Alphonse de Châteaubriant, La Gerbe des forces (Pages 232-233)

« Je détache encore ici de l’ensemble d’une intéressante plaidoirie sur ce sujet, une leçon tirée de la vieille science du grand XIIe siècle, ce que j’appellerai la leçon des verrières de Notre-Dame de Chartres.


Au-dessous des deux grandes rosaces dont s’éclairent les extrémités du transept de la cathédrale, dans une suite de hautes verrières éclatantes, sont alignées des figures d’apôtres, portant tous sur leurs épaules un des prophètes de l’Ancien Testament. Le visage de chacun de ces prophètes, par la couleur indubitablement donnée à sa peau, représente dans une lumière éternelle chacune des diverses grandes races qui se sont partagé la terre. Le symbole, naturellement, vaut aujourd’hui ce qu’il a valu hier. Aujourd’hui comme hier, les races juxtaposées, serties les unes près des autres dans leur cadre immuable, ne se mélangent pas, ne doivent pas se mélanger.


Par la leçon de la verrière, c’est le non-mélange qui est fondamental. »

Cardinal Faulhaber, Judentum, Christentum, Germanentum


« Du point de vue de l’Église, une étude et une culture honnêtes de la race ne soulèvent point d’objection. De même, rien ne saurait faire réprouver un effort qui tend à conserver aussi pure que possible l’originalité d’un peuple et à développer le sens de la communauté sociale en exaltant la communauté de sang. […] La race et le christianisme ne sauraient s’opposer car ils sont d’ordre différents. La race est de l’ordre naturel, le christianisme est Révélation, c’est-à-dire d’un ordre surnaturel : la race est l’union avec la nation, le christianisme est l’union avec Dieu. La race est union et distinction nationale, le christianisme est universel message de salut à toutes les nations. […] Le Christ a établi une différence aussi rigoureuse entre ce qui a été révélé par la chair et le sang et ce qui a été révélé par le Père du Ciel (Matthieu XVI, 17). Il n’est donc pas interdit au chrétien de défendre la race dont il est issu ainsi que les droits de celle-ci, lorsqu’il respecte les conditions que nous avons énoncées tout à l’heure. »

Bischof Faulhaber als Feldpropst (1917)

Pape Pie XI, Ubi arcano (Encyclique)


« Cet amour même de sa patrie et de sa race, source puissante de multiples vertus et d’actes d’héroïsme lorsqu’il est réglé par la loi chrétienne. »

Alphonse de Châteaubriant, La Gerbe des forces


« Le principe de la race n’est pas un principe élevé contre l’étranger, mais une volonté d’enracinement dans le sang et le sol, source de la plus grande communauté solidaire, et par là le gage de la prospérité future de chacun. »

« On a dit que chaque race sur cette terre est une idée de Dieu : Pourquoi mettrions-nous fin à cette pure séparation de « sang et sang », faisant de l’idée de Dieu un foyer de dissensions, un mélange grimaçant, un combat d’éléments ! […]
Le principe de la race n’est pas un principe élevé contre l’étranger, mais une volonté d’en- racinement dans le sang et le sol, source de la plus grande communauté solidaire, et par là le gage de la prospérité future de chacun. »

Charles de Foucauld, Lettre à René Bazin (29 juillet 1916)


« Je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure. »

basilique Sacré-Coeur – Paris : ”Oh mon Seigneur Jésus, votre présence éclaire nos âmes et verse une lumière bénie”


Livre de Tobie IV, 12-13


« Avant tout, veille à prendre une femme de ton propre peuple. N’épouse pas une étrangère, une femme qui ne soit pas de la tribu de ton père. »

Voir également : Un examen plus approfondi d’Exode 20:14 – «Tu ne commettras pas d’adultère» ou «Tu n’adultèreras pas ton sang» ?

Pape Pie XI, Mit Brennender Sorge (Encyclique)


« Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable, quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique, celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi. »

Voir également : Deus Vult répond à Pierre Hillard au sujet de ses délires mensongers à propos d’un soi-disant Hitler anti-chrétien

Alexis Carrel, Réflexions sur la conduite de la vie


« L’homme doit régler ses actes d’après la structure des choses qui l’environnent, et d’après celle de son corps et de son âme. Pour commander à la nature, il faut lui obéir. Le prix à payer pour la réussite de notre existence individuelle, sociale et raciale est une humble soumission aux modes d’être immuables des choses. »

Archevêque Conrad Gröber, Manuel de questions religieuses contemporaines


« Chaque peuple est en lui-même responsable de la réussite de son existence, et l’apport d’un sang totalement étranger représentera toujours un risque pour une nation qui a prouvé sa valeur historique. C’est pourquoi on ne peut refuser à aucun peuple le droit de maintenir impollué son origine raciale, et de prendre des garanties dans ce but. La religion chrétienne demande simplement que les moyens utilisés ne pèchent pas contre la loi morale et la justice naturelle. »

Abbé Celier, Un regard chrétien sur l’immigration


« Une nation n’est pas un agrégat d’individus anonymes, standardisés et interchangeables avec n’importe quels autres hommes de n’importe quelle autre nation. Une nation possède une identité ethnique et culturelle, qui est son bien, sa propriété, et qu’elle a le droit et même le devoir de protéger et de maintenir. »

Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines (Volume I, Chapitre IV, Page 24)


« Je pense donc que le mot dégénéré, s’appliquant à un peuple, doit signifier et signifie que ce peuple n’a plus la valeur intrinsèque qu’autrefois il possédait, parce qu’il n’a plus dans ses veines le même sang, dont des alliages successifs ont graduellement modifié la valeur ; autrement dit, qu’avec le même nom, il n’a pas conservé la même race que ses fondateurs ; enfin, que l’homme de la décadence, celui qu’on appelle l’homme dégénéré, est un produit différent, au point de vue ethnique, du héros des grandes époques. Je veux bien qu’il possède quelque chose de son essence ; mais, plus il dégénère, plus ce quelque chose s’atténue. Les éléments hétérogènes qui prédominent désormais en lui composent une nationalité toute nouvelle et bien malencontreuse dans son originalité ; il n’appartient à ceux qu’il dit encore être ses pères, qu’en ligne très collatérale. Il mourra définitivement, et sa civilisation avec lui, le jour où l’élément ethnique primordial se trouvera tellement subdivisé et noyé dans des apports de races étrangères, que la virtualité de cet élément n’exercera plus désormais d’action suffisante. Elle ne disparaîtra pas, sans doute, d’une manière absolue ; mais, dans la pratique, elle sera tellement combattue, tellement affaiblie, que sa force deviendra de moins en moins sensible, et c’est à ce moment que la dégénération pourra être considérée comme complète, et que tous ses effets apparaîtront. »

Corneliu Zelea Codreanu, La Garde de Fer


« L’individu dans le cadre et au service de sa race, la race dans le cadre et au service de Dieu et des lois de la divinité. Ceux qui comprendront ces choses gagneront même s’ils sont seuls. »

Jacques-Bénigne Bossuet, Discours sur l’histoire universelle


« Rome, épuisée par tant de guerres civiles et étrangères, se fit tant de nouveaux citoyens ou par brigue ou par raison qu’à peine pouvait-elle se reconnaître elle-même parmi tant d’étrangers qu’elle avait naturalisés. Le Sénat se remplissait de Barbares, le sang romain se mêlait, l’amour de la patrie, par lequel Rome s’était élevée au-dessus de tous les peuples du monde, n’était pas naturel à ces citoyens venus du dehors, et les autres se gâtèrent par le mélange. Les partialités se multipliaient avec cette prodigieuse multiplicité de citoyens nouveaux ; et les esprits turbulents y trouvaient de nouveaux moyens de brouiller et d’entreprendre. »

Bibliographie

– Dr Claude Nancy, Les races humaines : leurs origines, leurs différences, leurs migrations, leurs mélanges
– Charles Letourneau, La psychologie ethnique (Lien)
– Julius Evola, Synthèse de doctrine de la race
– Henry Garrett, QI et race


Source : https://breviairedecombat.wordpress.com/racialisme/

 De part et d’autre deux groupes de quatre personnages montés deux à deux. Les quatre grands prophètes de l’Ancien testament portent sur leurs épaules les quatre évangélistes. Cette représentation traduit la continuité entre les deux testaments. Il y a de gauche vers la droite : Jérémie portant saint LucIsaïe portant saint MatthieuÉzéchiel portant saint JeanDaniel portant saint Marc. Ces prophètes et les évangélistes ont annoncé le royaume de Dieu qui est représenté dans la rose placée au-dessus. Cette représentation des évangélistes montés sur les épaules des prophètes reprend l’image fameuse du maître et chancelier de l’école de Chartres, Bernard de Chartres, telle qu’elle nous a été transmise par Jean de Salisbury dans son Metalogicon : « Nous sommes comme des nains juchés sur des épaules de géants… »

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vitraux_de_Chartres

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