Ce n’est pas un crime de guerre si c’est pour ”défendre” la (((démocratie))).

Shalom 

Source : https://dempart.homes/une-video-montre-des-soldats-ukrainiens-assassiner-des-prisonniers-de-guerre-russes-a-la-chaine/

Ihor Kolomoïsky : l’oligarque juif qui a fait main basse sur l’État ukrainien

Ihor Valeriovitch Kolomoïsky est né le 13 février 1963. C’est un homme d’affaires israélo-chyprio-ukrainien, né au sein d’une famille juive en Ukraine. Il est souvent surnommé « Benya », diminutif juif russe populaire au début du xxe siècle, ou « Bonifatsiy », d’après un personnage d’un dessin animé soviétique populaire auquel il ressemble, notamment par sa coupe de cheveux. En 2010, le Kyiv Post le plaçait au second rang des grandes fortunes en Ukraine et, en 2012, Forbes l’évaluait au troisième rang.

Il était considéré un temps comme l’allié de la femme politique Ioulia Tymochenko et de son parti « Bloc Ioulia Tymochenko » ; puis du président d’alors en Ukraine, Viktor Iouchtchenko, finançant le parti de celui-ci, « Notre Ukraine ». À partir de 2014, Kolomoïsky a reporté son soutien du gouvernement ukrainien vers celui du mouvement contestataire du Maïdan, manipulé par les États-Unis, se rapprochant des dirigeants du parti « Secteur droit » (Pravy Sektor) de Dmytro Iaroch (qui a été nommé, le 2 novembre 2021, conseiller du commandant en chef des armées ukrainiennes…). Il finance alors plusieurs bataillons spéciaux se battant contre les séparatistes du Donbass, dont le fameux bataillon « Azov » qui a repris la ville portuaire de Marioupol (en juin 2014), ainsi que les bataillons « Aidar », « Donbass », « Dnipro 1 », « Dnepr 2 ».

(((Néons-nazzzzis))) aux dires de la go-gauche brainwash pro-poutine

Kolomoïsky est un soutien notable de la communauté juive ukrainienne et le président de la « Communauté juive unie d’Ukraine ». En octobre 2010, il a été nommé président du « Conseil européen des communautés juives », organisation adhérant au Congrès juif européen (branche du Congrès juif mondial). Avec son coreligionnaire l’oligarque ukrainien Vadim Rabinovich, il a fondé l‘Union juive européenne qui deviendra le futur Parlement juif européen (inauguré le jeudi 16 février 2012 dans le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles).

Concernant les « affaires », Kolomoïsky est le cofondateur et président du directoire de la « PrivatBank », ainsi que du « Privat Group » qui détient des sociétés, des participations et investissements dans les secteurs suivants : ferroalliage, finance, exploitation pétrolière, médias de masse, industries métallurgiques et pétrolières.

Kolomoïsky est le véritable propriétaire de la société gazière ukrainienne Burisma

En 2012, une étude sur Burisma Holdings (société gazière ukrainienne), réalisée en Ukraine par l’Anti Corruption Action Center (ANTAC) financée entre autre par le Département d’État américain, avait révélé que le véritable propriétaire de Burisma Holdings n’était autre que cet oligarque juif Ihor Kolomoïsky. L’étude, qui avait été conduite pour mettre à jour la corruption du président ukrainien Viktor Ianoukovitch, a finalement révélé qu’Ihor Kolomoïsky « a réussi à saisir les plus grandes réserves de gaz naturel en Ukraine ».

Burisma Holdings avait changé de propriétaire en 2011 lorsqu’elle a été reprise par une entreprise chypriote offshore appelée Brociti Investments Ltd, puis a déménagé sous le même toit qu’Ukrnaftoburinnya et Esko-Pivnich, deux autres sociétés gazières ukrainiennes qui appartenaient également à Kolomoïsky par l’intermédiaire d’entités off-shore dans les îles Vierges britanniques. Oleh Kanivets, qui travaillait comme PDG d’Ukrnaftoburinnya, a confirmé que Kolomoïsky était le propriétaire de Burisma Holding dans le rapport de 2012 affirmant : « Le groupe Privat est le propriétaire immédiat. Cette société a été fondée par Mykola Zlochevsky il y a quelque temps, mais il a ensuite vendu ses actions au groupe Privat ».

Le vrai dirigeant au sein de la société gazière ukrainienne Burisma Holdings, n’était donc pas son PDG, Mykola Zlochevsky, mais plutôt Ihor Kolomoïsky.

Les connexions avec l’État profond américain

Peu de temps après le coup d’État du « Maïdan » qui a vu le renversement du président Viktor Iouchtchenko par l’administration Obama le 2 mars 2014, Kolomoïsky, qui a soutenu ce renversement, a été nommé gouverneur de la région de Dnepropetrovsk, en Ukraine.

Alors apparaissent les premières connexions entre l’État profond américain et le pouvoir hissé à Kiev. Hunter Biden, le propre fils du président actuel des États-Unis, Joe Robinette « Bidon », sans expérience dans l’industrie ou la région, rejoindra la société Burisma Holdings de Kolomoïsky le 12 mai 2014.

Burisma Holdings avait changé de propriétaire en 2011 lorsqu’elle a été reprise par une entreprise chypriote offshore appelée Brociti Investments Ltd, puis a déménagé sous le même toit qu’Ukrnaftoburinnya et Esko-Pivnich, deux autres sociétés gazières ukrainiennes qui appartenaient également à Kolomoïsky par l’intermédiaire d’entités off-shore dans les îles Vierges britanniques. Oleh Kanivets, qui travaillait comme PDG d’Ukrnaftoburinnya, a confirmé que Kolomoïsky était le propriétaire de Burisma Holding dans le rapport de 2012 affirmant : « Le groupe Privat est le propriétaire immédiat. Cette société a été fondée par Mykola Zlochevsky il y a quelque temps, mais il a ensuite vendu ses actions au groupe Privat ».

Le vrai dirigeant au sein de la société gazière ukrainienne Burisma Holdings, n’était donc pas son PDG, Mykola Zlochevsky, mais plutôt Ihor Kolomoïsky.

Les connexions avec l’État profond américain

Peu de temps après le coup d’État du « Maïdan » qui a vu le renversement du président Viktor Iouchtchenko par l’administration Obama le 2 mars 2014, Kolomoïsky, qui a soutenu ce renversement, a été nommé gouverneur de la région de Dnepropetrovsk, en Ukraine.

Alors apparaissent les premières connexions entre l’État profond américain et le pouvoir hissé à Kiev. Hunter Biden, le propre fils du président actuel des États-Unis, Joe Robinette « Bidon », sans expérience dans l’industrie ou la région, rejoindra la société Burisma Holdings de Kolomoïsky le 12 mai 2014.

Une photo a fait surface qui montre l’ancien vice-président Joe Biden posant avec son fils Hunter et Devon Archer, qui ony siégé ensemble au conseil d’administration de l’entreprise de gaz naturel ukrainien Burisma, lors d’une partie de golf en 2014 dans les Hamptons (New York Post)

Et c’est ainsi que Hunter Biden a mis en relation Metabiota, dont il est un fondateur en 2009 et dirigeant (avec le beau-fils de John Kerry), avec Burisma pour un « projet scientifique » dont on apprend depuis plusieurs semaines avec les révélations russes, qu’elle est impliquée dans le financement de laboratoires à haut niveau de biosécurité en Ukraine.

Kolomoïsky, magnat des médiats, a construit la marionnette « Zelensky »

Kolomoïsky détient donc avec « Privat Group » des médiats, qui lui ont permis de promouvoir et lancer sa marionnette Volodymyr Zelensky.

Pendant des années, la société de Zelensky a produit des émissions pour le réseau de télévision de Kolomoïsky, « 1+1 Media Group », l’un des plus grands conglomérats médiatiques d’Ukraine. Zelensky y a acquis une renommée nationale notamment en incarnant un président dans une sitcom télévisée à succès intitulée « Servant of the People », qui a été diffusée sur une chaîne appartenant à… Kolomoïsky.

En 2019, les médiats de Kolomoïsky ont donné un grand coup de pouce à la campagne présidentielle de Zelensky, tandis que Kolomoïsky a même fourni la sécurité, les avocats et les véhicules utilisés par Zelensky pour sa campagne. Le garde du corps et l’avocat de Kolomoïsky ont « accompagné » Zelensky pendant cette campagne alors que Zelensky était conduit dans un Range Rover appartenant à l’une des sociétés de Kolomoïsky.

Les « Pandora Papers » ont montré que le président ukrainien Volodymyr Zelensky et ses partenaires de production télévisuelle étaient les bénéficiaires d’un réseau d’entreprises offshore créé en 2012, la même année où la société de production de Zelensky (Kvartal 95) a conclu un accord avec le groupe de médias de Kolomoïsky, et aurait reçu 41 millions de dollars de fonds de Kolomoïsky. Le rival politique de Zelensky, l’ex-président Porochenko, avait commenté cette connexion pendant la campagne électorale : « Le destin avait l’intention de me mettre en concurrence avec la marionnette de Kolomoïsky au second tour des élections ».

Après la victoire de Zelensky, Kolomoïsky, qui avait passé les dernières années à vivre entre Israël et la Suisse, est retourné en Ukraine pour entretenir ses relations avec le nouveau président, choisissant plus de 30 des candidats du parti nouvellement créé de Zelensky qui deviendront députés à la Rada… Il espérait ainsi peut-être faire annuler la nationalisation de sa « Privatbank », qui était la première banque privée du pays. PrivatBank avait été nationalisée en catastrophe en 2016 après le détournement suspecté de 5,5 milliards de dollars (soit près de près de 5 % du PIB ukrainien) selon les estimations de la Banque centrale d’Ukraine.

Aujourd’hui, Kolomoïsky observe sans doute le combat des Ukrainiens et de son homme de paille Zelensky contre la Fédération de Russie, depuis sa résidence à Genève (où il bénéfice d’un forfait fiscal négocié avec les autorités genevoise depuis octobre 2010) ou depuis sa villa à Anthy sur la côte française du lac Léman…

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