-Qu’est-ce que le Crédit Social ?
-Le « Crédit social » signifie argent social — ou ”crédit national”, un argent émis par la société — en opposition à l’argent actuel qui est un «crédit bancaire» — un argent émis par les banques… Au lieu d’avoir un argent créé par les banques, à intérêt, un crédit bancaire, on aurait un argent créé sans dette par la société, un crédit social. Le système du Crédit Social ne vise rien d’autre qu’à faire de l’argent un reflet exact des réalités économiques. Le crédit social, c’est le gouvernement qui cesse d’emprunter des banques privées de l’argent qu’il peut créer lui-même sans intérêt, par sa banque centrale. Le Crédit Social veut que la société elle-même émette l’argent, tout l’argent dont elle a besoin pour que la production se fasse et se vende.
Le Crédit Social soutient que tout argent nouveau, correspondant à un développement dans la capacité de production du pays, appartient au public, non à un groupe de particuliers, et doit être remis au public, c’est-à-dire à tous les citoyens…
-Expliquez nous le vice du système actuel du crédit bancaire privé.
–Le mal, c’est que cet argent nouveau est actuellement traité par les banques comme leur propriété, et elles ne le mettent en circulation qu’en le grevant d’une charge d’intérêt qui crée des dettes collectivement impayables. Aujourd’hui, l’argent est fait par les banques, pour le profit des banques, et en endettant les gouvernements et l’industrie. Cette manière de faire et d’émettre l’argent confère aux banques un pouvoir de contrôle sur toute la société. Le système financier actuel tient la population sous sa coupe, comme les gangsters extorsionnaires tiennent des établissements sous la leur. Et pourtant, ce voleur, le plus grand de tous, on ne l’arrête pas ! II a même comme protecteurs et serviteurs les élus du peuple ; et comme défenseurs, des hommes qui devraient être des lumières pour éclairer le chemin, flageller l’injustice et défendre les opprimés…
-Pourquoi les banques privées exige-t-elles qu’ont leurs rapportent, après usage, plus d’argent qu’elles en ont livrée à la circulation, alors qu’elles sont les seules à livrer ainsi de l’argent nouveau à la circulation ?
– Les banques s’efforcent de perpétuer la fausse croyance selon laquelle elles ne sont que «les gardiennes des dépôts de leurs clients», qu’elles prêteraient ces dépôts, et que leurs bénéfices seraient constitués par la différence des taux d’intérêt qu’ils paient aux déposants et l’intérêt qu’ils reçoivent des emprunteurs. Une telle idée est tout à fait erronée, et c’est l’acceptation populaire de cette grande erreur monétaire qui donne lieu à la plupart des fausses notions sur le sujet de l’argent… d’où les dettes perpétuelles sur les épaules des gouvernements, des autres corps publics, des institutions, des entreprises industrielles, des commerçants, des individus.
En usurpant la prérogative souveraine de la nation d’émettre sa monnaie (et pas seulement le papier monnaie et les pièces métalliques, qui représentent moins que 5 pour cent de tout l’argent en circulation), les banques ont établi un puissant monopole du crédit par lequel elles exercent le plus grand pouvoir sans aucune responsabilité.
Ce monopole du crédit par les banques n’est pas nouveau. Cela dure depuis plus de 100 ans, et pendant ce temps, les banques ont consolidé leur position pour établir un pouvoir presque inattaquable.
Comme pratiquement tout l’argent est émis sous forme de dette, il s’ensuit que toutes les formes de taxes doivent augmenter, inévitablement, mathématiquement, pour essayer de rembourser capital et intérêts. Et à mesure que la fiscalité augmente, la sécurité individuelle diminue.
C’est l’ironie la plus tragique de notre civilisation d’aujourd’hui que, bien que l’homme ait résolu le vieux problème de la misère et de la rareté des biens, bien que son génie inventif ait donné au monde un âge d’abondance, nous sommes devenus individuellement plus enchaînés de dettes. Le progrès a été acheté par la servitude fiscale – et cela, tout à fait inutilement. Au lieu d’être plus libre, l’homme est affligé.
-Quel serait le but ultime des banques privées ?
lls veulent amener toutes les nations du monde dans un tel état de crise que ces pays croiront n’avoir pas d’autre choix que d’accepter la solution « miracle » des Financiers pour les « sauver » de la catastrophe : la centralisation complète, une seule monnaie mondiale et un gouvernement mondial, où toutes les nations devront abandonner leur souveraineté.
Et parlant d’état de crise, celui amené par la fausse pandémie du coronavirus (COVID-19) en est un de taille gigantesque et mondiale : ce qui en fait la crise rêvée par ces mondialistes pour pousser à la vitesse grand V leur plan d’un gouvernement mondial, une dictature totale, avec une seule monnaie unique pour le monde entier.
La version officielle dit que ce soi-disant virus apocalyptique proviendrait d’un marché public où on vend des animaux, tandis que d’autres sources prétendraient qu’il aurait été créé dans un laboratoire de Wuhan et qu’il s’en serait sorti accidentellement, ou bien même qu’il aurait été créé pour servir d’arme bactériologique. À cela, les autorités chinoises ont répliqués que ce serait les Américains qui auraient créé ce soi-disant virus et l’auraient implanté en Chine. Mais peu importe l’origine du soi-disant virus, réel ou pas, les financiers internationaux ont saisi immédiatement cette pseudo pandémie mondiale à défaut de l’avoir carrément inventé, comme occasion d’en venir plus rapidement à leur plan de domination mondiale, car les mesures qui ont suivi pour soi-disant endiguer la propagation de ce soi-disant virus ont entraîné la suppression de la plupart de nos droits et libertés – la mise en confinement de la moitié de la planète, l’arrêt complet des activités économiques…
Voir également : Escroquerie pandémique
Tout cela correspond exactement au plan des financiers internationaux pour amener la transformation de l’économie mondiale et remplacer l’ordre actuel des choses par un Nouvel Ordre Mondial — un gouvernement mondial où toutes les nations souveraines seront abolies. Une telle abolition de nos droits et libertés aurait été impossible à imposer à la population en temps normal, mais le prétexte de la pseudo pandémie a permis d’imposer toutes ces mesures de contrôle sans que les gens protestent, car on nous disait que c’était pour notre bien, pour nous sauver la vie.
En considérant ce qui arrive du point de vue des promoteurs du gouvernement mondial, transformer le système économique, et tenir les gens dans la peur est exactement le but cherché et correspond certainement au plan des financiers pour un Nouvel Ordre Mondial.
-Le gouvernement a-t-il le droit de créer son argent? Cet argent serait-il aussi bon que celui des banques?
-Bien sûr que le gouvernement a le droit, puisque c’est lui-même qui a donné ce droit aux banques. Que le gouvernement se refuse un privilège qu’il accorde lui-même aux banques, c’est le comble de l’imbécillité! C’est d’ailleurs le premier devoir de chaque pays souverain d’émettre sa propre monnaie, mais tous les pays aujourd’hui ont injustement cédé ce droit à des compagnies privées, les banques à charte. Le premier pays à avoir ainsi cédé à des compagnies privées son pouvoir de créer la monnaie fut la Grande-Bretagne, en 1694. Au Canada et aux États-Unis, ce droit fut abandonné en 1913…
– On entend maintenant parler du « crédit social communiste chinois », de quoi s’agit-il ?
Le système de crédit social communiste chinois est un système de notation des citoyens en vue d’accroître le contrôle des pouvoirs publics sur les citoyens qui seraient contraints d’avoir un bon comportement social, économique et politique et n’a rien à voir avec le modèle de crédit social authentique.
Il fonctionne par la collecte de centaines de données sur les individus et les entreprises, depuis leur capacité à tenir leurs engagements commerciaux jusqu’à leur comportement sur les réseaux sociaux, en passant par le respect du code de la route. Tout est un arsenal de moyens technologiques, dont l’intelligence artificielle, est utilisée pour un super contrôle des autorités sur les citoyens.
Ainsi, dans les villes-tests, l’État attribue aux citoyens un « capital de points », 1000 points de base qui peuvent être bonifiés, ou bien s’éroder selon que le citoyen affiche ou non un catalogue de comportements établis. En d’autres termes, le « crédit social » communiste chinois est un système de notation qui récompense ou pénalise les citoyens en fonction de leur comportement.
Pouvez vous nous dire un mot de la fin ?
Nous pouvons conclure en ces termes : l’humanité se retrouve à la croisée de deux chemins, celui du Crédit Social authentique et celui du système de crédit social communiste chinois, au carrefour de deux voies dont celle des dictatures financières privées et celle de la libération. L’humanité a le choix entre la résignation et la résistance. Nous avons l’espoir que l’homme, créé libre par le Bon Dieu, se déciderait de récupérer ses libertés volées en choisissant d’adopter le Crédit Social authentique avec, bien entendu, le secours du Ciel. Mais cela prend de bons apôtres du vrai Crédit Social.
Ce qui doit être fait pour stopper ce plan mondial de domination.
Premièrement, reconnaître les forces spirituelles en présence, réaliser que nous avons à faire pas seulement à des forces terrestres, mais des forces spirituelles, que c’est le combat de Dieu contre Satan. Nous devons choisir qui nous allons servir, pour qui nous allons combattre : Dieu ou Satan.
Deuxièmement, prendre les moyens concrets de contrecarrer le plan des Financiers qui ne peut se faire que par une réforme monétaire : « Les électeurs doivent insister pour que l’émission de l’argent soit placée entre les mains du gouvernement, auquel elle appartient de droit. »
Source : https://www.versdemain.org/articles/credit-social
Lire : Les ”juifs” talmudistes prétendent que citer Apocalypse 3:9 – “La synagogue de Satan” – conduit à des attaques contre leurs synagogues : https://www.partinationalistechretien.com/?p=5475
Lire Objectifs PNC : https://www.partinationalistechretien.com/?page_id=172
C’est vrai qu’il faudrait mettre la pression sur le Parti Unique pour la souveraineté monétaire ça j’en conviens !!