La Sainte Croisade d’Hitler contre le bolchévisme

Les juifs et les révolutions

…Un système électoral multipartite est le seul système de gouvernement qui peut être complètement corrompu et contrôlé depuis les coulisses, cette corruption et ce contrôle étant institutionnalisés à perpétuité. Il est vrai que tout type de gouvernement peut être corrompu, mais le système « démocratique » multipartite a été créé pour être corruptible dans tous ses éléments constitutifs et là où chaque politicien individuel peut être acheté, l’ensemble de la population étant exploitée, et ce processus étant maintenant développé avec un art raffiné. Au début, les chefs de parti mirent au point une machine, chacun pour imposer ses vues au peuple, mais rapidement « la machine du parti » a pris en charge le processus et tout contrôle a été assumé par ceux qui étaient à la tête de cette machine. Le résultat a été que ni les politiciens ni le peuple n’ont aujourd’hui la moindre influence sur le processus qui est contrôlé en arrière-plan pour tout, du financement à la politique.

C’est la raison pour laquelle les juifs, par leur contrôle des médias et de l’édition, ont promulgué sans cesse la « démocratie » comme une religion si sainte que le simple fait de l’examiner ou de la remettre en question constitue un blasphème de premier ordre. Le succès est tel qu’il n’existe aujourd’hui que très peu de « démocraties » qui ne soient pas effectivement contrôlées par les juifs en arrière-plan –  ce que nous appelons notre « État profond ». Les États-Unis sont largement connus en tant qu’État juif, mais le Canada, l’Allemagne, la Suède, l’Ukraine, les Pays-Bas, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Australie et tous les autres ne valent pas mieux. Même le Japon est en fait une colonie juive.

Selon les nouvelles preuves historiques, les pénuries alimentaires en France à l’époque furent intentionnellement créées pour déclencher la révolution. On prétend, et cela semble substantiel, que des céréales et d’autres stocks alimentaires avaient été achetés par ceux qui avaient de l’argent et retirés du marché – stockés et cachés – pour conduire délibérément la population au bord de la famine et favoriser ainsi une révolte généralisée. Un groupe de banquiers juifs acheta et stocka la totalité de la récolte de céréales de la France et refusa de la mettre sur le marché à n’importe quel prix. Le peuple n’avait littéralement pas de pain à manger. D’où notre révolution. Comme Henry Ford l’écrivait dans un de ses articles :

« Pendant cinq générations, le monde a vécu dans une fausse lumière censée être apportée par la Révolution française. On sait maintenant que cette révolution n’était pas la révolution du peuple français, mais un ensemble de troubles fomentés par une minorité qui cherchait à imposer au peuple français le plan même que l’on envisage aujourd’hui. …

L’incitation des banquiers à des guerres de clarification en Amérique inclut la guerre civile américaine qui, contrairement à la croyance populaire, ne portait pas sur l’esclavage mais sur le contrôle politique et financier des États-Unis. Il existe des preuves plus que suffisantes que les graves divisions au sein du pays qui ont conduit à la guerre civile américaine ont été délibérément infligées aux États-Unis par ces mêmes banquiers, qui mettaient ainsi à exécution l’avertissement qu’ils avaient lancé plus de dix ans auparavant, selon lequel la désobéissance serait punie par l’organisation et l’imposition d’une guerre civile.

Tous les textes d’histoire américains attribuent la guerre civile aux conflits liés à l’esclavage, ce qui constitue l’un des plus grands mensonges et l’un des plus grands travestissements historiques existant dans n’importe quelle nation.

Quoi qu’il en soit, les banquiers réussirent à inciter à la violence et la guerre civile fut déclenchée aux États-Unis, les banquiers de Londres soutenant l’Union et les banquiers français soutenant le Sud. Tout le monde fit fortune et, en 1861, les États-Unis avaient une dette de 100 millions de dollars. À cette époque, Abraham Lincolndevint  le nouveau président et snoba les banquiers en émettant une monnaie du gouvernement américain, connue sous le nom de Greenbacks, pour payer les factures de l’armée de l’Union sans s’endetter auprès des Rothschild.

À l’époque, le Times of London, contrôlé par les Rothschild, écrivait : « Si cette politique malicieuse, qui avait ses origines dans la République nord-américaine, devait s’implanter jusqu’à une fixation, alors ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il remboursera ses dettes et ne sera plus endetté. Il aura tout l’argent nécessaire pour faire son commerce. Il connaîtra une prospérité sans précédent dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Les cerveaux et les richesses de tous les pays iront en Amérique du Nord. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toutes les monarchies du monde. »

Hervé Ryssen : Les juifs , le communisme et la révolution russe de 1917

https://www.youtube.com/watch?v=nHuNr6V1tFg

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