passage, l’hallucinant culot juif d’oser employer la mention « crucifixion »… Ces rats ne reculent devant rien ! Chutzpah…


8 Officiellement Luthérien, il était issu d’une mère juive, donc était juif selon la tradition talmudique.


9 Parti social-démocrate Allemand fondé en 1875, véhiculant globalement les idées « des lumières », et issu de la « révolution » Allemande de Mars 1848 (presque un « copié-collé » de la révolution Française par ses acteurs). Il est à noter que c’est du Parti ouvrier social-démocrate de Russie que partit la « révolution judéo-bolchevique » de 1917, portée par le juif Lénine .

10 Il a écrit la première biographie d’Hitler en 1936 ; celle-ci a largement « inspiré » d’autres écrivaillons juivs, comme l’historien juif John Lukacs ou la prétendue philosophe juive Hannah Arendt, qui y fait plusieurs fois référence dans sa bouse littéraire « Les Origines
du totalitarisme » (1951). Notons que la dernière biographie d’Adolf est, elle aussi juive, issue du prétendu « historien » juif Ian Kershaw.


11 Comme le « Franquisme » en Espagne ou le « Mussolinisme » en Italie.


12 Car, partout où sévissait le système républicain judéo-maçonnique autant que le système judéo-bolchevique, ouvriers, paysans et artisans étaient traités en « esclaves modernes » à qui, parfois, on accordait une petite miette de concession comme on jette un bout de viande au chien, donnant ainsi une fausse image de « progression sociale ».


13 Dans les années 30, le rabbin et « gourou-leader d’opinion » le juif Stephen Wise, grande gueule autant que gros ventre, lança des avertissements contre les prétendus dangers du «nazisme». Quand Hitler fut nommé chancelier le 30 janvier 1933, cette crapule organisa au Madison Square Garden de New York une importante manifestation de protestation. Le Congrès juif américain organisa, quant à lui, différentes manifestations de protestation contre le «nazisme» et « l’Hitlérisme » entre 1930 et 1940.

14 Notons ici l’ironie (?) des mots : l’ile de « Nazimo », en Sibérie, surnommée en russe « île de la mort », reste connue pour avoir été un des pires camps soviétiques où les captifs durent pratiquer le cannibalisme… On notera l’étonnante similitude avec certaines affirmations de «survivants shoatiques» reprenant ces faits avérés pour les transposer sur la question Allemande.


15 Journaliste britannique et propagandiste pour le compte du gouvernement britannique.

16 L’auteur a utilisé 2 versions PDF différentes trouvées sur Internet et une version « papier », celle éditée par Kontre-Kulture.


17 Le titre du chapitre lui-même est sujet à caution ; la version Allemande ne fait pas mention de « La question corporative », mais utilise la mention « Die Gewerkschaftsfrage », à traduire par «La question syndicale».


18 Idéologie nationaliste juive datant, en apparence, du 19ème siècle, mais dont la véritable racine est… biblique.


19 Livre introuvable en librairie, mais disponible sur commande, réédité aujourd’hui par « Didi 18 », traduit par Valérie Devon, sous le titre « L’accession au pouvoir de Hitler financée par de l’argent juif, mythe ou réalité ? »

20 L’impressionnante présence juive dans les médias en général, et la presse en particulier, suffit à convaincre.


21 L’hallucinante proportion juive de dans la liste des historiens qui écrivent l’histoire de la WW2 rend la chose flagrante.


22 La sidérante proportion juive de la production / réalisation / financement de films et de documentaires, par exemple, rend la chose aussi évidente que non négociable.


23 Allusion à la loi du juif Fabius – Gayssot


24 Le financement initial a été assuré par les milliardaires juifs Ighor Kolomoïsky et Serhiy Taruta. Aujourd’hui, ses financements et armements sont assurés par le ministère de l’intérieur ukrainien, le pays étant lui-même soutenu tout azimut par l’Otan, à la solde des U.S.A, eux-mêmes sous domination juive, comme le juif Ariel Sharon (alors 1er ministre du faux pays d’Israël) l’a affirmé au juif Shimon Péres, le 3 octobre 2001, selon la radio d’état « kol israel ».

25 Forces spéciales de l’armée soviétique, créées au début de la guerre froide. Ce terme est aujourd’hui globalement utilisé pour qualifier des « unités spéciales » de toute obédience militaire (services de renseignement par exemple).


26 « Sa société de restauration a approvisionné le Kremlin », nous renseigne le HuffPost.


27 Consultable sur https://dossier.center/utkin/


28 https://www.watson.ch/fr/international/wagner/413171007-le-chef-de-wagner-defend-les-tatouages-nazis-de-dmitri-outkine.


29 Région minière habitée par une majorité de populations russophones ne reconnaissant pas le pouvoir fantoche républicain d’Ukraine , devenu progressivement pro-européen (donc « pro-OTAN ») depuis la fin des années 1990, à 100% depuis 2019.


30 Russe depuis le 18ème siècle

31 Récupérant la croix gammée et le wolfsangel, symbole que l’on trouve dans de nombreuses armoiries communales allemandes depuis l’époque médiévale, et emblème de la 2ème division SS « Das Reich », qui n’est de « triste mémoire » que par la grâce de la version obligatoire de l’histoire.


32 Dans l’affaire ukrainienne, leur rôle était de harceler les habitants russophones séparatistes du Donbass.


33 Branche française de la « Jewish defense league », organisme juif au nom fallacieux, classé comme organisation terroriste dans nombre de pays du monde, et qui se charge de la « répression » de ceux qui dénoncent le vol de la terre de Palestine et l’épuration ethnique que l’on peut y constater.


34 La légion étrangère Française, même si elle est globalement respectable, est un exemple parfait de recyclage de nombre de crapules qui y trouvent une éponge passée sur leur passé trouble par un recrutement souvent bien peu regardant, et ce contre une soumission aveugle aux ordres donnés.

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