Les juifs de la LICRA paniquent face à la diffusion du livre de Vincent Reynouard sur l’histoire officielle d’Oradour, très sérieusement mise à mal à par le révisionniste aujourd’hui incarcéré en Écosse sur ordre de cette même juiverie.

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Ce qu’a découvert Vincent Reynouard au fil de trente ans d’enquête est catastrophique pour le régime républicain et son idéologie antifasciste officielle, lesquels reposent sur une poignée de mythes martelés depuis 79 ans.

À Oradour, les Allemands n’ont jamais enfermés intentionnellement femmes et enfants dans l’église du village pour les brûler vifs. C’est une explosion sous le toit de l’église qui a tué les personnes rassemblées là par l’armée allemande alors qu’elle menait une opération de sauvetage d’un officier capturé la veille par les bandes communistes du secteur.

La cause de l’explosion est inconnue, mais la piste d’un entrepôt d’explosifs clandestin du Parti communiste est aujourd’hui la piste la plus probable. Les corps des victimes présentent des blessures typiques du phosphore blanc identique à celui contenu dans les grenades américaines parachutées en France à destination des maquis. La présence de nombreuses douilles de fabrication US dans l’église corrobore le stockage de munitions parachutées par les Alliés anglo-américains.

Les hommes du village en âge de porter les armes avaient été parqués dans diverses granges le temps de mener à bien l’opération de recherche. Consigne avait été donnée aux soldats allemands de procéder à leur exécution immédiate en cas d’attaque des bandes communistes afin d’empêcher que ces hommes ne se joignent immédiatement aux assaillants. Le village est alors en zone communiste et les Allemands ne se font aucune illusion sur le soutien actif des habitants aux bandes armées du Parti communiste.

L’explosion, spectaculaire, entraîne un effet domino. Les Allemands, se croyant attaqués, fusillent les hommes détenus tandis que des détachements de fantassins incendient les maisons où des caches d’armes ont été trouvées.

Longtemps, les communistes ont nié jusqu’à leur présence dans la commune, affirmant que jamais leurs bandes armées n’avaient de point d’appui à Oradour. On sait depuis que la commune hébergeait un poste de commandement, des réserves d’armes et d’explosifs, des partisans armés et encadrés, y compris par des juifs du Parti communiste.

Le mythe d’Oradour est devenu central pour la martyrologie antifasciste imposée par les gaullo-communistes. Il maintient dans l’imaginaire des masses hexagonales la légitimité du putsch mené en 1944 par les gaullistes et les communistes à l’ombre des armées anglo-américaines.

Sans les histoires de vampires nazis à raconter aux enfants, comment conditionner les jeunes Blancs pour qu’ils abandonnent leur instinct de conservation racial, jeunes Blancs que les juifs au pouvoir depuis 1944 remplacent agressivement par des migrants du tiers-monde ? Quelle politique est-elle génocidaire pour les Français de souche, celle menée il y a 80 ans par Adolf Hitler, ou celle d’aujourd’hui menée par les juifs au pouvoir à Paris ?

Tout se tient d’une pièce. Si le mythe d’Oradour est compromis et qu’il tombe, qui ne poserait pas la question des chambres à gaz magiques sur lesquelles tout le système judéo-ploutocratique occidental repose ?

Les persécutions dont Vincent Reynouard est l’objet ne sont pas liées à sa personnalité, mais aux accablantes découvertes qu’il a faites lors de ses patientes recherches. Ses demandes de débat contradictoire ont toujours été refusées, et pour cause. Même emprisonné en Écosse, son livre, pourtant diffusé sous le manteau, inquiète ceux qui savent parfaitement ce qu’implique l’effondrement des mythes que les vainqueurs ont forgés. Qui peut croire qu’un fanfaron atteint de mythomanie aggravée entraînerait une riposte si féroce, générerait une panique si lancinante ?

Voici une série de quatre vidéos de Vincent Reynouard réalisées à propos des incohérences, zones d’ombres et découvertes qu’il a compilées dans son ouvrage, Oradour, le cri des victimes.

Vingt-cinq ans après la publication de son livre consacré au drame d’Oradour, Vincent Reynouard revient sur le sujet avec des nouveautés, dans ce film de 1h30 disponible ici : https://odysee.com/@sansconcession:f?view=content

Oradour: Le cri des victimes (ch. 1)

Plan de l’exposé

  • Les cadavres des femmes et des enfants démentent la thèse officielle de l’église incendiée par les SS
  • Coup d’œil sur la thèse de l’église incendiée
  • Le mobilier en bois préservé
  • Une explosion dans le clocher : les preuves matérielles
  • Les SS ont-ils fait exploser l’église d’Oradour ?
  • Les SS ont-ils apporté une caisse explosive dans l’église d’Oradour ?

Oradour: Le cri des victimes (ch. 2)

Plan de l’exposé

  • Marguerite Rouffanche, présentée comme l’unique rescapée du massacre de l’église : un faux témoin télécommandé
  • Un saut impossible pour une femme de 46 ans et un arrêt « miraculeux » sur la corniche
  • Le mystère des douilles d’origine américaines trouvées par centaines dans l’église
  • Le mystère du phosphore dans l’église
  • Des Pyrénées à la Belgique : des églises pour planquer des arsenaux
  • L’église d’Oradour-sur-Glane secouée par une série d’explosions : la piste du dépôt clandestin de munitions
  • L’effondrement de la voûte du clocher : un fait occulté
  • Des échanges de tirs dans l’église

Oradour: Le cri des victimes (ch. 3)

Plan de l’exposé

  • Oradour-sur-Glane : un village situé au cœur d’une région maquisarde
  • Un réseau d’évasion de pilotes alliés passait par Oradour
  • Un maquis structuré et armé existait à Oradour
  • Des dépôts de munitions clandestins dans de nombreuses maisons ?
  • Un village tranquille ? Les nombreux fuyards
  • Dès le début, le désespoir de certaines femmes
  • Qui aurait dénoncé les maquisards cachés dans l’église ?
  • La mission des Waffen SS à Oradour ce 10 juin 1944.
  • Les événements tragiques survenus à l’église : un essai de reconstitution
  • La fusillade des hommes parqués dans les granges
  • Un président de la République révisionniste de l’affaire d’Oradour ?
  • Vincent Reynouard, un chercheur indépendant qu’on veut faire taire

Oradour: Le cri des victimes (ch. 4)

Plan de l’exposé

  • Si votre thèse est juste, alors on peut dire qu’à Oradour, il y a eu un complot pour étouffer la vérité ?
  • Si l’on excepte Marguerite Rouffanche, des femmes et des enfants qui étaient dans l’église ont-ils survécu ?
  • Avez-vous rencontré des survivants qui vous ont révélé la vérité ?
  • Avez-vous rencontré d’anciens Waffen SS qui vous ont révélé la vérité ?
  • Vous affirmez qu’un accrochage a eu lieu dans l’église entre les Waffen SS et des maquisards. Comment expliquez-vous qu’aucun SS n’en ait parlé ?


Oradour – le cri des victimes – Vincent Reynouard

Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).

Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »

En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].» Pour commander : https://arts-enracines.fr/accueil/847-oradour-le-cri-des-victimes-vincent-reynouard.html

Source :

https://dempart.buzz/les-juifs-de-la-licra-exigent-de-darmanin-la-censure-immediate-du-livre-de-reynouard-sur-les-mensonges-doradour-sur-glane/

https://odysee.com/@sansconcession:f?view=content

Oradour et Nagasaki… « C’est pas pareil » nous répond-on toujours- Vincent Reynouard

Non, en effet, ce n’est pas pareil: la vraie barbarie, ce sont les vainqueurs de 1945 qui l’on incarnée et qui l’incarnent encore aujourd’hui…

6 août 1945 : Hiroshima, la «libération» par l’armée du crime au Japon

Les dirigeants américains avaient pris le goût du sang après avoir assassiné et fait assassiner plusieurs centaines de milliers de Blancs, de Brest à Berlin, de Monte Cassino à Dresde. Et dans leur course folle pour l’agonie du Japon avec leur partenaire de crimes Joseph Staline, les présidents américains Franklin D. Roosevelt puis Harry S. Truman, eurent bientôt dans les mains cette arme terrifiante qu’a probablement refusé de développer et d’utiliser le Führer : l’arme atomique.

Elle avait été mise au point par le criminel J. Robert Oppenheimer, juif qui dirigea la partie scientifique du Projet Manhattan, dans lequel on retrouvait de nombreux coreligionnaires : Robert Serber, Hans Bethe, Stanislaw Ulam, Felix Bloch, Edward Teller, etc., qui pleurèrent tant de morts mais n’hésitèrent pas à créer la plus meurtrière et ignoble des armes.

Le choix des dirigeants étasuniens se porta sur Hiroshima et Nagasaki, car il s’agissait de villes uniquement peuplées de civils. Les terroristes avaient pour but de sidérer l’opinion par l’acte le plus abominable, impensable possible. Outre la reddition du Japon devant « la démocratie » ayant revêtu une fois encore les habits de la Mort, les attaques avaient pour objectif de faire passer à toutes les nations du monde, alliées, ennemies et autres, un message : « la démocratie », les « antifascistes » étaient prêts à tous les crimes pour imposer leur version de l’histoire, et accessoirement leurs produits, leur pollution, leur monde sans valeur, leurs viols et leurs crimes dans une humanité engagée vers le Nouvel Ordre mondial… Suite : https://www.partinationalistechretien.com/?p=6649

et si ces deux bombes avaient eu pour but d’ouvrir « l’âge atomique », sous-entendu, de fermer l’ère chrétienne ? L’expression « âge atomique » est due au journaliste du New York Times William Laurence né Leib Wolf Siew, un Juif Lituanien, il était présent dans le bombardier au-dessus de Nagasaki. Nagasaki n’aurait jamais dû être une cible, la ville surtout, n’avait aucun intérêt militaire et elle abritait un camp de prisonniers de guerre américains et coréens ce que les Américains savaient. D’autre part, Nagasaki avait fait l’objet d’un bombardement conventionnel le 1er août, or, pour pouvoir étudier l’effet de l’arme atomique, il avait été décidé de ne pas faire de bombardement conventionnel sur les cibles potentielles des bombes atomiques. Résultat, 7 000 des 14 000 catholiques de Nagasaki tués sur le coup, mais aussi des prisonniers de guerre américains dont on savait qu’ils étaient retenus là…. Suite : https://www.partinationalistechretien.com/?p=6748

Tempête Infernale (Hellstorm) – Le documentaire qui raconte une histoire que les vainqueurs ne veulent surtout pas vous montrer

Ce film, tiré du livre Hellstorm de l’auteur et historien Thomas Goodrich, raconte une histoire que les vainqueurs ne veulent surtout pas vous montrer : https://www.partinationalistechretien.com/?p=2475

L’Holocauste de Dresde du 13 au 15 février 1945 ou le vrai devoir de mémoire : Je me souviens !

https://www.partinationalistechretien.com/?p=3314

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