Nos adversaires disent : “Ouais, vous avez juste eu de la chance !”
Oui c’est ça, justement : la chance, il faut l’avoir ! Si un gouvernement n’a pas de chance, mais constamment de la malchance, qu’est-ce que le peuple y gagne ? Le fait que nous ayons bien mué et que le bon Dieu nous ait un peu aidés ne plaide pourtant pas en notre défaveur, mais plutôt en notre faveur ! Nous n’avons pas colporté cela en permanence et nous n’avons pas fait comme si le bon Dieu présidait notre groupe politique, comme c’était la mode dans d’autres partis, mais tout de même… Mais tout de même : cela ne donne pas l’impression qu’il soit justement “bienveillant” à notre égard.

Lorsque l’on nous rétorque donc dans le camp adversaire : “Vous êtes des païens !” Je ne peux que dire : tiens, tiens, pourquoi ? En quoi et comment ? Agissons-nous de façon si païenne ? Est-ce païen de mettre en place une œuvre de secours d’hiver et de nourrir ainsi des millions de personnes ? Est-ce païen de redonner à un peuple sa paix intérieure ? Est-ce païen de venir en aide à son frère démuni et à son voisin ? Est-ce païen de vouloir rétablir les valeurs familiales ? Et aussi de redonner au travailleur un sens et un but à sa vie ? Est-ce païen de reconstruire un État à nouveau sur des principes moraux, de chasser l’impiété, de purifier le théâtre et le cinéma de la contamination et de toute la peste du marxisme judéo-libéral, est-ce païen ? Si ceci est païen, alors nous remercions vivement le christianisme d’avoir fait le contraire !

Les églises disent : il figure dans votre programme que vous vous situez religieusement sur un sol positivement christianisé. Je suis d’accord ! Mais nous voudrions simplement souhaiter que, de la même manière que nous sommes religieux positivement chrétiens, les églises soient politiques positivement national-socialiste. Nous serons alors d’accord, plus rien ne nous séparera. Nous ne voulons pas non plus entrer en conflit avec les églises. Aucun d’entre nous ne ressent en lui ce genre de réforme politique, au contraire, nous sommes tous très attachés à cette terre. Nous ne nous préoccupons pas non plus de l’au-delà, au contraire, nous nous préoccupons de la vie ici-bas. Nous voulons donc séparer très clairement ces deux domaines l’un de l’autre : que l’un s’occupe des cieux et que l’autre s’occupe de la Terre.

Discours Joseph Goebbels, 4 décembre 1935.

Voir également : L’effroyable effronterie du juif dans le mensonge

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *