Affaire Michaud

  • Le 12 décembre 2000, Yves Michaud se présente comme candidat à l’investiture du Parti québécois dans la circonscription de Mercier pour l’élection partielle. Le lendemain, 13 décembre, lors des états généraux du français tenus à Montréal, il fait une déclaration appelant les Québécois à suivre l’exemple du peuple juif dans leur attitude de survivance. Ses propos entraînent l’adoption unanime d’une motion de blâme à l’Assemblée nationale du Québec le 14 décembre 2000. Les députés ont voté cette motion sans avoir pris connaissance des propos présumés antisémites de Michaud et sans que celui-ci ne soit entendu. Depuis, plusieurs élus du temps se sont ensuite excusés pour avoir voté cette motion de blâme sans avoir pris connaissance des propos de Michaud.

http://www.solidarite-yvesmichaud.org/biographie-yves-michaud

En entrevue avec Éric Bédard sur Ma TV, Yves Michaud réagit aux propos de Lucien Bouchard concernant la motion « scélérate » du 14 décembre 2000 votée à l’unanimité par les 109 députés présents ce jour-là à l’Assemblée nationale du Québec. Libellé de la motion : « Que l’Assemblée nationale dénonce sans nuance, de façon claire et unanime, les propos inacceptables à l’égard des communautés ethniques et, en particulier, à l’égard de la communauté juive tenus par Yves Michaud à l’occasion des audiences des états généraux sur le français à Montréal le 13 décembre 2000. » Signé du député libéral de D’Arcy-McGee, Lawrence S. Bergman (parti libéral du Québec)

Lawrence Bergman est également engagé depuis longtemps dans la communauté juive canadienne, comme membre ou dirigeant de plusieurs organisations, telles B’nai B’rith, la Congrégation Adath Israel-Poale Zedek de Montréal, le Conseil de la communauté juive de Montréal, l’Institut canadien de recherches sur le judaïsme et le State of Israel Bonds.

En décembre 2000, il est le principal instigateur de la motion de blâme parlementaire condamnant l’ancien député Yves Michaud pour des propos controversés tenus sur le chanoine Lionel Groulx et l’antisémitisme (voir affaire Michaud). En 2011, Il tente de présenter une motion similaire contre des propos tenus sur le site web Vigile.net, mais la motion est rejetée.1,2

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lawrence_Bergman

…et du député péquiste de Sainte-Marie–Saint-Jacques, André Boulerice.

Prix et distinctions : Prix Jérusalem

Il institue l’union civile en 20022. L’union civile permet entre autres aux couples homosexuels d’avoir les mêmes droits lorsqu’ils s’unissent que les couples hétérosexuels dans un contexte où le mariage homosexuel est alors interdit au Canada.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Boulerice

Bouchard qui fanfaronne à propos de son abus de pouvoir ayant brimé la liberté de parole du citoyen Michaud via l’influence qu’il exerce en tant que Premier ministre (à titre de premier conseiller de la reine) auprès de ses collègues députés

[Par. 14] Une constitution ne vaut guère plus que le papier sur lequel elle est écrite si les hommes et les femmes ayant la charge de l’État et les fonctionnaires qui les servent ne s’engagent pas à lui obéir avec honnêteté, s’ils ne respectent pas ce que l’on appelle, en common law, le principe constitutionnel de primauté du droit, la rule of law comme on dit en langue anglaise.
[Par. 15] Un Canadien, un Français ou un Anglais vivant aujourd’hui ne se poserait même pas cette question, tant il lui semble inimaginable que son président ou son Premier ministre, avec l’appui des forces de l’ordre, abuse ouvertement de ses pouvoirs ou refuse de se soumettre aux jugements des tribunaux dans le cas contraire.

[Par. 1] On ne peut comprendre l’histoire du droit sans se poser au préalable la question de la nature du droit. https://www.constitution-du-royaume-uni.org/nature-du-droit.php#_edn10

Tout compte fait, Yves Michaud trouve que la cause marquante de sa vie a été le caractère unique du Québec. Par exemple, il a quitté le Parti libéral avec l’adoption de la loi 63 sur le choix de la langue d’enseignement à l’école.

«J’espère que je serai davantage reconnu pour la défense de la langue française, pour faire en sorte que le Québec devienne un pays souverain qui parle français [collectivement] et qui est bilingue individuellement», a-t-il conclu. -Yves Michaud

Ok, on passe sur le ”néo-nationalisme québécois” post ”révolution tranquille” du péquiste Michaud… ou autres agents politiques du divertissement libéraux/péquistes… Lévesque, Parizeau… sans oublier nos progressistes-conservateurs libéraux/péquiste à la Charest, Bouchard… Landry et sa suite.

Pour revenir au ”séparatiste” Michaud, donc le ”nationalisme” se définit comme le ”Québec bilingue individuellement”

https://www.journaldemontreal.com/2013/11/05/yves-michaud-de-journaliste-a-robin-des-banques

Ou plutôt, le ”nationalisme laïcard” sous supervision rabbinique…

L’ affaire Michaud. La tolérance et ce qu’elle implique :

Le respect d’autrui, déjà clairement défini dans nos lois et nos chartes, ne doit pas limiter l’interaction et la critique mutuelle, car si les Québécois francophones ont fait des pas de géant dans la compréhension et l’ouverture à l’autre, il reste encore du chemin à parcourir aux communautés ethniques pour accepter, dans leur propre milieu, la diversité d’opinion qui a cours au Québec et, plus particulièrement, l’idée de la souveraineté qui en est une de ses principales composantes.

À trop craindre de heurter les sensibilités, on risque d’encourager le monolithisme et la pensée unique à l’intérieur des communautés ethniques et de décourager toute critique provenant de l’extérieur. Bientôt, si ce n’est pas déjà le cas, cette peur fera que seuls les porte-parole autorisés et les spécialistes accrédités auront le droit de se prononcer sur les rapports interethniques. On peut imaginer ce que cela implique sur le plan des valeurs que la société québécoise se doit aussi de transmettre à toutes les communautés culturelles – au-delà de la question de la langue qui brouille parfois une vue plus globale -, si cette peur prenait le dessus et nous empêchait de formuler toute forme de critique constructive. Car s’il faut être ouvert et sensible aux valeurs et perceptions des communautés ethniques, il faut être non moins vigilant à défendre une valeur tout aussi québécoise que le respect d’autrui, c’est-à-dire la liberté d’expression et la libre discussion qui en découle.

Il est clair que les propos d’Yves Michaud visés par la motion ne violaient aucune loi, et il n’a d’ailleurs jamais été condamné ni même poursuivi, mais sa notoriété et ses états de service publics exemplaires font que le geste de l’Assemblée nationale a un impact considérable. Journaliste, député libéral puis indépendant, conseiller et ami aussi bien de Robert Bourassa que de René Lévesque, Yves Michaud a aussi été un des grands diplomates du Québec. Il a honorablement occupé d’autres fonctions dans différents secteurs d’activité publics et privés, dont celui de la défense des petits épargnants.

Il a son franc-parler, mais rien dans sa vie ne l’associe à des doctrines méprisables, bien au contraire. D’ailleurs, les mérites d’Yves Michaud ont récemment été reconnus par une instance neutre et au-dessus de tout soupçon, le Conseil de l’Ordre national du Québec, qui lui a décerné le grade de chevalier. Michaud a refusé cet honneur. Il devrait peut-être se raviser. Ce serait une belle manière de mettre un terme à cette regrettable affaire dans l’honneur et la dignité.

🕎 https://www.victorteboul.com/Article.aspx?ID=22 🕎

La liberté et la légalité sont toutefois mieux servies par la politique plutôt que par le droit, ou par le pouvoir plutôt que par les droits dans la tradition anglaise du common law…

Il existe donc un sens « anglais très anglais » des droits de l’homme. C’est à cette conception « anglaise très anglaise » que fait référence K. Ewing dans son ouvrage Bonfire of the Liberties quand il estime que « l’ironie suprême de la constitution britannique réside dans le fait que la liberté et la légalité sont mieux servies par la politique plutôt que par le droit, ou par le pouvoir plutôt que par les droits »9.

Si la culture juridique britannique résiste tant à la philosophie des droits individuels, c’est qu’elle s’est posée la question de la liberté avant l’apparition de la démocratie : il nous faut donc remonter au XVIIIe siècle. Mais la conception de la liberté en common law tient toujours pour le moment en échec la philosophie des droits de l’homme centrée sur l’individu et aujourd’hui sur le sujet. 

La continuité de la liberté comme « marque de reconnaissance » du sujet anglais

La « liberté » dans la tradition anglaise de la common law apparaît en réalité sous la forme d’une description par énumération, dont la canonisation en philosophie politique a été effectuée par J. Locke sous l’expression de property. Cette dernière renvoie à la triade « life, liberty, possessions » (A). La généalogie de cette triade montre qu’au XVIIe siècle elle correspond, dans la culture juridique anglaise, à des « droits de naissance » des sujets anglais ou encore à « un point indubitable et fondamental » de l’ancien droit du Royaume et qu’au XVIe siècle, cette triade désigne un ensemble de « choses » qui composent la relation au sein de la communauté politique.

 http://www.droitphilosophie.com/article/lecture/la-liberte-dans-la-tradition-anglaise-de-la-common-law-120

Du sable dans l’engrenage… le peuple élu et errant toujours non reconnaissant de l’héritage chrétien de tolérance de partage et d’amour…

Le conflit entre l’organisme juif B’Nai Brith et le militant péquiste Yves Michaud s’envenime, l’un traitant l’autre de dinosaure et l’autre ripostant par des épithètes d’anti-Québécois et d’extrémistes.

M. Michaud et des représentants de B’Nai Brith ont comparu par hasard l’un après l’autre, mercredi, devant la Commission des états généraux sur la situation et l’avenir de la langue française, à Montréal. C’est à l’extérieur de la salle où se tenaient les audiences qu’ont été formulés ces commentaires, à l’invitation des médias, principalement anglophones, qui ont interrogé séparément chacune des parties sur leur position respective.

Le malentendu prend sa source dans les déclarations de M. Yves Michaud, qui sollicite l’investiture péquiste dans Mercier. Dans une entrevue, M. Michaud a affirmé qu’il avait raconté à un ami juif qu’il était prêt à attendre 100 ans l’indépendance du Québec. Son ami lui aurait répliqué que les Québécois n’étaient pas dans la même situation que les Juifs avant la création de l’État d’Israël. M. Michaud a alors déploré le fait que les Juifs laissaient parfois entendre qu’ils étaient le seul peuple à avoir souffert, oubliant que les Arméniens et que les Palestiniens, entre autres, avaient aussi souffert.

Il n’en fallait pas plus pour que le groupe B’nai Brith demande au premier ministre Lucien Bouchard d’écarter la candidature de M. Michaud à l’investiture péquiste dans Mercier.

M. Bouchard a déjà refusé mardi de s’immiscer dans ce processus, préférant laisser les militants de Mercier choisir leur candidat. Il a quand même tenu à prendre ses distances des propos tenus par Yves Michaud, les qualifiant de mal avisés.

Mercredi, M. Michaud a refusé de s’excuser pour ces propos, demandant pour quels propos, au juste, on lui demandait de s’excuser.

M. Michaud a affirmé que le groupe B’Nai Brith était plutôt extrémiste, anti-souverainiste et anti-Québécois. Il a rappelé que cet organisme avait déjà demandé que l’on change le nom de la station de métro montréalaise Lionel-Groulx, nommée en l’honneur du chanoine qui a marqué l’histoire québécoise.

M. Robert Libman, directeur général de la Ligue des droits de la personne B’Nai Brith Canada région du Québec et ancien chef du Parti égalité en a rajouté, traitant M. Michaud de «dinosaure».

M. Libman a comparé ces propos de M. Michaud à ceux d’une candidate de l’Alliance canadienne, lors de la dernière élection fédérale, qui avait parlé d’une «invasion asiatique» en Colombie-Britannique. La candidate avait dû démissionner, son chef Stockwell Day ayant pris ses distances face à ces déclarations.

https://www.tvanouvelles.ca/2000/12/13/yves-michaud-et-le-bnai-brith-a-couteaux-tires

Dans l’esprit de Locke, le pouvoir législatif est le plus puissant des trois
pouvoirs : « Le pouvoir législatif est le pouvoir souverain
ainsi qu’un principe de délégation de souveraineté au gouvernement civil qui est provisoire (révocabilité)

C’est pourquoi l’œuvre de John Locke est donc essentielle pour comprendre cet
« apprentissage » européen de la notion de liberté politique.
Je vous propose de l’étudier en suivant le fil de son propre raisonnement : son
raisonnement est proche des Hobbes par les thématique qu’il emprunte, mais bien différent
par ses conclusions = notamment la défense des libertés.
Autrement dit, on va retrouver, suivant la mode intellectuelle de l’époque, les deux
thèmes classiques = l’état de nature et le pacte social.

L’État n’a pas vocation à étendre sa puissance au-delà de la défense des libertés. Ce
qui signifie, en clair, que l’État ne peut, ni ne doit, être absolu.
Comme l’écrit Locke, clairement, la monarchie absolue « est, à vrai dire,
incompatible avec la société civile ».

C’est finalement toute la différence entre le libéralisme politique que défend Locke, où
les homme n’abandonnent à l’État que ce qui est utile à garantir leur liberté, et l’État
totalitaire où l’homme a au contraire tout abandonné à l’État.

Quelle est la nature de cette limite que pose Locke à la souveraineté ?
On pourrait dire que cette limitation de la souveraineté étatique est de nature (ou
d’essence) « constitutionnelle », et il ne reste donc plus à John Locke qu’à déterminer les
institutions qui conviennent le mieux à l’épanouissement de la société civile et politique dont
il vient de poser le fondement libéral.

Et Locke nous explique quels sont les caractère de cette loi garantissant la liberté de
chacun : Ces caractères sont :
o la clarté (l’absence d’ambiguïté),
o la généralité (elle ne doit pas viser une personne en particulier),
o la publicité (de manière à être connue),
o la non rétroactivité,
o la stabilité (la législation peut évoluer, mais lentement),
o et surtout l’égalité (c’est l’isonomie grecque = Periclès).

  • En second lieu, les pouvoirs de la société politique, qui proviennent de l’aliénation
    volontaire d’une partie des libertés naturelles (voir le tableau ci-dessus), doivent être
    « distincts » : le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire, et ce,
    quelle que soit la forme du gouvernement ( monarchique, aristocratique ou
    démocratique).
    Cependant, dans l’esprit de Locke, le pouvoir législatif est le plus puissant des trois
    pouvoirs : « Le pouvoir législatif est le pouvoir souverain.

En conclusion, la pensée de Locke est clairement fondatrice du libéralisme politique,
dont il pose les 3 grands principes :

  • L’existence de droits naturels inaliénables (propriété, liberté) = c’est en germe la
    doctrine des droits de l’homme. (les hommes n’ont pas abandonné à l’État tous leurs
    droit et par conséquent
  • Un gouvernement civil dont les pouvoir doivent être limités
  • Une délégation de souveraineté au gouvernement civil qui est provisoire (révocabilité)

Source : https://unia.fr/wp-content/uploads/2020/12/Ortolani_2020-21_2_Locke.pdf

Canada : projet de loi libéral anti-constitutionnel pour étouffer la liberté d’expression

Le ministre du Patrimoine canadien a révélé dans une entrevue cette semaine qu’il prévoyait déposer un projet de loi ce printemps, visant à censurer les « discours haineux » sur internet, rapporte Le Soleil. Certes, il faut combattre la haine, même sur l’internet, mais ce qui est inquiétant c’est la définition de la « haine » selon le ministre Steven Guilbeault.

Dans le cadre de ce projet de loi, le ministre du Patrimoine canadien (fonction éminemment pertinente pour légiférer sur le sujet en question…) veut créer un poste de « régulateur » qui aurait les pouvoirs de faire appliquer les articles de la loi, si elle était approuvée, sur cinq catégories d’activités illégales sur internet, avec entre autres la charge de retirer dans les 24 h après sa parution en ligne tout contenu haineux, relate Le Soleil.

Le projet de loi contient de bonnes choses, comme des sanctions plus sévères contre la pornographie juvénile et la diffusion d’images intimes sans consentement sur la toile (pourquoi pas la pornographie tout court ?), d’après Le Soleil.

M. Guilbeault, en outre, daigne ne pas légiférer sur ce qu’il pourrait considérer comme de la désinformation.

Combattre le vrai discours haineux est louable, et le ministre se défend de vouloir faire autre chose que d’appliquer la loi à ce qui se publie sur internet, selon Le Soleil :

Le ministre Guilbeault rejette toute accusation voulant que le gouvernement cherche à limiter la liberté d’expression en déposant un projet de loi. Il affirme que l’objectif législatif est d’assurer que les lois existantes, comme celle sur les propos haineux, soient appliquées à ce qui est diffusé en mode virtuel, comme c’est déjà le cas pour ce qui ne l’est pas. Il veut protéger la liberté d’expression plutôt que de l’étouffer.

Mais… rapporte Le Soleil :

À son avis, dans le monde virtuel et le monde physique, la sécurité de certains Canadiens et leur liberté d’expression sont actuellement compromises. Le ministre est convaincu que des Canadiens racialisés ou certains groupes sociaux évitent d’utiliser les réseaux sociaux parce qu’ils sont les cibles constantes de propos haineux ou de menaces.

Et voilà où le bât blesse, je ne pense pas que les personnes « racialisées » soient spécialement menacées, ce serait plutôt l’inverse qui est vrai à notre époque, où les Occidentaux sont considérés comme des racistes par natures qui s’ignorent, selon certains activistes « antiracistes » semblant être plus racistes qu’autre chose. Du reste, qu’est-ce qu’un « racisé » ? Tous appartiennent à une race ou à une autre, qu’ils le veuillent ou non. Est-ce quelqu’un qui met en avant ses origines familiales ? Dans ce cas, le Canadien français qui défend son identité est un « racialisé ». Mais ce n’est sûrement pas ça que le ministre voulait signifier…

Quant aux autres groupes « menacés », on devine aisément que le ministre pense à l’éventail LGBT. Pourtant, encore une fois, sont-ils vraiment spécialement la cible d’une haine particulière ? À l’inverse, je connais le cas du Canadien Chris Elston, qui dénonce le tort des « transitions » sur les enfants, qui s’est fait attaquer, non simplement sur internet, mais dans les rues de Montréal même ! Récoltant un bras cassé… Selon le Rebel News :

Au moment de l’agression, Chris portait une pancarte sur laquelle on pouvait lire « les enfants ne peuvent pas consentir aux bloqueurs de puberté », ce qui a attiré l’attention d’un groupe de voyous violents qui a agressé Chris et son ami.

https://www.cqv.qc.ca/canada_projet_de_loi_liberal_pour_etouffer_la_liberte_d_expression

Objet de l’affaire Michaud :

La protection de la liberté d’expression repose sur des principes et des valeurs d’importance fondamentale qui favorisent la recherche et l’atteinte de la vérité, la participation à la prise de décisions d’intérêt social et politique ainsi que la diversité des formes d’enrichissement et d’épanouissement personnels (Irwin Toy Ltd. c. Québec (Procureur général)[1989] 1 R.C.S. 927, à la page 976; Ford c. Québec[1988] 2 R.C.S. 712, aux pages 765 et 766).

La Cour suprême du Canada a statué que le lien entre la liberté d’expression et le processus politique est peut-être la « cheville ouvrière » de la garantie énoncée à l’alinéa 2b) (R. c. Keegstra[1990] 3 R.C.S. 697Thomson Newspapers Co. c. Canada (Procureur général)[1998] 1 R.C.S. 877Harper c. Canada (Procureur général)[2004] 1 R.C.S. 827). La liberté d’expression est une valeur fondamentale entre toutes, car elle réside au cœur d’un gouvernement démocratique. Les deux autres éléments justifiant la protection de la liberté d’expression, soit encourager la recherche de la vérité au moyen d’un échange ouvert d’idées et favoriser l’épanouissement personnel des individus, parce qu’ils touchent directement la dignité humaine de la personne, constituent également des valeurs fondamentales qui sous-tendent l’analyse à la lumière de l’alinéa 2b).

https://justice.gc.ca/fra/sjc-csj/dlc-rfc/ccdl-ccrf/check/art2b.html

Le DGEQ poursuit Yves Michaud, qui contre-attaque

Selon les paroles qu’on lui prête, Yves Michaud aurait qualifié l’organisme juif B’nai Brith de « phalange extrémiste du sionisme mondial », et allégué que les Juifs n’avaient pas le monopole de la souffrance dans le monde.

M. Michaud a réitéré jeudi que les paroles qui lui sont reprochées ont été retirées de leur contexte. Il dit avoir alors parlé d’un « peuple invincible, admirable d’orgueil, à l’imbrisable ténacité ». « C’était des propos élogieux », souligne-t-il.
« Je suis parrain d’un garçon juif, […] j’habite un quartier juif depuis 50 ans. Je suis plutôt sémite qu’antisémite. »
— Une citation de  Yves Michaud, ancien député à l’Assemblée nationale

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/607571/dge-poursuite-publicite-electorale-non-autorisee

https://ebible.fr/psaumes-72-traduction-crampon.htm

https://www.unherautdansle.net/commentaire-sur-le-psaume-72/

Le drapeau du Canada représente un feuille d’érable rouge sur un fond de bandes verticales, rouge, blanche, rouge.

A mari usque ad mare la devise nationale du Canada, qui provient du huitième verset du psaume 72 du livre des Psaumes de la Bible. Elle signifie De la mer jusqu’à la mer et est à comprendre D’un océan à l’autre (l’océan Atlantique et l’océan Pacifique) s’agissant du Canada.

Une note précise : « De la Mer à la Mer, de la mer Rouge à la Méditerranée, d’après ExodeXXIII, 31. Comparer ZacharieIX, 10 et Siracide (Ecclésiastique), XLIV, 21. Le Fleuve est l’Euphrate : GenèseXV, 18 ; XXXI, 21, etc. Voir Psaumes LXXX, 12. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/A_mari_usque_ad_mare


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POURQUOI NE PAS AVOIR PLACÉ UNE FEUILLE D’ÉRABLE VERTE AU CENTRE
(Encore que l’érable vit presque exclusivement au Québec) 

ET DEUX BANDES BLEUES DE CHAQUE CÔTÉ
EN RÉFÉRENCE À LA DEVISE DU CANADA QUI EST: “D’UN OCÉAN À L’AUTRE” ?

Le projet d’adoption d’un drapeau propre au Canada reçut son appui principal du premier ministre Lester B. Pearson. Après des décennies de discussion à propos d’un nouveau drapeau, il proposa, en 1964, un dessin de drapeau figurant trois feuilles d’érable rouge sur fond blanc. Cependant, les Canadiens français majoritairement au Québec demandaient l’ajout de deux bandes bleues au côté des bandes rouges pour représenter les peuples fondateurs du pays MAIS NE FUT PAS ACCEPTÉ.

L’illusion de «Jacques et Jack »Une illusion d’optique est repérable sur le drapeau du Canada. En effet, on peut observer deux visages d’hommes formés sur le fond blanc, par symétrie au-dessus de la feuille d’érable. Ces hommes semblent être en colère et se disputer. Les canadiens les ont donc surnommés Jacques et Jack pour marquer la dispute entre la langue française et l’anglais dans la culture canadienne.

Vous ne les voyez pas, alors regardez d’un peu plus près la feuille d’érable et vous verrez deux visages de profil, dont les longs nez constitués par l’échancrure de la feuille,de part et d’autre de la foliole centrale.

Un symbole de justice gravé à tout jamais dans l’histoire de l’Ecosse et du Canada qui ont accueillis la licorne et le lion comme porteurs héraldiques des Armes de leurs pays. Magnifique, mystérieux, cet animal est devenu un emblème. Le symbole du Canada (les armoiries): d’un côté l’UNION JACK d’Angleterre (tenue par le Lion) qui représente le peuple anglais du Canada; de l’autre côté les TROIS FLEURS de LYS dorés du dernier roi de France représenté par la Licorne tenue elle-même en laisse, enchaînée. (collier)…

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