
Ce n’est pas parce que c’est la journée internationale des femmes, décrétée par le pouvoir bolchevique en Russie pour célébrer le putsch juif de 1917, que les femmes juives fortes et indépendantes à la tête du parlement français ne peuvent pas se payer la tête du bétail goy qu’elles dirigent !

Le 8 mars 1917 ont lieu, à Petrograd, des manifestations d’ouvrières que les bolcheviks désignent comme le premier jour de la révolution russe. La révolutionnaire Alexandra Kollontaï évoque une «journée internationale des ouvrières», «devenue une journée mémorable dans l’histoire», lors de laquelle des «femmes, ouvrières et épouses de soldats» ont «[exigé] du pain pour leurs enfants et le retour de leurs maris des tranchées». Cet événement consacre la date du 8 mars en tant que Journée internationale de la femme : elle est désormais l’occasion pour les partis communistes de mobiliser les femmes.
C’est en souvenir de cette première manifestation de la Révolution que, le 8 mars 1921, Lénine aurait décrété la journée « Journée internationale des femmes » (« Международный женский день »).

Aucun lien de parenté, goy.
C’est à peine si Madeleine Braun, née Weil-Hirsch, était juive, comme Braun-Pivet.
Quant à sa qualité d’agent révolutionnaire du Komintern aux ordres du juif moscovite Zinoviev, là aussi, c’est une simple (((cohencidence))).

Oui, c’est copie de la juive Ruth Elkrief.
Mais c’est sans rapport.


Il s’en est passée des choses entre 1944, où le pouvoir nationaliste contrôlait l’Assemblée, et 1946, où les nez internationaux l’ont reprise.


Ce qui est arrivé, c’est la victoire des juifs et de leur créature, De Gaulle.
Le héros des « souverainistes » amateurs de Noirs, d’homos et ”d’intellectuels” juifs.

– 6 trilliards Mon Général !


Les Français (ainsi que les Canadien français)– enfin, ce qu’il en reste – vivent dans un état communiste juif, mais contrairement à l’URSS qui le clamait à la face des esclaves tombés sous sa coupe, cet état se garde d’en faire étalage explicitement.
La « république » (ou l’État social-démocrate québécois), comme se nomme pudiquement cet état juif, se contente de déverser des torrents de références hébraïques sur les têtes des goyim sidérés. Chaque jour, des noms de juifs hurlés par des juifs et des juives à travers 400 médias publics et privés, sans jamais prononcer le mot « juif ».
Et le juif, hilare, qui parade quotidiennement sur quinze plateaux télés, tonitrue derrière 35 micros de radios, pas peu fier de mener avec aisance le troupeau des goyim ahuris comme une cohorte de boeufs.
Les goyim semblent ne jamais devoir se lasser d’admirer leurs maîtres.
On le serait pour moins, franchement.
Le seul fait de nature véritablement révolutionnaire en France consiste à désigner le juif du doigt.
C’est lui le propriétaire de la France dont les Français ne sont que les larbins temporairement tolérés.
Désigner le juif est aussi le seul fait qui mène un opposant en prison. En attendant, tout le reste, à commencer par l’agitation ovarienne imbibée de sémitisme, ne fait que conforter toujours plus la dictature raciale que les juifs exercent en France. Affaiblir l’homme, c’est le secret de ce pouvoir colonial sémitique, et la femme blanche, sa plus fidèle collaboratrice dans l’éradication des Blancs, est pressée à l’équarrissage.
Il n’y a rien de révolutionnaire à solidifier l’anarchie sexuelle et le pourrissement racial dont les juifs se nourrissent pour renforcer leur système colonial partout en Occident.
Les Palestiniens, pour arabes qu’ils soient, ont à leur crédit de ne pas supplier les juifs de les écraser plus férocement sous leur botte en vomissant pour seule justification les dernières insanités sorties de la cervelle détraquée des juifs qui les oppriment comme peuvent les faire les ”féminismes” avec leurs journées bolchéviques ”de la femme”.
Que ça plaise ou pas, ils nous dépassent de dix longueurs. Avec les Arabes de Palestine, les méthodes les plus brutales du colonialisme sont nécessaires.

