L’auteur Salman Rushdie a été attaqué vendredi lors d’une conférence à Chautauqua, dans l’État de New York, par un homme qui a envahi la scène et poignardé l’écrivain dans le cou, selon la police. Salman Rushdie a été transporté à l’hôpital par hélicoptère médicalisé.
L’auteur Salman Rushdie a été poignardé après être monté sur scène lors d’un événement de l’Institut Chautauqua.

« Les nouvelles ne sont pas bonnes », a écrit Andrew Wylie, son agent littéraire, dans un courriel. « Salman va probablement perdre un œil ; les nerfs de son bras ont été sectionnés ; et son foie a été poignardé et endommagé ».

Une attaque de ce genre, à 75 ans, suffit généralement à pousser quelqu’un vers la tombe. Même s’il survit, Rushdie sera trop diminué pour faire quoi que ce soit.

Les juifs ont rapidement exploité la situation à leur avantage. Ils expliquent en ce moment même que c’est une attaque contre « la liberté d’expression ».

Les juifs veulent à l’évidence organiser un dîner de con auquel tous les goyim sont conviés.

Ce concept de « liberté d’expression » n’existe certainement pas en France, ni dans aucune démocratie de l’Union Européenne.

Elles mettent un point d’honneur à le dire et le répéter : il est strictement interdit aux goyim de dire quoi que ce soit qui déplaît aux juifs.

Les démocraties ont instauré de très nombreuses lois pour empêcher les gens de s’exprimer sur tous les sujets à propos desquels les juifs ont déjà un avis arrêté.

Pour parfaire ce système de censure, les grandes plateformes juives de la Silicon Valley censurent en temps réel tous les contenus que les juifs n’aiment pas.

Comparativement, la méthodologie islamique est archaïque. Elle suppose d’aller trouver la personne qui a dit quelque chose qui déplaît aux musulmans et de le tuer à coups de couteau.

Les juifs, grâce à leur contrôle du système financier, des GAFAM et des états occidentaux, peuvent imposer une censure totale avec un email ou un coup de téléphone. Ils peuvent traquer et jeter en prison la moindre personne qui a fait une blague sur l’odeur corporelle des personnes de race noire ou bien qui demande un plan détaillé du fonctionnement d’une chambre à gaz hitlérienne telle qu’est évoquée confusément par les juifs.

Sans parler des questions posées sur l’équilibre mental des hommes qui se déguisent en femmes pour aller uriner dans les toilettes des dames avec les petites filles.

Les juifs appellent cette censure totale des goyim qui refusent l’esclavage « la liberté d’expression ».

Source : https://dempart.pro/lauteur-islamophobe-salman-rushdie-surine-par-un-musulman-de-la-tolerance/

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