La démocratie grecque emprisonne tous les patriotes grecs qui veulent défendre la Grèce avant les banquiers juifs, à l’instar d’Ilias Kassidiaris

La raison pour laquelle nous nous engageons en Ukraine est la défense de la démocratie.

La démocratie est le meilleur système de gouvernement qui existe. Pour les juifs.

The Times of Israël :

Avec les élections en ligne de mire, les députés grecs ont décidé mercredi de faire barrage à un parti politique fondé par un ancien cadre de la formation néo-nazie Aube dorée qui purge une lourde peine de prison.

Le Parlement grec a adopté dans la soirée un amendement à la loi électorale de 2021 qui prévoit qu’un parti politique ne pourra pas participer aux élections si sa direction, officielle ou officieuse, a été condamnée pour appartenance à une organisation criminelle.

En démocratie, les partis au pouvoir écrivent des lois pour empêcher les autres partis de se présenter à leurs élections. L’idée étant que les gens votent, mais que les votes exprimés ne puissent jamais se porter sur autre chose que les partis au pouvoir.

Lire : Objections et commentaires suite à l’intention du refus de reconnaissance officielle du Parti nationaliste chrétien par le DGEQ : https://www.partinationalistechretien.com/?p=1749

Les élections ont pour seule fonction de divertir les goyim sans qu’aucun changement n’advienne qui nuirait aux forces financières qui contrôlent le système.

Les démocraties insistent sur l’importance de ces élections inutiles.

Vous serez surpris d’apprendre que c’est la droite grecque qui est à l’origine de cette loi démocratique.

Visé par cette réforme voulue par le gouvernement conservateur de Kyriakos Mitsotakis : le parti d’extrême droite « Les Hellènes » porté sur les fonds baptismaux il y a trois ans par Ilias Kassidiaris, l’ancien porte-parole d’Aube dorée, aujourd’hui sous les verrous.

Cet ancien député du parti néo-nazi de 2012 à 2019 avait créé sa propre formation quelques mois avant son emprisonnement en octobre 2020.

À l’issue du procès de 67 dirigeants et cadres d’Aube dorée, cet homme de 42 ans, violent, négationniste et raciste, avait été condamné à 13 ans et demi de prison ferme pour son appartenance à une « organisation criminelle ».

Ilias Kassidiaris est un héros et un véritable martyr.

Les juifs ont déclenché les plus féroces persécutions contre lui en raison de son héroïque défense de la Grèce hellénique.

Avant toute chose, il faut rappeler le plus important : c’est un procès politique orchestré par la finance juive internationale et comme dans toutes les opérations de ce type, on retrouve leurs chiens marxistes en première ligne pour exécuter sa basse besogne.

Après les premiers succès électoraux d’Aube Dorée, le congrès juif mondial décréta que la rébellion des goyim en Grèce devait être écrasée à tout prix et qu’Aube Dorée devait être détruit, purement et simplement.

La juiverie était intéressée au premier chef par les développements politiques en Grèce. Après avoir supervisé le trucage des comptes du pays pour précipiter son adhésion à l’Euro avec l’aide de la gauche grecque, la banque juive Goldman Sachs faisait face en Grèce à une menace systémique d’effondrement de la zone euro après la crise financière de 2008, totalement orchestrée par cette même juiverie.

L’Aube Dorée était le seul parti qui dénonçait la responsabilité de la finance internationale dans ce désastre qui avait permis à tous les partis pourris de la démocratie grecque de s’enrichir pendant des années. L’Aube Dorée était aussi le seul parti à exiger la sortie de l’Euro en Grèce pour sauver l’économie du pays.

Il était enfin le seul parti à vouloir endiguer la submersion migratoire de la Grèce et de l’Europe au moment où Athènes recevait l’ordre d’ouvrir les portes de l’invasion, ce qui aboutit au cataclysme de 2015.

L’Aube dorée avait été interdite par le Congrès juif mondial après sa percée électorale.

Ce rappel vidéo résume tout en 4 minutes :

Le gouvernement grec, dont la fonction est de tenir en laisse la population grecque pour le compte de la banque juive en s’assurant qu’elle reste soumise à l’esclavage financier international, a monté un prétexte légal pour jeter en prison les nationalistes d’Aube dorée.

Aube dorée, dont les scores électoraux au pic de la crise financière avaient alarmé l’Europe entière, avait été impliquée dans l’assassinat en 2013 d’un rappeur antiraciste, Pavlos Fyssas. Ce crime est aujourd’hui jugé en appel.

Ilias Kassidiaris n’a jamais eu de lien avec le meurtre de ce rappeur d’extrême-gauche.

Lors de l’enquête, il a été entendu puis libéré.

Ce n’est que des années après, avec l’arrivée au pouvoir de la droite koshervatrice grecque pleinement engagée à appliquer toutes les directives financières ordonnées par Bruxelles, qu’un procès a été monté pour écraser Aube dorée. L’argument était que les chefs d’Aube dorée étaient coupables de ce meurtre, même sans y avoir participé.

Les journalistes, pourtant favorables au système, ont admis que les charges étaient si grotesquement truquées que c’en était absurde.

Ce cataclysme était le résultat direct de la guerre en Syrie déclenchée par les démocraties occidentales, les pétromonarchies, Israël et la Turquie. Les juifs, ne perdant pas de vue leur projet génocidaire contre la race blanche, voulaient faire d’une pierre deux coups : mettre au pouvoir les islamistes en Syrie et pousser un maximum de mahométans en Europe.

Pour toutes ces raisons, les victoires électorales de l’Aube Dorée représentaient une menace mortelle pour les juifs en Grèce.

La finance internationale ne tarda pas à mobiliser en sous main ses fidèles commis aux basses œuvres : les antifas. Les mêmes qui aujourd’hui se déchaînent dans les rues américaines.

Ce que ces médias juifs cachent actuellement, c’est que les ultra-marxistes reçurent le feu vert du système pour tuer nos camarades d’Aube Dorée. Ces antifas à la botte de la finance juive se livrèrent à une débauche de sauvagerie difficilement descriptible ici.

Les locaux du parti étaient visés par des attentats terroristes et tous les militants menacés de mort pour simplement appartenir au seul parti grec déterminé à lutter contre l’esclavage financier.

Comme en 2013 où deux jeunes nationalistes furent assassinés par un terroriste rouge.

Par ailleurs, l’assassinat de jeunes militants d’Aube dorée devant le siège du parti n’a jamais entraîné de répression similaire contre les partis de gauche radicale en Grèce.

Grèce : deux hommes abattus devant un local d’Aube dorée

Bien évidemment, aucun procès à grand spectacle n’a jamais été organisé contre l’extrême-gauche pour cette campagne de terreur bolchevique.

Au contraire, elle était massée hier devant le tribunal d’Athènes pour acclamer l’écrasement des nationalistes par le gouvernement dirigé par la droite kosher affairiste qui administre la colonie grecque pour le compte de la finance juive.

Une nouvelle fois, les marxistes se sont affichés pour ce qu’ils sont : les larbins de la banque juive et de la bourgeoisie. Il en a toujours été ainsi, il en sera toujours ainsi.

Ils opèrent avec le plein appui de la droite kosher affairiste grecque qui partage avec elle le sans-frontiérisme cosmopolite qui sert de ciment au régime bancaire juif.

La Grèce a même le dernier parti stalinien d’Europe, le KKE.

Ces marxistes n’ont jamais gêné l’ordre établi.

Face à l’activisme d’Aube Dorée et à la déconfiture complète des partis juifs, le système comprit qu’il fallait orienter les masses grecques vers un leurre capable d’empêcher une révolution.

C’est là qu’on vit sortir un gauchiste de nulle part, l’antifa Tsipras. Avant de remporter les élections en 2015 face à la droite kosher affairiste à la tête d’une coalition marxiste dénommée « Syriza », Tsipras enchaînait les discours virulents contre la finance tout en restant très vague quant à l’identité raciale de ceux qui la contrôlent.

Encore moins quand Tsipras, le Mélenchon grec, était aux commandes, avec le soutien de Bruxelles.

Sitôt devenu premier ministre, Tsipras le marxiste pro-palestinien se transforma en quelques jours en défenseur radical de la suprématie juive au Proche-Orient. Il courtisa avec assiduité Bibi Netanyahou, lui assurant le soutien de la Grèce.

La boucle était bouclée. Les anciens partis avaient été totalement déconsidérés par la corruption et la dépression économique, mais les juifs avaient repris la main grâce à un parti marxiste qui, par son sans-frontiérisme, sa haine de la race blanche et sa soumission complète aux financiers juifs, ne pouvait pas sérieusement menacer les bases du pouvoir bancaire en Grèce.

Au moment où Syriza était progressivement porté au pouvoir par l’oligarchie occidentale et ses relais, commençait la campagne de terreur judiciaire contre l’unique parti d’opposition du pays à l’esclavage financier : Aube Dorée.

L’arrestation de ses parlementaires fut même filmée par les médias juifs pour mettre en scène sa toute puissance et terroriser le peuple grec.

Le problème, c’est qu’avec les élections qui approchent, la mafia au pouvoir qui a fait embastiller l’opposition nationaliste redoute de les voir faire un retour sur la scène politique.

Kyriakos Mitsotakis, le leader de cette mafia, sait que l’opposition nationaliste, si elle revient au parlement, dénoncera avec virulence chaque semaine l’enfermement illégal du héros Kassidiaris.

Le pantin des juifs Kyriakos Mitsotakis

Il a donc décidé de faire respecter plus parfaitement la démocratie en interdisant aux seuls hommes qui font trembler les juifs de se présenter.

La presse juive applaudit, jusqu’en France.

Comme la juive Marina Rafenberg, correspondante du journal juif Le Monde en Grèce.

Marina est très sensible à la suprématie juive en Grèce.

Or, quatre ans après leur éviction du Parlement, Kyriakos Mitsotakis veut à tout prix éviter le retour de néo-nazis à l’issue des élections générales prévues au printemps.

Avec cet amendement, les autorités vont empêcher qu’Ilias Kassidiaris ne place à la tête de son parti « un homme de paille tout en continuant de diriger de facto le parti », explique à l’AFP le spécialiste de droit constitutionnel Nikos Alivizatos.

Car malgré son incarcération, Ilias Kassidiaris a continué ses activités politiques. Depuis sa cellule de prison, il s’adresse régulièrement à ses sympathisants par des messages vocaux diffusés sur sa chaîne YouTube qui compte plus de 120 000 abonnés.

Ces finasseries pseudo légales puent le juif.

Le gouvernement peut interdire n’importe quel parti en affirmant qu’un opposant emprisonné le « dirige ». Il n’a aucune preuve à apporter, simplement une accusation à formuler. À ce compte, il pourrait même accuser un parti d’être « inspiré » par Kassidiaris, et en fait n’importe quel opposant qu’il a fait arbitrairement emprisonner.

Notez que le parti fondé par Kassidiaris plonge dans l’effroi le gouvernement d’occupation avec simplement 3% des intentions de votes.

Grèce : le parti d’extrême droite EgtP (*) atteint un record historique avec 3,9 % dans le dernier sondage Marc.

Le parti a été créé par l’ancien porte-parole d’Aube dorée (XA-*), Ilias Kasidiaris, qui est actuellement en prison pour avoir dirigé une organisation criminelle.

L’hypothèse de voir une réelle opposition disposer d’un seul représentant au parlement grec suffit à terrifier l’ordre juif.

Le symbole du parti, Leonidas, a de quoi inquiéter tout talmudiste qui se respecte.

Selon une enquête de l’institut Marc pour la chaîne de télévision Ant1, le parti « Les Hellènes » obtiendrait 3,4 % des suffrages aux prochaines élections, un score supérieur au seuil de 3 % fixé pour pouvoir envoyer des députés à la Vouli.

D’autres sondages placent ce parti juste en dessous de ce seuil mais en progression constante ces derniers mois.

Le Premier ministre a insisté sur « l’obligation morale de la démocratie de se prémunir contre ses ennemis ».

Celle-ci « ne peut pas légitimer, et certainement pas financer, des organisations qui sapent ouvertement son fonctionnement », a-t-il fait valoir, en assurant qu’il s’agissait d’une « disposition similaire à celle déjà en vigueur dans plusieurs pays européens ».

En Allemagne, à l’issue d’un long imbroglio juridique, les autorités ne sont pas parvenues à faire interdire le parti néo-nazi NPD qui n’a toutefois jamais réussi à entrer au Bundestag.

Cette inquiétude se comprend, si l’on met les choses en perspectives.

À 42 ans, Kassidiaris est jeune en politique et même avec une peine de 13 ans de prison, il en sortirait au plus tard à 50 ans, auréolé du statut de premier opposant du régime. Son autorité sur le nationalisme grec serait difficilement contestable.

Par ailleurs, la situation financière de la Grèce est désespérée et elle ne tient que par le maintien artificielle de sa dette grâce à la BCE de la juive Lagarde.

Sa dette est bien plus lourde qu’en 2012, lorsque le pays était menacé de défaut de paiement.

La prochaine crise emportera le régime et le peuple grec se détournera du système en place.

En pleine situation révolutionnaire, Kassidiaris peut en quelques mois devenir l’un des principaux leaders de la Grèce.

La gauche radicale en a conscience, à commencer par l’autre laquais des juifs Tsipras.

En Grèce, cette réforme ne rencontre pas que des soutiens. Pour Nikos Alivizatos, « la démocratie libérale doit tolérer ce genre de partis (fasciste) comme elle doit tolérer les partis et les groupuscules de gauche qui invoquent la dictature du prolétariat ».

La Gauche radicale Syriza a émis des réserves. « Je crains qu’au lieu d’isoler les néo-nazis, l’amendement ne leur donne un coup de fouet majeur », a jugé l’ancien Premier ministre Alexis Tsipras.

Le nom de Kassidiaris est associé à des diatribes antisémites, des outrances nationalistes, des ruades anti-système et des accès de violence.

Lors d’une émission télévisée en 2012, il avait giflé une députée communiste et jeté son verre d’eau à la figure d’une élue de Syriza.

Ilias Kassidiaris affiche ses sympathies pour le Troisième Reich jusque sur son corps : il s’est fait tatouer sur son bras gauche une croix gammée.

Kassidiaris a un destin.

L’Olympe ne restera pas impassible face à un héros qui entreprend la tâche de libérer la Grèce des talmudistes, ennemis de la roue solaire.

Lire : LA CROIX GAMMEE : ce qu’elle représente Adrien Arcand 1933 https://www.partinationalistechretien.com/?p=2793

Source : https://dempart.art/grece-credite-dun-retour-au-parlement-le-gouvernement-de-droite-a-la-botte-des-juifs-veut-interdire-au-parti-du-heros-emprisonne-kassidiaris-de-se-presenter-aux-elections/

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