Il y a quelque temps, sur X (anciennement Twitter), j’ai parlé de quelque chose que j’ai appelé «l’effet Faurisson» et comme c’est un concept que j’ai formulé et observé depuis un certain temps maintenant, il mérite d’être écrit et expliqué. L’«effet Faurisson» doit son nom à l’universitaire français et célèbre critique du récit officiel de «l’Holocauste» Robert Faurisson et fait référence à la façon dont un critique bien intentionné fera une critique bien intentionnée et spécifique des juifs, du judaïsme et/ou d’Israël ou d’une sorte de shibboleth juif comme «l’Holocauste» et n’aura aucun sentiment antisémite/antijuif.
Voir également : 29 décembre 1978 : Le Monde publie « Le problème des chambres à gaz ou la rumeur d’Auschwitz » de Robert Faurisson
Source : Hommage : Robert Faurisson aura combattu jusqu’au bout contre la falsification de l’histoire
Cependant, la réponse juive qui en résulte – à la fois institutionnelle et personnelle – est si extrême et disproportionnée – généralement caractérisée par des allégations d’être un «nazi», un «antisémite», une «volonté d’exterminer les juifs» et un «négationnisme de l’Holocauste» ainsi que par l’affirmation plutôt ridicule que les juifs n’ont jamais rien fait de mal – parfois associée à l’affirmation ridicule que les juifs ont «construit le monde moderne» et sont le «noyau de la civilisation» – que l’individu initialement neutre commence avec le temps à voir que le problème ne se limite pas à une seule question – par exemple le «sionisme» ou l’«industrie de l’Holocauste» – mais qu’il s’agit en fait des juifs eux-mêmes en tant que peuple.
Cet effet est simple à expliquer en passant par trois étapes de reconnaissance.
La première étape
Les critiques bien intentionnées et spécifiques des juifs, du judaïsme et d’Israël ou d’un quelconque dogme juif comme l’Holocauste ne suscitent aucun sentiment antisémite ou antijuif. En effet, ils ont souvent des amis/partenaires sexuels/associés commerciaux juifs et le mentionnent généralement dans leurs réponses aux critiques.
La deuxième étape
Le changement de point de vue du critique est qu’il a reconnu qu’un changement de paradigme est nécessaire de la part des juifs, car il est incapable de comprendre que ses critiques sont bien intentionnées et honnêtes et ne sont pas enracinées dans «l’antisémitisme» qu’il rejette explicitement. Il fait souvent référence au fait que le problème est lié aux groupes juifs et/ou sionistes et non aux juifs individuellement ou dans leur ensemble.
La troisième étape
Changement supplémentaire de la part des critiques, qui reconnaissent désormais que le problème vient des juifs en tant que peuple et non pas seulement du «sionisme» et/ou de juifs en particulier ou de groupes de pression. Cette dernière étape est souvent la plus difficile et peut être accomplie par étapes, à mesure que le critique se débarrasse de ses amis et/ou associés juifs – intentionnellement ou non – et commence à considérer l’antisémitisme comme la réponse naturelle au comportement juif.
Ce processus peut se produire rapidement ou sur une période prolongée, en fonction de la situation idéologique et personnelle particulière – ainsi que de la mesure dans laquelle ils s’engagent dans les réponses juives à leurs critiques/points de vue/opinions – définissant le rythme auquel l’effet est observé.
De bons exemples récents de cette transition de l’étape 1 à presque l’étape 3 sont Jake Shields – qui s’est initialement heurté aux juifs à cause de ses critiques des actions israéliennes à Gaza – et Candace Owens, qui a eu des ennuis pour avoir diffusé des sujets liés aux bombes larguées par Israël sur les chrétiens palestiniens.
Au départ, ils étaient tous deux des critiques neutres et bien intentionnés (et même pro-israéliens/pro-juifs) des juifs, du judaïsme et d’Israël, et ils ont évolué à des degrés divers vers le stade 2 et sont maintenant tous deux en bonne voie vers le stade 3 : l’antisémitisme.
Le problème est simple : dans la théorie de l’antisémitisme, les théories juives éliminent invariablement le comportement juif de toute considération, mais si nous notons que l’effet Faurisson est à la fois observable et qualifiable, il démontre bien que l’antisémitisme doit être lié – au moins en partie – au comportement juif et non pas comme une sorte de «maladie de l’esprit» qui s’est inexplicablement transmise à travers les générations, les civilisations et les religions sans aucune raison explicable autre que de vagues allégations de «jalousie» et de «préjugés religieux» .
Version de l’article 319 du 2022-06-23 afin de contrer les démarches du PNC de se constituer en parti officiel : https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/c-46/section-319.html
Version précédente de l’article 319 avant que le PNC n’entame des démarches afin de se voir reconnaitre en parti officiel : https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/c-46/section-319-20040429.html#wb-cont
Entrevue accordé début juin 2022 et posté le 17 juin 2022
voir : https://www.antihate.ca/un_n_o_nazi_en_processus_de_ramener_un_ancien_parti_d_extr_me_dro
Voir également :
Le site de Robert Faurisson est enfin en ligne !
Les juifs en apoplexie : Dieudonné à Auschwitz avec le chapeau personnel de Robert Faurisson !
La conspiration juive pour promouvoir «l’Holocauste»
Retour de visite d’un fameux camp… (Vidéo humour)
Voir également : DGEQ : Refus de reconnaître officiellement le PNC – Objections et commentaires