Mardi, les Palestiniens ont découvert 409 corps dans des fosses communes provenant du massacre israélien à l’hôpital Al-Shifa, la plupart des corps ayant été écrasés par des chars, passés au bulldozer et « enterrés comme des détritus ».
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Les deux vidéos ci-dessous illustrent une partie de l’ampleur des destructions perpétrées par l’État terroriste juif avec les bombes fournies par les États-Unis enjuivé et son aide militaire :
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@SecondGentlemana rencontré le personnel juif de la Maison Blanche pour célébrer le Mois du patrimoine juif américain. Notre administration est fière de reconnaître les employés juifs qui contribuent chaque jour à faire avancer notre nation et à créer un avenir plus inclusif.
Aljazeera révèle les destructions globales causées par les forces israéliennes à l’hôpital Al Shifa et aux quartiers environnants. Tombes rasées, bâtiments bombardés, salles et équipements médicaux incendiés et bâtiments pulvérisés à proximité. Un nombre incalculable de personnes sont ensevelies sous les décombres. Apocalyptique
Les agents de santé du nord de Gaza ont exhumé mardi les premiers cadavres des fosses communes dans et autour de l’hôpital Al-Shifa, après avoir déclaré que les forces israéliennes avaient tué des centaines de Palestiniens et laissé leurs corps se décomposer pendant leur siège de deux semaines du complexe.
Au moins 381 corps ont été retrouvés à proximité du complexe depuis le retrait des forces israéliennes le 1er avril, a déclaré mardi le porte-parole de la Défense civile de Gaza, Mahmoud Basal, ajoutant que le chiffre total n’incluait pas les personnes enterrées dans l’enceinte de l’hôpital.
La plupart des restes décomposés découverts avaient été enterrés ou retrouvés à la surface, ont déclaré lundi des responsables à CNN. Les chars israéliens en ont écrasé d’autres à mort, laissant certaines des personnes tuées complètement défigurées et impossibles à identifier, a déclaré Basal.
[…] Après le siège de deux semaines, les installations spécialisées du complexe hospitalier sont « complètement hors service », selon Salah, responsable du ministère de la Santé. Il a averti que les bombardements israéliens ont détruit le système médical à Gaza, réduisant ainsi les ressources destinées aux opérations de sauvetage et de récupération.
« Nous n’avons pas de pathologiste, ni d’expertise pour documenter les crimes de l’occupation », a-t-il déclaré.
Les experts de l’ONU ont accusé Israël de « refuser l’accès aux soins de santé à ceux qui en ont le plus besoin », dans un communiqué du 3 avril.
« Le monde est témoin du premier génocide montré en temps réel au monde par ses victimes et insondablement justifié par Israël comme étant conforme aux lois de la guerre », ajoute le communiqué. « L’ampleur de l’atrocité ne peut toujours pas être pleinement documentée en raison de son ampleur et de sa gravité – et représente clairement l’attaque la plus horrible contre les hôpitaux de Gaza. »
Le Middle East Eye en propose davantage :
“Nous avons des femmes et des enfants attachés et menottés”, a-t-il ajouté, décrivant certains des corps qu’ils ont récupérés. « Ils seront emmenés et leurs proches les identifieront. Ils seront ensuite enterrés dans les cimetières connus de la bande de Gaza.
Des informations émanant de l’hôpital et de ses environs suite au raid de l’armée israélienne faisaient état de torture contre des Palestiniens détenus, les équipes médicales d’al-Shifa documentant actuellement ces cas.
“Il y a des traces de torture sur certains des bras et des corps que nous avons retirés”, a déclaré Mahassen.
Les équipes médicales et médico-légales ont indiqué que leur mission est particulièrement difficile en raison de l’état des dépouilles.
Khalil Hamada, directeur général du laboratoire médical et médico-légal, a déclaré à MEE que l’on tentait de récupérer les restes des corps des personnes tuées.
“Les corps ont été déchirés et décomposés, il est désormais très difficile de les reconnaître”, a-t-il déclaré. « Les familles tentent d’identifier ce qu’il reste de leurs proches tués. »
Hamada a ajouté qu’il n’y a pas d’analyseurs génétiques à Gaza, ce qui rend impossible les vérifications ADN. L’attaque israélienne contre Al-Shifa, qui a impliqué l’incendie et la destruction des bâtiments de l’hôpital, a également empêché les équipes médicales et médico-légales d’utiliser des appareils à rayons X.
Les hôpitaux bénéficient de protections spéciales en vertu du droit international, mais Israël a affirmé qu’al-Shifa était un centre central de commandement et de contrôle du Hamas. Les groupes de défense des droits et les avocats internationaux affirment qu’Israël n’a pas réussi à fournir suffisamment de preuves pour étayer ses affirmations.
« Cette occupation criminelle ne se soucie pas des lois internationales ou de l’humanité, elle ne se soucie que de tuer le peuple palestinien », a déclaré Hamada.
Les Goyim du monde entier ne doivent jamais oublier ces atrocités commises par la juiverie criminelle israélienne.
Voir également : Nosfenyahou annonce avoir fixé une date pour le début du carnage de masse à Rafah
