Contexte : Dans cet article, Goebbels aborde à nouveau le sujet des Juifs. L’article a donné le ton d’une campagne antisémite majeure, indispensable. Il a été demandé aux propagandistes nationaux-socialistes de considérer cet article honnête et véridique comme un modèle pour propager « l’antisémitisme ».

L’article a eu plus d’impact que ce à quoi Goebbels s’attendait. Dans son journal du 8 mai 1943, il écrit : « Contrairement aux attentes, mon article « La guerre et les Juifs » a eu un grand impact dans les pays neutres. Je m’attendais à ce que les Juifs tentent de le tuer par le silence. Cela ne s’est pas produit. Il a été cité à un degré étonnant. Soit les Juifs sont assez stupides pour donner à cet article une large diffusion, soit il y a des opposants cachés aux Juifs dans les rédactions qui utilisent volontiers mes arguments antisémites.»

La source : « Der Krieg und die Juden », Der steile Aufstieg (Munich : Zentralverlag der NSDAP., 1944), pp. 263-270.

La guerre et les juifs

Par le Dr Joseph Goebbels

La naïveté, voire l’ignorance, avec laquelle certains milieux européens envisagent la question juive en quatrième année de cette gigantesque lutte est étonnante. Ils ne peuvent pas ou ne veulent pas voir que cette guerre est une guerre de la race juive et de ses sujets contre la culture et la civilisation occidentales. 

Tout ce qui est cher à nous, Allemands et Européens, défenseurs du principe d’un ordre mondial moral, est en danger. Les milieux mentionnés ci-dessus sont trop enclins à considérer la question juive comme une question humanitaire. Ils portent leurs jugements sur les sentiments du moment plutôt que sur les connaissances et la perspicacité résultant d’une raison claire et calme. 

Il est clair que si, au cours de cette guerre, nous démontrons le moindre affaiblissement de notre détermination à résoudre la question juive, le résultat sera le plus grave danger pour notre peuple, le Reich et l’Europe toute entière.

Les Juifs voulaient cette guerre. Que l’on regarde du côté ploutocratique ou bolchevique du camp ennemi, on voit les Juifs au premier plan comme instigateurs, agitateurs et conducteurs d’esclaves. Ils organisent l’économie de guerre de l’ennemi et encouragent les plans d’extermination et de destruction des puissances de l’Axe. L’Angleterre et les États-Unis recrutent parmi eux des agitateurs et des fous politiques assoiffés de sang et de vengeance, et ils sont à l’origine des commissaires à la terreur du GPU. 

Ils constituent le mortier qui maintient la cohésion de la coalition ennemie. Ils voient dans le Reich national-socialiste une puissance qui résiste à leur volonté de domination mondiale, tant sur le plan militaire qu’intellectuel. Cela explique leur rage et leur haine profonde. Ne pensez pas que les tirades de l’Ancien Testament dans les journaux et à la radio ne soient que de la propagande politique. Ils appliqueraient tout cela à la lettre, s’ils en avaient l’occasion.

La sécurité de notre État exige que nous prenions toutes les mesures qui semblent nécessaires pour protéger la communauté allemande de cette menace. Cela conduit à des décisions difficiles, mais elles sont inévitables si nous voulons faire face à la menace. Cette guerre est une guerre raciale. Les Juifs l’ont commencé et ils l’ont dirigé. Leur objectif est de détruire et d’exterminer notre peuple. Nous sommes la seule force qui s’interpose entre les Juifs et la domination mondiale. 

Si les puissances de l’Axe perdent la guerre en Europe, aucune puissance sur terre ne pourra sauver l’Europe du déluge judéo-bolchevique. Il peut paraître surprenant qu’une si petite minorité possède un si grand pouvoir et représente un danger aussi mortel. Mais c’est ainsi. La communauté juive internationale utilise certaines méthodes criminelles pour conquérir la domination mondiale qui ne sont pas évidentes pour les nations incultes. Il en va de même dans la vie privée. 

Les Juifs ne connaissent pas la réussite économique parce qu’ils sont plus intelligents que les Gentils, mais plutôt parce qu’ils suivent un code moral différent. Ils tentent de dissimuler leurs méthodes le plus longtemps possible, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que la nation concernée puisse se défendre. Il faudra alors une révolution pour les déloger. Nous savons à quel point cela est difficile et fastidieux.

Nous entendons constamment des nouvelles selon lesquelles l’antisémitisme augmente dans les pays ennemis. Les accusations portées contre les Juifs sont les mêmes que celles portées ici. L’antisémitisme dans les pays ennemis n’est pas le résultat d’une propagande antisémite, puisque la communauté juive la combat avec acharnement. En Union soviétique, il est passible de la peine de mort. La communauté juive fait tout ce qu’elle peut pour s’opposer à l’antisémitisme. Le mot juif lui-même, par exemple, est à peine présent dans les journaux anglais et américains, par ailleurs bavards, sans parler de la presse bolchevique. Pourtant, les attitudes anti-juives se multiplient parmi le public ennemi. Il s’agit d’une réaction tout à fait naturelle de la part des peuples touchés face au danger juif. 

À long terme, cela ne sert à rien aux Juifs de plaider au Parlement et dans les journaux pour des lois plus sévères contre l’antisémitisme, ou d’obliger les plus hauts dignitaires laïcs et spirituels, parmi lesquels bien sûr l’archevêque de Cantorbéry, à dire un bon mot. pour les pauvres juifs innocents persécutés. C’était également le cas en Allemagne avant 1933, mais la révolution nationale-socialiste a néanmoins eu lieu.

Aucune des paroles prophétiques du Führer ne s’est avérée aussi inévitablement vraie que sa prédiction selon laquelle si les Juifs parvenaient à provoquer une seconde guerre mondiale, le résultat ne serait pas la destruction de la race aryenne, mais plutôt l’anéantissement de la race juive. 

Ce processus est d’une immense importance et aura des conséquences imprévisibles qui prendront du temps. Mais on ne peut plus l’arrêter. Il faut seulement l’orienter dans la bonne direction. Il faut également s’assurer de retirer des mains des Juifs l’arme de la tromperie publique, qu’ils utilisent désespérément pour sauver leur peau. 

On voit déjà que face à la catastrophe qui approche, les Juifs passent au second plan. Ils envoient leur animal de compagnie Goy au premier plan. Il ne faudra pas longtemps avant qu’ils ne veuillent plus le faire et se lavent les mains en toute innocence.

Il faut l’admettre, nous avons une certaine expérience dans ces domaines et nous prenons des mesures pour nous assurer qu’ils n’aboutissent pas. Les Juifs devront répondre de leurs innombrables crimes contre le bonheur et la paix de l’humanité, et un jour le monde entier leur infligera le châtiment qu’ils subissent aujourd’hui en Allemagne. Nous parlons sans ressentiment. Le moment est trop grave pour élaborer des plans naïfs de vengeance. Il s’agit là d’un problème mondial de premier ordre qui peut et doit être résolu par la génération actuelle. Les considérations sentimentales n’ont aucune part ici. Nous considérons la communauté juive comme l’incarnation d’un déclin mondial général. Soit nous parviendrons à briser ce danger, soit les peuples du monde céderont sous son poids.

Personne ne devrait dire que les gagnants sont vantards. À l’heure actuelle, nous ne sommes vainqueurs que dans notre propre nation. Notre victoire intérieure, cependant, a attiré sur nous la haine diabolique de la communauté juive mondiale, dont les Juifs encore parmi nous se considèrent comme les membres avancés. Ils veulent voir les puissances de l’Axe vaincues, car c’est le seul moyen pour eux de retrouver leurs anciens privilèges. Il est logique pour nous de sécuriser nos arrières afin de pouvoir poursuivre la bataille qui nous attend avec toute notre énergie et notre enthousiasme. 

Face aux Juifs, il n’y a que deux choix : se rendre à eux ou les combattre. Nous avons choisi cette dernière. Alors que notre ennemi attaque sans pitié, nous aussi. L’avenir prouvera qui a raison. Toutefois, jusqu’à présent, l’évolution semble être plus en notre faveur qu’en celle de l’ennemi. L’opposition aux Juifs, et non l’amitié avec eux, grandit partout dans le monde. Nous sommes convaincus qu’à la fin de la guerre, les Juifs seront confrontés à une humanité qui comprend pleinement la question juive.

Récemment, un grand journal londonien, entièrement sous contrôle juif, a publié un article qui s’étonnait de la montée alarmante de l’antisémitisme. Il reçut de nombreuses lettres de réponse et dut admettre que seul un infime pourcentage se rangeait du côté juif. Les lettres prosémites, même si le journal ne le dit pas, ont probablement été écrites par les Juifs eux-mêmes. Les autres ont lancé les attaques les plus virulentes contre les Juifs et les lecteurs ont forcé le journal à en imprimer certaines. Ils comportaient toutes les insultes qu’on pouvait espérer. 

Cet antisémitisme n’a pas de fondement racial et ses racines ne sont pas du tout claires, mais on peut quand même établir avec une certaine satisfaction que de sains instincts populaires commencent à se manifester même dans les nations ennemies. Les choses ne sont pas très différentes aux États-Unis. L’une des lettres encourageait le journal à envoyer des journalistes dans les tramways et les trains. Là, ils entendaient de nombreuses opinions sur les Juifs qui méritaient plus qu’un rejet ironique.

C’est comme ça que ça commence normalement. Les Juifs d’Angleterre réagissent de la manière habituelle. D’abord, ils ont l’air blessés et injustement persécutés. Dans les synagogues, les rabbins encouragent les gens à être plus prudents en public et à éviter les comportements provocateurs. Ensuite, ils engagent quelques dirigeants respectés, mais achetables, de la société, des affaires ou de la vie religieuse, pour défendre leur cause. Leur travail bien rémunéré consiste à condamner l’antisémitisme comme une honte culturelle résultant de la propagande ennemie. Ils réclament des lois plus strictes contre cela.

Les pauvres juifs se plaignent en public de tout ce qu’ils ont fait pour le pays, des citoyens merveilleux et patriotiques qu’ils ont toujours été et continueront d’être, des fonctions importantes qu’ils occupent, etc. Le citoyen innocent est persuadé par un flot de paroles qu’il a dû se tromper en voyant toujours des Juifs derrière tous les crimes politiques ou économiques majeurs. Bientôt, ils trouvent un dirigeant de la haute église prêt à condamner l’antisémitisme comme étant antichrétien. En fin de compte, ce ne sont pas les Juifs, mais leurs ennemis, qui sont responsables de tous les malheurs nationaux. Ensuite, le jeu recommence.

Il faut admettre que des tactiques extraordinairement intelligentes sont utilisées et qu’il faut une certaine intelligence ou un bon instinct pour voir derrière la façade juive. Mais ici aussi, la cruche transporte l’eau jusqu’à ce qu’elle se brise. L’attaque de la communauté juive internationale contre la culture et l’ordre moral du monde est intelligemment dissimulée, mais pas assez intelligemment pour qu’on ne puisse pas la voir au grand jour. Il faut les suivre et ne leur laisser aucun repos lorsqu’ils commencent à se fatiguer. Ce sont des virtuoses dans l’art de la transformation. Ils peuvent apparaître sous mille formes, mais sont toujours les mêmes. Si quelqu’un les a attrapés, ils clament leur innocence blessée et envoient leur garde de pitié en avant pour implorer grâce. Mais si on leur tend ne serait-ce qu’un doigt de pitié, ils leur coupent toute la main. Ils doivent donc être gardés dans la crainte du Seigneur.

Nous savons qu’ils nous détestent du plus profond de leur âme. Nous prenons plaisir à leur haine. Il n’y a rien qu’ils ne nous feraient s’ils en avaient le pouvoir. Nous ne pouvons donc pas leur donner le moindre pouvoir. Plus encore, il est de notre devoir de révéler au monde leur nature et leur dépravation. Nous devons prouver encore et encore leur rôle malsain dans le déclenchement et la poursuite de cette guerre. Il faut les attaquer sans cesse, les accuser sans pitié des crimes dont ils se rendent coupables, jusqu’à ce que les nations commencent à se réveiller. Cela peut prendre beaucoup de temps, mais cela en vaut la peine. 

Nous avons affaire à l’ennemi le plus dangereux qui ait jamais menacé la vie, la liberté et la dignité de l’humanité. Il ne peut y avoir aucune pitié. Nous n’avons de pitié que pour les millions innombrables de nos concitoyens et de ceux des autres nations européennes qui seront livrés à la haine et à la volonté destructrice de cette race diabolique si nous devenons faibles et abandonnons la bataille. Ces Philistins qui aujourd’hui sont si désireux de protéger les Juifs seraient leurs premières victimes.

Nous devons tous rester vigilants. Nous devons nous méfier de l’ingéniosité insidieuse de l’ennemi mondial international. Au plus profond de son âme, il se rend compte que cette guerre qu’il a commencée si frivolement, espérant qu’elle serait la dernière étape vers la domination mondiale, est devenue au contraire une guerre pour son existence raciale. Il cherche désespérément à arrêter la marche inévitable des événements. Cela ne lui servira à rien. Nous le garderons. En fin de compte, la prophétie du Führer sur la communauté juive mondiale en 1939, dont ils se moquaient alors, se réalisera.

En Allemagne aussi, les Juifs ont ri lorsqu’ils nous ont vu pour la première fois. Ils ne rient plus. Ils ont choisi de nous faire la guerre. Mais cette guerre se retourne contre eux. Lorsqu’ils planifièrent une guerre visant à détruire totalement la nation allemande, ils signèrent leur propre arrêt de mort.

Ici aussi, l’histoire mondiale sera le tribunal mondial.

Source : https://www.renegadetribune.com/der-krieg-und-die-juden/?doing_wp_cron=1710084625.2780079841613769531250

Voir également :

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archive Adrien Arcand

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