Le nombre de ménages prestataires de l’aide sociale au Québec a enregistré cette année sa plus forte augmentation en plus de 25 ans. Une hausse en grande partie provoquée par l’afflux record de demandeurs d’asile (c’est-à-dire d’immigrants illégaux. Note PNC), dans la province et aux délais d’Ottawa pour leur délivrer des permis de travail (Puisqu’ils sont illégaux et sans statut. Note PNC).

En un an, le nombre de demandeurs d’asile (C’est-à-dire de clandestins sans statuts ou sans ”papiers”. Note PNC.) prestataires de l’aide sociale au Québec est passé de 17 544 à 40 142. 

Le nombre de ménages prestataires de l’aide sociale au Québec a enregistré cette année sa plus forte augmentation en plus de 25 ans. Une hausse en grande partie provoquée par l’afflux record de demandeurs d’asile (c’est-à-dire d’immigrants illégaux. Note PNC), dans la province et aux délais d’Ottawa pour leur délivrer des permis de travail (Puisqu’ils sont illégaux et sans statut. Note PNC).

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Selon les données les plus récentes du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS), depuis le début de l’année 2023, le nombre moyen de ménages bénéficiant de l’aide financière de dernier recours au Québec s’élève à 254 621.

C’est 14 157 ménages de plus que la moyenne observée au cours de l’année 2022. Cela représente une hausse annuelle de 5,9 %. (14 000 ménages bénéficiant de l’assistance sociale de plus pour venir nous, Canadiens français contribuables, nous enrichir… Note PNC.)

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Les données du MESS sur le nombre moyen de ménages remontent à l’année 1998. Au cours de cette période, jamais une hausse annuelle aussi élevée n’a été observée.

Plus de 40 000 demandeurs

Entre les mois de juin 2022 et juin 2023, le nombre de demandeurs d’asile (d’immigrant illégaux clandestins. Note PNC) prestataires de l’assistance sociale est passé de 17 544 à 40 142, un sommet historique.

Au cours de l’année 2022, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale a constaté une hausse importante du nombre de demandeurs d’asile et des ressortissants ukrainiens qui ont eu recours aux programmes d’assistance sociale du Québec afin de s’établir au Canada, indique le MESS dans un courriel à Radio-Canada.

https://cdn-contenu.quebec.ca/cdn-contenu/adm/min/emploi-solidarite-sociale/publications-adm/documents-administratifs/assistance_soc/STAT_clientele_prog-aide-sociale_juin2023_MESS.pdf

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Cet afflux de réfugiés (victimes des guerres kosher appuyées par nos État non moins kosher et soumis aux politiques mondialistes y compris sur le théâtre ukrainien. Note PNC) au pays entraîne des dépenses supplémentaires pour le gouvernement du Québec. Uniquement en prestations du Programme d’aide sociale, qui s’élèvent en moyenne à 850 $ par mois, la prise en charge des demandeurs d’asile a coûté environ 35 millions de dollars en juin.

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Au Canada, l’accueil des demandeurs d’asile relève d’abord de la responsabilité du gouvernement fédéral. C’est la raison pour laquelle depuis 2017, Québec demande à Ottawa le remboursement de l’ensemble des dépenses encourues pour leur prise en charge. (Que ce soit ”Québec” ou ”Ottawa” qui soit responsable ça ne change rien qu’au final ce sont toujours les contribuables canadiens qui payent la note. Note PNC)

La fermeture du chemin Roxham (photo) au printemps n’a pas mis fin à l’afflux de demandeurs d’asile au Québec (n’a pas mis fin à l’invasion illégale du Québec. Note PNC)

Entre 2017 et 2020, le Québec a obtenu des remboursements totalisant 374 millions de dollars. Pour les années 2021 et 2022, Ottawa a remis à la province la somme de 66,9 millions de dollars dans le cadre du Programme d’aide au logement provisoire.

Le Québec réclame cependant au fédéral le remboursement de l’ensemble des dépenses liées à l’accueil des demandeurs d’asile sur son territoire pour les années 2021 et 2022. Des discussions sont en cours avec le gouvernement fédéral à ce sujet, précise le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI).

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Délais

Les délais observés du gouvernement fédéral pour l’émission des permis de travail aux demandeurs d’asile ont par ailleurs eu pour effet d’augmenter la durée de l’aide sociale attribuée, contribuant du même coup à la hausse du nombre de prestataires.

Le MIFI affirme avoir constaté une amélioration depuis le lancement par le gouvernement fédéral, du projet pilote One Touch  en novembre 2022 et l’adoption d’une politique d’intérêt public temporaire visant à réduire les délais de traitement des demandes d’asile.

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Le gouvernement du Québec suit néanmoins ce dossier de près et demande au gouvernement fédéral de poursuivre ses efforts afin de réduire encore davantage les délais, précise le MIFI, ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration. (L’idée c’est de réduire les délais afin d’accorder des statuts au minima de résidents permanents à ces envahisseurs illégaux si ce n’est carrément la citoyenneté dans les plus brefs délais. Note PNC)

Le gouvernement du Québec a fait plusieurs représentations auprès d’Ottawa pour accélérer le traitement des demandes de permis de travail à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.

L’augmentation importante du nombre de demandeurs d’asile (de clandestins illégaux. Note PNC) qui s’installent au Québec a des répercussions sur les organismes leur venant en aide.

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Dix fois plus de dossiers

Le Centre multiethnique de Québec, un organisme situé dans le quartier Saint-Roch qui a notamment pour mandat d’accueillir les demandeurs d’asile, a vu leur nombre exploser depuis le début de la pandémie. (Depuis cette non moins autre escroquerie, dite ”pandémique”, nul besoin de la préciser. Note PNC)

Je vous dirais qu’en 2019, on avait des cibles de demandeurs d’asile de 50 personnes. Aujourd’hui, on a plus de 500 dans notre mandat au Centre multiethnique, 500 personnes qu’on aide à l’accueil et à l’installation et pour [cette clientèle-là], on a dépassé nos cibles cette année”, explique en entrevue à Radio-Canada la directrice générale de l’organisme, Natacha Battisti.

Elle mentionne que la grande majorité des demandeurs d’asile qui arrivent à Québec sont originaires d’Amérique du Sud. (Donc rien à voir avec le dossier ukrainien, ce qui confirme une fois de plus le caractère en plus illégal au regard même de nos actuelles loi de ce Grand Remplacement. Note PNC). Si leur recours à l’aide sociale est un passage obligé pour subvenir à leurs besoins dans l’attente d’un permis de travail, ils ne demandent pas mieux qu’à rejoindre la population active le plus rapidement possible, insiste Mme Battisti. (Sommes nous tous obligé de la croire sur parole ? Note PNC).

Natacha Battisti (directrice générale du Centre multiethnique de Québec et qui possède le don de lire dans la pensée des clandestins. Note PNC)

La coordonnatrice au Service d’accueil et d’installation des réfugiés pris en charge par l’État et des demandeurs d’asile, Sarah-Marie Larivière, abonde dans le même sens.

Je pense que, quand les demandeurs d’asile arrivent ici, leur envie, ce n’est pas de dire je vais être sur l’aide sociale […] Ils ont envie d’intégrer le marché du travail. Ils ont envie aussi d’améliorer leurs conditions de vie, leur qualité de vie qu’ils essaient un peu d’avoir en arrivant ici parce qu’ils n’en ont pas eu nécessairement dans le passé. Et ce n’est pas sur l’aide sociale qu’ils sont en mesure de faire ça”, fait valoir Mme Larivière. (Au moins cette coordonnatrice à l’honnêteté de préciser ”qu’elle pense”… Ce qui présume qu’elle n’est pas 100 % certaine… Note PNC)

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Soutien minimal

Elle ajoute que les demandeurs d’asile n’ont droit qu’à la prestation de base de 850 $ par mois. Ils ne sont pas admissibles aux allocations familiales ni aux programmes d’aide gouvernementaux autres que l’assistance sociale.

La coordonnatrice fait en outre remarquer que les délais du fédéral concernent non seulement les demandes de permis de travail, mais aussi les demandes de renouvellement de ces permis. Il n’est pas rare de voir des réfugiés ayant trouvé un emploi être obligés de l’abandonner après l’expiration de leur permis de travail.

Sarah-Marie Larivière et ses collègues ont géré dans la dernière année les dossiers de 500 demandeurs d’asile et de 300 réfugiés nouvellement arrivés au Canada.

On a un cas en ce moment [d’un homme] qui a fait son renouvellement de permis de travail en février, mais [celui-ci]  n’a toujours pas été renouvelé. Il a dû quitter son emploi il y a deux mois et faire une demande d’aide sociale pour pouvoir subvenir aux besoins de sa famille parce que son employeur refusait qu’il reste à l’emploi avec un permis de travail expiré, raconte Sarah-Marie Larivière. (Quel type d’emploi ? L’histoire ne le dit pas… Un emploi rémunéré au noir ? En y ajoutant le ”maigre” 850 $ clair libre d’impôt pigé à même les poches des contribuables québécois ? Note PNC)

Baisse chez les autres prestataires

Le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale précise que, n’eût été l’arrivée massive des demandeurs d’asile, la clientèle de l’assistance sociale au Québec aurait subi une baisse de 1,6 % entre les mois de juin 2022 et juin 2023. (À bon, on comprend alors que la tendance générale chez la population de souche de réclamer l’assistance à la baisse… Note PNC).

En excluant cette catégorie de demandeurs, le nombre d’adultes prestataires durant cette période est passé de 237 015 à 233 163.

Cette diminution témoigne d’une tendance à la baisse de la clientèle des programmes d’aide financière de dernier recours au Québec qui s’inscrit dans la longue durée.

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En juin, on comptait 333 167 prestataires (adultes et enfants compris) de l’aide sociale au Québec.

Après avoir atteint un sommet historique de 485 288 en février 1996, le nombre de ménages prestataires de l’assistance sociale a atteint son niveau le plus bas en octobre 2021 avec 225 643 ménages.

Ce nombre est reparti légèrement à la hausse, mais s’est maintenu autour du seuil de 250 000 ménages.

Les taux d’aide sociale n’ont jamais été aussi bas actuellement et ce n’est pas étonnant parce que le marché de l’emploi fonctionne à plein régime en ce moment, observe Virginie Larivière, porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté.

Moins accessibles

Elle ajoute qu’à la vitalité du marché de l’emploi s’ajoute le resserrement des critères d’accessibilité aux programmes d’aide financière de dernier recours. Des personnes qui étaient autrefois éligibles au soutien de l’État se retrouvent aujourd’hui devant rien, déplore Mme Larivière. (On comprends pourquoi : le budget prévu pour l’aide sociale aux nationaux est détourné vers le système du Grand Remplacement. On paye donc pour se faire remplacer. PNC).

Plus on rend difficile l’accès à l’aide sociale, plus il y a des gens qui tombent entre les craques. Comme c’est le filet de dernier recours, si on n’arrive pas à y avoir accès, nécessairement, on se retrouve vraiment dans des situations de très, très grande précarité, explique-t-elle.

Virginie Larivière affirme que «l’inertie politique» des dernières décennies, notamment par rapport à la construction de logements sociaux et à la hausse du salaire minimum, a contribué à fragiliser le filet social au Québec. (Madame s’indigne que les contribuables ne se fassent pas suffisamment presser le citron afin de financer les logements sociaux dédiés au Grand Remplacement. Note PNC)

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La porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté mentionne que, contrairement à une certaine croyance populaire, les personnes assistées sociales sont loin d’être gras dur. Celles qui n’ont pas de contraintes à l’emploi ont droit à des prestations inférieures à 800 $ par mois.

Programme famélique

C’est un programme qui est famélique. Avec l’inflation qu’on connaît, la hausse du coût de la vie, la crise du logement, c’est déjà extrêmement difficile pour les gens qui ont accès au programme d’aide sociale, imaginez les gens qui n’y arrivent pas, lance Virginie Larivière. (Madame mentionne ”la crise du logement” !!! On se demande si avec un QI minimum de 50 nous sommes en mesure d’en comprendre les raisons… Note PNC).

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Elle invite le gouvernement Legault à augmenter le revenu de travail mensuel maximal que les personnes adultes assistées sociales peuvent gagner sans voir leurs prestations amputées. (Sous-entendu, le contribuable blanc québécois, docile et soumis comme il est, n’en dira mot et se laissera une fois de plus plumer afin de financer ce Grand Remplacement. Note PNC).

La porte-parole mentionne que ce montant, établi à 200 $, n’a pas été augmenté ni indexé depuis la mise en place, au début des années 1990, de cette mesure incitative à l’emploi.

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Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2006133/hausse-aide-sociale-quebec-demandeurs-asile

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