Le sport comme arme anti-blanche : la boxe

PLUS QU’Hollywood, le monde cynique de la boxe professionnelle a récemment fait preuve d’une propagande raciale subversive à son paroxysme.

Le matériel promotionnel pour le combat des poids lourds de ce mois-ci à l’O2 Arena de Londres montrait un noir calme et civilisé, face à un barbare blanc hargneux et gesticulant.

Le challenger «britannique» (en fait d’ascendance principalement nigériane, mélangée à un peu d’irlandais du côté de son père) était Anthony Joshua (nom complet Anthony Oluwafemi Olaseni Joshua).

Bien qu’il ait reçu l’OBE il y a quatre ans – c’est-à-dire qu’il est un «Officier de l’Ordre le plus excellent de l’Empire britannique» – Joshua a saisi plusieurs occasions pour montrer son mépris pour la civilisation blanche qui a créé le style de vie multimillionnaire dont il jouit aujourd’hui.

En 2017, Joshua a utilisé Instagram pour prêcher sur «la race noire supérieure». Si quelqu’un avait écrit sur «la race blanche supérieure» sur Instagram, son compte serait rapidement fermé, sa carrière serait terminée et il serait probablement arrêté.

Joshua a ensuite utilisé son compte Snapchat pour faire l’éloge du dictateur génocidaire et anti-blanc zimbabwéen, Robert Mugabe.

Et en 2020, il a pris la parole lors d’un rassemblement «Black Lives Matter», appelant ses compatriotes noirs à discriminer les entreprises blanches.

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Josué a eu des démêlés avec la justice à plusieurs reprises. Agé de 19 ans (et débutant déjà comme boxeur amateur), il a passé deux semaines en prison en détention provisoire pour des délits violents et, comme condition de sa libération, a été contraint de porter une étiquette électronique pendant un an.

Puis, en 2011, il a été reconnu coupable de possession de cannabis dans l’intention d’en vendre et a eu beaucoup de chance d’échapper à une peine de prison : au lieu de cela, il a été contraint d’effectuer 100 heures de travaux d’intérêt général.

Pourtant, les fans de boxe britannique blanche sont soit remarquablement indulgents, soit masochistes. Ils se rassemblent pour soutenir ce criminel raciste noir.

Et les promoteurs de boxe ont cyniquement produit des affiches présentant Joshua comme «cool» et civilisé, tandis que son adversaire apparaît comme un voyou fou.

En réalité, Robert Helenius (un Finlandais basé en Suède) n’a aucun casier judiciaire et (contrairement à Joshua) aucun casier judiciaire pour «racisme». Son image sur les affiches était simplement une comédie, à la hauteur de l’image souhaitée par les promoteurs.

Ces promoteurs savaient également qu’Helenius (qui a 39 ans, est en fin de carrière et ne combat à ce niveau que parce qu’un remplaçant de dernière minute était nécessaire) était presque certain de perdre contre Joshua. Et comme prévu, Joshua a éliminé Helenius au 7ème round.

Les promoteurs ont obtenu le résultat qu’ils voulaient : un barbare aryen battu par un noir «cool».

Malheureusement, trop de nationalistes sont tout aussi désireux d’être à la hauteur de l’image «barbare» qui correspond au scénario de nos ennemis.

L’image médiatique d’un nationaliste racial en 2023 est celle d’un voyou – dans les termes américains d’un «redneck» – au visage déformé par la haine alors qu’il s’en prend impuissant aux libéraux « upérieurs» et aux non-Blancs. Dans les pires exemples britanniques, des hooligans lors de manifestations anti-musulmans sont photographiés en train d’uriner sur l’un des bâtiments les plus historiques de Grande-Bretagne, l’abbaye de Westminster, parce qu’ils ont consommé tellement de canettes de bière blonde sur le chemin de la manifestation qu’ils sont incapables de se contrôler.

Bien entendu, la vérité est que la plupart des nationalistes raciaux sont les défenseurs de la civilisation, à l’opposé de cette image. Tout comme les forces allemandes (assistées par de courageux volontaires venus de nombreux autres pays, dont l’Espagne, la France, la Belgique, l’Ukraine et les États baltes) défendirent la ligne de front européenne contre les troupes de Staline, dont certaines étaient de véritables barbares semi-asiatiques, en 1945.

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Les nationalistes mènent aujourd’hui une guerre politique et culturelle (parfois littérale) contre diverses formes de barbarie anti-européenne.

Pourtant, nous nous laissons représenter comme des barbares. Robert Helenius jouait innocemment ce rôle devant les caméras, dans le cadre du côté show business de son sport. En tant que nationalistes politiquement conscients, nous n’avons pas de telles excuses et devrions faire preuve de plus de bon sens.

Voir également : Mourir à Berlin, la Charlemagne 2 mai 1945 (Vidéo)

Alors que la défaite de l’Allemagne apparaissait inéluctable, trois cents survivants de la Division Charlemagne décident de lutter jusqu’à la fin et prêtent à nouveau le serment SS de servir « avec fidélité et bravoure jusqu’à la mort ». Ils sont dirigés sur Berlin, qu’ils traversent en chantant au milieu d’une population stupéfaite, alors que les forces soviétiques referment leur tenaille sur la ville. Sur ces trois cents Français partis « mourir à Berlin » le 24 avril 1945, il n’en restera plus qu’une trentaine le 2 mai, jour de la capitulation allemande, qui verront s’écrouler l’univers national-socialiste dans le décor même du crépuscule des dieux… Suite : https://www.partinationalistechretien.com/?p=4992

Source : https://nationalvanguard.org/2023/08/sports-as-an-anti-white-weapon-boxing/