Des citoyens afghans attendent au poste frontalier de Chaman le long de la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan, le 31 octobre 2023. Crédit : Reuters

Depuis le Covid et la fermeture totale des frontières, on le savait, mais le Pakistan vient de le rappeler : un état dispose de tous les moyens coercitifs pour contrôler son territoire.

Après la Birmanie, c’est le Pakistan, un état médiéval islamique doté de la bombe nucléaire, qui vient d’en faire la démonstration.

InfoMigrants :

Plus de 500 000 Afghans ont quitté en quatre mois le Pakistan, qui avait décrété un ultimatum en novembre dernier pour le retour dans leur pays des sans-papiers, a annoncé lundi l’Organisation internationale des migrations (OIM).

Entre le 15 septembre et le 13 janvier, 500 200 Afghans vivant au Pakistan sont rentrés chez eux, a indiqué lundi 22 janvier l’Organisation internationale des migrations (OIM). La grande majorité sont passés par les postes-frontières de Torkham et Spin Boldak.

Islamabad avait fixé un ultimatum au 1er novembre pour le départ de 1,7 million d’Afghans sans-papiers. Le gouvernement pakistanais avait justifié sa politique pour « le bien-être et la sécurité » du pays, où le sentiment anti-afghan est en hausse sur fond de crise économique et de multiplication des attentats à la frontière.

Le Pakistan n’a pas le dixième des moyens financiers et techniques dont dispose un état européen pour mener une telle politique.

Des Afghans s’entassent dans des camions et des bus pour quitter le Pakistan. Crédit : Picture alliance

Pourtant, il faudrait 29 ans au gouvernement français actuel pour réaliser les performances de cet état avec ses 500,000 expulsions en un trimestre.

Tout est une question de volonté. La volonté des démocraties juives est de repeupler les pays blancs avec des centaines de millions de créatures du tiers-monde.

Des avocats et militants avaient dénoncé une répression sans précédent. « Le gouvernement pakistanais a recours à des menaces, des mauvais traitements et au placement en détention pour contraindre les demandeurs d’asile afghans sans statut légal à retourner en Afghanistan ou à faire face au risque d’expulsion », avait alors déploré Human Rights Watch (HRW).

La plupart ont franchi la frontière avant le 1er novembre, craignant d’être arrêtés au Pakistan. « Depuis le pic initial autour du 1er novembre, le nombre d’individus traversant la frontière a baissé régulièrement, mais il reste plus élevé qu’avant le 15 septembre », écrit l’OIM. Entre le 1er et le 13 janvier, environ 10 000 Afghans sont rentrés dans le pays, ajoute l’agence onusienne. Selon des médias afghans, une centaine de personnes passent encore chaque jour du Pakistan vers l’Afghanistan.

Certains des Afghans rentrés chez eux ont vécu des années, voire leur vie entière au Pakistan. Des milliers d’Afghans étaient allés trouver refuge au Pakistan ces dernières décennies, fuyant les conflits.

Parmi eux, quelque 600 000 personnes avaient quitté leur pays en raison du retour au pouvoir à Kaboul en août 2021 des Taliban, qui ont imposé une interprétation ultra-rigoureuse de la loi islamique.

Les pakistanais sont aussi sunnites que les afghans, ce qui ne les a pas empêché de chasser leurs frères de religion avec une implacable dureté.

Les gauchistes blancs qui disent qu’il serait « impossible » d’expulser des millions d’allogènes mentent éhontément. D’ailleurs, ils croient qu’elle est tout à fait possible, sinon ils ne seraient pas dans les rues.

Le Figaro :

Le parti Alternative für Deutschland («Alternative pour l’Allemagne», AfD) a créé la polémique il y a quinze jours après les révélations par la presse d’une réunion à laquelle plusieurs de ses dirigeants ont participé en novembre à Potsdam, près de Berlin, lors de laquelle un projet d’expulsion massive de personnes étrangères ou d’origine étrangère, y compris de citoyens allemands, a été discuté.

Des manifestations géantes contre le parti, accusé de miner la démocratie, se tiennent dans tout le pays depuis plusieurs jours. «Je suis en total désaccord avec la proposition qui aurait été discutée ou aurait été décidée dans le cadre de cette réunion», a martelé jeudi la chef de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, en disant pour sa part défendre «tous les Français, quelles que soient leurs conditions d’acquisition de la nationalité».

Bref aparté : Nous maintenons que l’alcoolo-tabagique entraînerait la France dans le chaos le plus total par son insondable stupidité, sa veulerie et son besoin pathologique d’être aimée tout restant une atroce femme à chats, divorcée et acariâtre.

Apparemment, Marine Le Pen pouvait à peu près tout accepter des Allemands, mais pas « des divergences aussi importantes » que l’expulsion des envahisseurs afro-musulmans d’Allemagne.

C’est une ligne rouge, à en croire ses dernières déclarations.

Voire un casus belli.

Ce véto à propos de qui pourrait ou non rester en Allemagne est une étrange forme de souverainisme. À moins qu’elle ne se considère comme la présidente de tous les noirs d’Europe, ce qui est tout à fait plausible.

Dans un monde normal, ce sont les Allemands de l’AfD qui auraient menacé de lâcher Le Pen si elle refusait d’expulser l’Afrique de France.

Il suffit d’une volonté ferme et la faune allogène se bousculera dans les aéroports pour repartir d’où elle vient.

Source :

https://demopart.ink/le-pakistan-a-expulse-500000-clandestins-afghans-en-moins-de-3-mois/

https://demopart.ink/peste-negre-marine-le-pen-en-opposition-flagrante-avec-lafd-a-propos-de-la-remigration-des-envahisseurs-afro-musulmans/

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