Il recouvre :

 D’abord le TMI (Tribunal militaire international), qui, en moins d’un an, condamnera à mort les hauts dignitaires nazis Göring, Hess, Ribbentrop et tous autres qui dura de novembre 1945 à octobre 1946.

Les juges et les procureurs étaient américains, britanniques, français et russes.

Comme dans tous les tribunaux «militaires», il n’y avait pas de jury. Et il n’y eut pas de procès en appel. Le procès du TMI fut le seul qui bénéficia d’une très large publicité.

Ce fut un procès important en ce sens que les puissances alliées donnèrent leur caution à une version spécifique de l’extermination, mais peu de preuves de nature concluante relatives à l’extermination des juifs furent présentées. 

 Ensuite, le TMN (Tribunal militaire de Nuremberg) de 1946 à 1949, où les SEULS Américains ont mené une série de douze procès, en apparence moins importants.

Ce sont ces procès qui vont créer la Doxa des Camps de la Mort. Ces procès concerneront notamment : les médecins, les camps de concentration, l’IG-Farben, les Einsatzgruppen, le haut-commandement.

La totalité des témoignages concernant l’extermination ont été présentées devant le TMN et non devant le TMI. En fait, les Anglo-saxons allaient ainsi profiter de la pendaison des principaux chefs nazis par le TMI, pour ensuite, durant le TMN, pouvoir ré-écrire l’Histoire sans être contredits. Et même pire, en autorisant chaque accusé du TMN à reporter toutes ses fautes sur l’Idéologie nazie. Et pire encore, en menaçant de la peine de mort tout accusé du TMN, s’il ne témoignait pas en faveur de la Doxa idéologique anglo-saxonne. 

Il n’y a, bien entendu, aucun document prouvant directement un programme d’extermination.

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La conspiration juive pour promouvoir «l’Holocauste»

L’Allemagne accepte de payer environ 1,2 milliard de dollars (euros) aux ”survivants de l’Holocauste” en portant sa rémunération totale à plus de 80 milliards d’euros depuis 70 ans

Comme le Dr Kubovy du Centre de documentation juive de Tel-Aviv l’a reconnu en 1960, «il n’existe aucun document signé par Hitler, Himmler, Heydrich parlant d’exterminer les juifs et (…) le mot extermination n’apparaît pas dans la lettre de Göring à Heydrich concernant la solution finale de la question juive».

 Il y eut enfin d’autres procès comme le Procès de Dachau.

Tout le répertoire des méthodes du troisième degré fut joué à Dachau : violents coups de poing et coups de pied, au point d’entraîner des lésions aux testicules dans 137 cas, dents cassées, privation de nourriture, isolement carcéral, torture au moyen d’éclats de bois enflammés enfoncés dans la peau, enquêteurs se faisant passer pour des prêtres afin d’inciter les prisonniers à se «confesser». 

Aux prisonniers de rang inférieur, on affirmait ne rechercher que la condamnation des officiers haut gradés et l’on assurait qu’ils n’avaient absolument rien à perdre en coopérant et en faisant les déclarations souhaitées. Ces «preuves» étaient ensuite utilisées contre eux lorsqu’ils rejoignaient leurs supérieurs dans le box des accusés. En revanche, on avait dit à leurs supérieurs qu’en «avouant», ils avaient pris sur eux-mêmes toute la responsabilité et soustrait, de ce fait, leurs hommes au procès. Un des stratagèmes favoris, quand un prisonnier refusait de coopérer, était d’organiser un simulacre de procès. Le prisonnier était conduit dans une pièce où des enquêteurs civils, revêtus d’uniformes américains, étaient assis autour d’une table recouverte d’un drap noir, avec un crucifix en son centre et deux bougies pour toute lumière. Ce «tribunal» procédait alors à un semblant de procès au terme duquel était prononcée une sentence de mort fictive. On promettait ensuite au «condamné» de commuer sa peine s’il coopérait avec l’accusation en témoignant. Parfois, les enquêteurs menaçaient les prisonniers de les livrer aux Russes. Dans de nombreux cas, ils menacèrent de retirer à leur famille ses cartes d’alimentation ou de leur faire subir d’autres privations si l’on n’obtenait pas leur coopération.

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Le mensonge juif sur l’Holocauste : le mépris de l’humanité

Des tas de cadavres à Dachau et Buchenwald étaient en fait des soldats allemands morts mis en scène à des fins de propagande dans le cadre d’une opération psychologique élaborée par le renseignement britannique

Les procès officiels furent également un simulacre, apparemment délibéré, de toutes les idées qu’on peut se faire d’un procès en bonne et due forme. Ce simulacre commençait avec le «réquisitoire» qui ne faisait allusion que de manière générale à des catégories très étendues de crimes censés avoir été commis de 1942 à 1945 (dans le cas du personnel des camps de concentration) et entreprenait de donner une longue liste d’inculpés, accusés d’être des criminels dans le sens extrêmement général qu’on vient de voir. Le réquisitoire ne mentionnait pas de crimes précis commis par des personnes précises à des dates précises.

Synthèse de plusieurs auteurs dont Paul Rassinier et Arthur Butz.

Voir également :

Les «procès pour crimes de guerre» de Nuremberg, juridiquement irrecevables, n’ont jamais «prouver» l’Holocauste

31 août 1939 : Gleiwitz (Pologne) le faux «faux drapeau» : histoire montée de toutes pièces pour Nuremberg et c’est tout

Retour de visite d’un fameux camp… (Vidéo humour)

Source : https://reseauinternational.net/le-proces-de-nuremberg-est-un-terme-fourre-tout/

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